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Voici les principales réactions internationales à l’attaque américaine contre plusieurs sites nucléaires iraniens dimanche, par laquelle les Etats-Unis ont rejoint Israël dans sa guerre contre la République islamique.
Les bombardements de l’Etat hébreu dans la nuit du 12 au 13 juin, notamment sur des installations nucléaires iraniennes, ont rapidement suscité une avalanche de réactions internationales, se divisant entre appels à la désescalade, soutiens à Israël ou alors à Téhéran.
Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations "directes" et "sans condition préalable" avec l'Ukraine dès jeudi à Istanbul, tout en repoussant à ces discussions toute possibilité de cessez-le-feu, pourtant exigé par les alliés de Kiev. De son côté, Volodymyr Zelensky attend un engagement de Moscou en faveur d'une trêve, tout en se disant "prêt" à entamer des pourparlers. Il évoque des "signes positifs" laissant penser que la Russie commence à envisager la fin du conflit.
Des rassemblements ont eu lieu dans plusieurs villes du pays pour protester contre la politique menée par le président américain.
Face à un président Donald Trump qui impose au forceps ses idées et son programme, l’opposition peine à s’organiser. Peu aidée par un Parti démocrate démobilisé, la résistance vient d’abord de la base qui multiplie les procédures judiciaires et les manifestations pour ralentir le rouleau compresseur de l’administration du milliardaire.
Universités américaines : Yale, Princeton et Harvard dénoncent l’ingérence politique de Donald Trump
(22/04) - Le Monde,Afp,ReutersUne centaine de signataires, incluant des présidents d’universités, s’opposent à l’ingérence gouvernementale menaçant l’enseignement supérieur américain.
Avec « hands off » (bas les pattes) pour cri de ralliement, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans tous les Etats du pays, samedi, pour protester contre les abus de pouvoir de la Maison Blanche, quelques jours après l’annonce de taxes douanières massives par Donald Trump.
Première mobilisation d'ampleur depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Des milliers d'Américains ont manifesté samedi, aux États-Unis, pour dénoncer la politique de la nouvelle administration américaine et les coupes budgétaires orchestrées par le milliardaire Elon Musk.
De la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au chef de l’Otan Mark Rutte en passant par Keir Starmer, les dirigeants européens ont multiplié les réactions ce lundi 17 février au soir à l’issue de la réunion d’urgence.
L'ONG CNCD-11.11.11 et l'alliance syndicale agricole majoritaire française FNSEA-Jeunes agriculteurs (JA) ont fait part de leur mécontentement à la suite de cette annonce d'un accord. Le Premier ministre Allemand a quant à lui félicité cet accord.
Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.
Y mettre un Biotherm. Quelques jours après avoir été épinglés dans notre enquête sur les produits cosmétiques contenant des PFAS, les groupes L’Oréal et Avène ont supprimé ces substances nocives de la liste des ingrédients de certains produits sur internet. Kiko et Sephora n’ont pas (encore) réagi.
Craignant un embrasement du Proche-Orient, la communauté internationale condamne les centaines de drones et de missiles lancés par Téhéran sur le territoire israélien samedi 13 avril dans la soirée.
Après l’agression de Leonid Volkov, un proche d’Alexeï Navalny, les nombreux opposants russes présents dans l’État balte s’inquiètent des suites de l’attaque attribuée au régime russe.
L’accord conclu mercredi entre le Parlement européen et les États membres sur une vaste réforme de la politique d’asile et de migration de l’UE suscite des réactions diverses chez les eurodéputés belges.
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant notamment pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France et les Pays-Bas, les pays arabes et dans une moindre mesure l'Australie.L'ONU et les Samoa, qui s'exprimait au nom des petites îles, ont été plus mesurées, appelant à aller plus loin dans la transition énergétique.
Près de 200 pays sont parvenus à un consensus, mercredi, à la COP28, sur un texte final qui appelle à une "transition hors des énergies fossiles" pour lutter contre le réchauffement climatique. Un accord immédiatement salué par la communauté internationale, malgré "des lacunes".
Les pays du monde entier ont approuvé, ce mercredi 13 décembre lors de la COP28 de Dubaï, un accord mentionnant une «transition hors des énergies fossiles». Mais l’analyse du texte est très hétérogène en fonction des pays.
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, les principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France, la Russie, l'Espagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, les pays arabes, l'Afrique du Sud et dans une moindre mesure l'Australie.
Toutes les réactions suite au nouveau rapport dévoilé par le Giec.
La COP27 de Charm el-Cheikh, en Egypte, s'est terminée dimanche sur un bilan contrasté et les réactions ont afflué pour saluer des avancées dans l'aide aux pays pauvres affectés par le changement climatique mais aussi regretter un manque d'ambition sur la baisse des émissions. - Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres: "Nous devons drastiquement réduire les émissions maintenant --et c'est une question à laquelle cette COP n'a pas répondu". "Cette COP a fait un pas important vers la justice. Je salue la décision d'établir un fonds pour les pertes et dommages et de le rendre opérationnel dans un futur proche. Ce ne sera clairement pas assez mais c'est un signal politique tout à fait nécessaire pour reconstruire une confiance brisée".
Si la création d’un fonds consacré aux pertes et préjudices des pays en développement face au changement climatique est saluée par tous, d’autres volets de l’accord laissent sur leur faim.
La nouvelle canicule qui sévit en France est un rappel impérieux de l’urgence climatique et de l’insuffisance manifeste des réactions politiques dans la lutte contre le réchauffement, particulièrement dans l’Hexagone.
Il existe une incompréhension importante entre les intentions des ‘écolos’ et les réactions générées. Une société où l’on se parle de moins en moins et où l’on préfère s’invectiver sur les réseaux sociaux. A titre d’exemple, j’ai personnellement reçu des menaces de mort sur Twitter pour avoir suggéré de baisser la vitesse à 110km/h sur l’autoroute. Vous avez bien lu : des menaces de mort pour une simple mesure recommandée par l’Agence Internationale de l’Energie et qui fait consensus parmi les scientifiques sur la décarbonation des transports.
Les images de corps de civils dans les rues ont suscité de vives réactions internationales, et interrogent sur de possibles crimes de guerre russe, dans cette ville comme dans d’autres, que nie la Russie.
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
Le silence. Voici quatre jours que le rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a été publié, et, malgré ses conclusions alarmantes, il n’a suscité que très peu de réactions.
L'oligarque Oleg Deripaska a réclamé lundi la fin du "capitalisme d'Etat" en Russie face à la crise provoquée par les sanctions occidentales, à la suite de l'invasion russe de l'Ukraine. "C'est une vraie crise là, et il faut de vrais managers de crise (...) il faut absolument changer de politique économique et mettre fin à tout ce capitalisme d'Etat", a écrit sur Telegram le milliardaire et fondateur du géant de l'aluminium Rusal.
Après les annulations de compétitions prévues sur le territoire russe, le boycott des sportifs et équipes russes commence à essaimer. Dimanche, la Fédération internationale de judo a aussi suspendu Vladimir Poutine de son rôle de président honoraire.
Les réactions internationales se multiplient, jeudi 24 février, tandis que s'est concrétisé le scénario que de nombreuses chancelleries et observateurs estimaient probable : une intrusion militaire russe en Ukraine. La communauté internationale a condamné cette intervention.
L’annonce par le président russe Vladimir Poutine d’une "opération militaire" en Ukraine jeudi, suivie d’explosions dans plusieurs villes ukrainiennes, a suscité de nombreuses réactions dans le monde. Même en Russie, où en ce moment, le peuple manifeste et marche contre la guerre en Ukraine.
Voici les principales réactions internationales à l'accord adopté samedi par la COP26 à Glasgow pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète mais sans assurer de parvenir à le contenir à 1,5°C de plus qu'à l'ère pré-industrielle.
C'est la première fois depuis le début des mesures en 1978. L'ozone est un gaz qui se forme par réactions chimiques, sous l'effet du soleil, avec des polluants présents dans l'air comme les oxydes d'azote, émis principalement par le trafic routier, et les composés organiques volatils (hydrocarbures, solvants...), rejetés par l'industrie.
L’Alliance des petits États insulaires (Aosis), vulnérables aux effets du changement climatique, a ainsi appelé le monde à tout faire pour limiter la hausse de la température à 1,5 °C, alors que le rapport montre que l’accélération de la hausse du niveau des mers menace leur existence.
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Je souhaite partager mon expérience et mes réflexions d'agriculteur suite aux catastrophes vécues depuis quelques jour dans l’est et le sud de notre pays et face aux réactions timorées (depuis des années) de nos pouvoirs public concernant ce qu’on appelle l’aménagement de territoire.
Malgré les efforts pour bannir les composés halogénés destructeurs de la couche d’ozone, cette dernière ne récupère pas aussi facilement qu’on aurait pu l’espérer. C’est en particulier vrai au niveau des pôles où l’on a observé un déficit boréal record au printemps 2020. De récents travaux montrent comment le changement climatique s’oppose au rétablissement de ce bouclier naturel en augmentant l’efficacité des réactions chimiques consommant l’ozone.
Aux États-Unis, en Sibérie, dans le Caucase… Un peu partout dans l’hémisphère Nord, des records de chaleur tombent. Les climatologues redoutent des réactions en chaîne, comme la libération de davantage de gaz à effet de serre avec le dégel des sols arctiques.
Des scientifiques ukrainiens ont constaté une hausse de la radioactivité sous le réacteur 4, n'écartant pas un "possible accident" à venir.
Plus de trente-cinq ans après le drame, des réactions nucléaires potentiellement dangereuses continuent de se produire à l’intérieur de la centrale de Tchernobyl.