Uniquement les Articles de la décennie 2020
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énergies
La France a salué, vendredi, l'adoption d'un 18e paquet de sanctions européennes "sans précédent" contre la Russie et ses soutiens, qui prévoit notamment un abaissement du seuil du prix du pétrole brut russe autorisé à l'exportation.
L'UE a adopté vendredi un 18e paquet de sanctions contre la Russie en guerre contre l'Ukraine, qui prévoit un abaissement du prix du pétrole russe autorisé à l'exportation, a-t-on appris de sources diplomatiques. "Nous avons maintenant un accord sur un 18e paquet de sanctions fort et efficace contre la Russie", a assuré un diplomate à Bruxelles à l'issue d'une réunion des ambassadeurs de l'Union européenne vendredi matin. La Slovaquie, qui bloquait jusqu'à présent l'adoption de ce nouveau paquet de sanctions, le 18e depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, a finalement accepté de lever son veto après avoir reçu des garanties.
Le groupe pétrolier britannique BP, dont les performances ont décroché ces dernières années par rapport à ses rivaux, a annoncé vendredi la vente de ses activités éoliennes terrestres aux Etats-Unis à l’entreprise LS Power, poursuivant son désengagement dans les énergies renouvelables.
A Toulouse, un centre de données souffle le chaud pour tout un quartier | Connaissances des énergies
(18/07) - Connaissance des ÉnergiesEntre les prévisions de Météo-France et la recherche en physique quantique, les supercalculateurs d'un centre de données à Toulouse ne font pas que brasser des données pour la science: leur chaleur sert à chauffer des bâtiments, un système qui devient la norme pour mieux faire accepter ces ogres énergétiques. Nichés dans des armoires de serveurs, appelées "rack", les processeurs émettent beaucoup de chaleur quand ils effectuent des calculs, d'où le besoin de les refroidir en permanence pour leur fonctionnement optimal. Sans quoi "ça fondrait" et "on serait obligé de les éteindre petit à petit", explique Georges Da Costa, responsable numérique de la Communauté d'universités et établissements de Toulouse, depuis la plateforme régionale de calcul intensif. Le visiteur y est accueilli par un ronronnement puissant, celui des souffleries de traitement d'air et de ventilation. Dans cette salle toute blanche, le supercalculateur de Météo-France brasse les données de températures, vent, pression, indispensab
L'État doit allouer des moyens supplémentaires au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), confronté à une évolution de ses missions dictée notamment par les besoins d'approvisionnements en métaux et minéraux stratégiques pour la transition écologique et énergétique, estime la Cour des comptes vendredi dans deux rapports. Le "renouveau géologique minier en cours" constitue "un défi" pour le BRGM, "qui n'a pas été sollicité avec intensité sur ce segment au cours des trois précédentes décennies", note la Cour des comptes dans un rapport consacré à cette structure.
Les Etats-Unis et Bahreïn ont paraphé mercredi un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil, peu avant une rencontre à la Maison Blanche entre le président Donald Trump et Salmane ben Hamad Al-Khalifa, prince héritier de cette monarchie du Golfe. "Il s'agit d'une signature importante", a déclaré le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio lors d'une cérémonie de signature au côté de son homologue bahreïni, Abdellatif ben Rachid Al-Zayani.
Febeliec tire la sonnette d'alarme à propos de la dépendance de l'Europe au gaz naturel liquéfié (GNL) américain.
Est-ce déjà la fin de l'hydrogène dans le secteur automobile ? Stellantis vient de sabrer son programme d'utilitaires tandis que Renault a mis en liquidation début 2025 son usine d'utilitaires à hydrogène. Si certains constructeurs comme Toyota, continuent d'y croire, l'hydrogène vacille.
La France a fait figure de pionnière en sortant du Traité sur la charte de l'énergie (TCE) en 2023, un accord qui permet de protéger l'intérêt des investisseurs dans le secteur énergétique. Mais au-delà du TCE, le pays est lié à des dizaines d'autres traités tout aussi néfastes mais dont il n'a pas l'intention de sortir à date.
Donald Trump a annoncé mardi des investissements d'entreprises privées dans l'énergie et les infrastructures en Pennsylvanie, Etat industriel de l'est des Etats-Unis, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l'intelligence artificielle (IA). En tout, plusieurs organisations vont injecter environ 92 milliards de dollars dans des projets de centres de données (36 milliards) et de sites de production d'énergie (56 milliards). Le secteur des technologies s'est jeté à corps perdu dans le développement de l'IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l'infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.
Usés par les coupures de courant répétitives et les factures d'électricité paradoxalement exorbitantes, de plus en plus de Pakistanais installent sur leurs toits des panneaux solaires, prenant de court le gouvernement éprouvé par des milliards de dollars de déficit. Autrefois apanage des quartiers riches, le solaire se révèle depuis peu être la première source d'énergie nationale et a fait son apparition dans les quartiers moins favorisés, où les habitants se serrent la ceinture pour pouvoir se l'offrir.
Trois champs pétrolifères de la région autonome du Kurdistan, dans le nord de l'Irak, ont été touchés mercredi matin par des attaques de drones chargés d'explosifs, selon les forces kurdes, au lendemain d'une attaque similaire ayant entraîné l'interruption des activités d'un champ pétrolifère. La production dans deux champs pétrolifères exploités par le groupe norvégien DNO ASA a été temporairement suspendue, a indiqué la société. Ces dernières semaines, l'Irak a été le théâtre d'une série d'attaques de drones et de roquettes non revendiquées. Cinq champs pétrolifères ont été touchés au Kurdistan irakien en l'espace d'une semaine et Bagdad a promis d'ouvrir une enquête.
Afin d’assurer les besoins toujours croissants de ses IA en énergie, Meta a ajouté une capacité supplémentaire à ses campus de centres de données en les installant littéralement sous des tentes. Ces installations temporaires constituent une étape pour étendre les infrastructures des centres de données le plus rapidement possible, alors que Mark Zuckerberg, le PDG de l’entreprise, a exprimé ses inquiétudes quant à son retard dans la course à la technologie.
L'hydrogène est-il une énergie d'avenir pour l'automobile? Stellantis vient de répondre par la négative en sabrant son programme d'utilitaires, tandis que certains constructeurs comme Toyota y croient encore. La nouvelle direction de Stellantis (marques Fiat, Peugeot) a annoncé mercredi mettre fin à son programme de développement dans l'hydrogène, une nouvelle qui a résonné comme un coup de tonnerre mercredi matin dans l'usine de sa coentreprise Symbio, qui joue son avenir. Flambant neuve, l'usine de la banlieue lyonnaise prévoyait de produire 50.000 systèmes à hydrogène par an d'ici 2026, dont une grande partie pour Stellantis, pour accompagner la montée en puissance de son offre d'utilitaires. Stellantis représentait 80% de l'activité de Symbio et était même entrée au capital de l'entreprise. Fondée par Michelin et l'équipementier Forvia, Symbio compte 590 salariés en France et 50 à l'étranger.
Rappel préalable sur l'énergie primaire et l'énergie finale L’énergie primaire désigne les différentes sources d’énergie disponibles dans la nature avant transformation, que celles-ci soient fossiles (pétrole, gaz, charbon) ou renouvelables (biomasse, énergie du vent, du soleil, de l’eau stockée dans un barrage, etc.). Précisons que l’uranium n’est pas considéré comme une énergie primaire (par convention, c’est la chaleur produite par les centrales nucléaires qui est comptabilisée comme énergie primaire).
Le département américain du Commerce a annoncé lundi avoir lancé des procédures qui pourraient conduire dans quelques mois à la mise en place de droits de douane sectoriels sur les drones et des éléments nécessaires à la fabrication de panneaux solaires.
Grâce à de nouvelles techniques de refroidissement, des puces plus performantes ou l'évolution de la programmation, le secteur de l'intelligence artificielle (IA) cherche à limiter sa consommation d'énergie, dans un contexte de croissance frénétique.
Donald Trump se rend mardi en Pennsylvanie, Etat industriel de l'est des Etats-Unis, pour annoncer des investissements d'entreprises privées dans l'énergie et les infrastructures, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l'intelligence artificielle. Le président américain fera cette annonce lors du premier Sommet sur l'énergie et l'innovation de Pennsylvanie à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh. Le secteur des technologies s'est jeté à corps perdu dans le développement de l'IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l'infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.
Nous sommes à un moment unique de l’histoire. L’année 2025 pourrait bien être retenue par les générations futures comme un point de bascule entre deux époques radicalement différentes. D’un côté, un 20e siècle qui s’achève, marqué par des systèmes politiques, économiques et énergétiques rigides qui ont façonné notre monde pendant près d’un siècle. De l’autre, un 21e siècle naissant, porté par des technologies révolutionnaires qui promettent de redessiner notre manière de vivre, de travailler, et même de penser.
Panneaux solaires, éolien, batteries… En quinze ans, le pays s’est hissé, à coups de plans quinquennaux, au sommet mondial de cette industrie, reléguant les Européens loin derrière.