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désinformation climatique
Douze pays viennent de signer une Déclaration sur l’intégrité de l’information sur le changement climatique, et les négociations continuent pour intégrer la lutte contre les fake news à un texte final voté en plénière. Pour Eva Morel de l’association Quota Climat, cette avancée inédite est essentielle pour lever les freins à l’action climatique.
Le Conseil d’Etat a confirmé la sanction infligée en juillet 2024 par l’Arcom à la chaîne de Vincent Bolloré. A l’antenne, un soutien de Zemmour avait tenu des propos climatosceptiques sans aucune contradiction.
Dix États viennent de s’engager à défendre l’intégrité de l’information liée au changement climatique à l’occasion de la 30ème conférence mondiale (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). Ils ont appelé à mettre en place des cadres légaux pour lutter contre la désinformation, qui sape «la capacité des sociétés à élaborer des solutions collectives».
Chez Sud Radio, une fausse information est prononcée toutes les 40 minutes d’émission consacrée au climat. Pour cause : le présentateur André Bercoff accueille régulièrement des invité·es aux propos controversés sur l’écologie. Mais notre enquête montre que la moitié de la désinformation de Sud Radio vient aussi d’ailleurs.
Des chaînes de télévision et des radios sont minées par la désinformation sur le climat, révèle un rapport publié le 22 octobre. Certains médias sont des « relais proactifs », via leurs invités et même leurs journalistes.
Cet été, les énergies renouvelables ont été la cible d'une importante campagne de désinformation alors que la feuille de route énergétique était examinée au Parlement. C'est ce que confirme une nouvelle étude des ONG Data For Good, QuotaClimat et Science Feedback, publiée le 22 octobre.
Depuis janvier, les associations QuotaClimat, Data for Good et Science Feedback ont recensé tous les cas de «mésinformation» climatique dans les 18 principaux médias audiovisuels français. Elles montrent des campagnes de désinformation récurrentes sur certains sujets. Vert fait le point.
Le climatologue français est co-président du groupe du Giec consacré à la physique du climat. Dans cet entretien à Vert, il nous parle des climatosceptiques, du rôle des médias et des attaques de Donald Trump contre la science.
Et si la première chose à faire pour agir contre le changement climatique était de lutter contre la désinformation ? Selon le tout premier rapport du Panel international sur l’information et l’environnement (Ipie), des informations inexactes et peu fiables sur la nature du changement climatique sont largement diffusées auprès du public et des décideurs politiques, entravant et retardant l'action climatique.
Une étude édifiante montre comment la désinformation climatique entrave l’action en faveur du climat. Qui désinforme ? Dans quels buts ? Comment réduire les fausses informations ? Explications.
Contrairement à ce que certains aimeraient croire, la désinformation climatique ne relève pas d’une cacophonie spontanée ou d’une série d’erreurs isolées. Elle fonctionne selon une logique structurée, alimentée par des groupes qui y trouvent intérêt, pointe le dernier rapport du Panel international sur l’environnement informationnel (IPIE). Divers acteurs puissants y sont identifiés : majors pétrolières, groupes industriels, réseaux politiques conservateurs et même certains États.
Les pratiques de désinformation, parfois coordonnées, pour détourner l’attention ou minimiser le consensus scientifique en matière d’écologie se multiplient. Pour faire face à ce risque désormais bien identifié par des institutions internationales comme l’ONU, Socialter a sélectionné plusieurs pistes d’action.
Les algorithmes façonnent notre perception du monde par des mécanismes dont nous ne maîtrisons ni les codes ni les intentions. Première victime : le climat. Le journaliste Thomas Huchon et l’influenceur Vinz Kanté reviennent sur les nouveaux enjeux de l’information environnementale.
Trois ONG ont détecté 128 cas de désinformation climatique en seulement 3 mois d’analyse.
La désinformation climatique se "normalise" dans les médias français, selon un rapport publié par un consortium d'ONG spécialisées. Sud Radio et CNews représentent à eux seuls la moitié des cas de désinformation identifiés.
De janvier à mars, trois ONG environnementales ont passé au peigne fin les contenus des 18 principales chaînes de télévision et radios françaises. Selon les premiers résultats, publiés ce jeudi 10 avril, 128 cas de désinformation climatique ont été recensés, soit une dizaine de cas par semaine.
Après avoir passé au crible les programmes d’information des dix-huit principales chaînes de télévision et de radio au premier trimestre, des associations ont recensé 128 cas de désinformation sur le climat.
Pour la première fois, les acteurs les plus éminents de la lutte contre la désinformation climatique à travers le monde sont rassemblés au même endroit, à Brasília (Brésil). Encore mieux : ils sont explicitement soutenus par le gouvernement brésilien et les Nations unies.
Donald trompe. Le journaliste Darius Rochebin a posé une question surréaliste sur le climat à l’eurodéputée d’extrême droite Marion Maréchal, dans une interview sur LCI début février. Un traitement médiatique qui entretient le flou entre les faits scientifiques et la désinformation climatique pure et dure.
Entre juin et décembre 2024, seuls 3,4 % des contenus télévisuels étaient consacrés à l’environnement. Une loi pourrait-elle y changer quelque chose et empêcher aussi la désinformation climatique ?
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