Uniquement les Articles de la décennie 2020
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négationnisme
Alors que la COP30 débute aux portes de l’Amazonie, de riches propriétaires de terres assènent de fake news le débat sur la déforestation. Reporterre a rencontré l’un de ces leaders, cow-boy pro-Trump résolument anti-écologiste.
Alors que la COP30 au Brésil s’ouvre dans une semaine, le milliardaire appelle à relativiser les discours «catastrophistes». Un ton applaudi par le président américain, qui y voit la preuve d’une victoire sur «le canular climatique».
Depuis janvier, les associations QuotaClimat, Data for Good et Science Feedback ont recensé tous les cas de «mésinformation» climatique dans les 18 principaux médias audiovisuels français. Elles montrent des campagnes de désinformation récurrentes sur certains sujets. Vert fait le point.
Face à la nouvelle négation du changement climatique par Donald Trump, les scientifiques du CNRS réagissent en rappelant les faits et les leviers d’acti
Face à la prolifération des discours climatodénialistes, défendons et investissons les initiatives concrètes resserrant les liens entre chercheurs et citoyens, plaide la membre de l’association The Shifters en Isère.
Les comptes climatosceptiques sur Twitter/X sont souvent associés à l’extrême droite, montre une nouvelle étude coécrite par le mathématicien David Chavalarias. Dans un entretien à Vert, il détaille le rôle du réseau social d’Elon Musk dans la création du doute sur le consensus climatique.
Alors que les incidents climatiques extrêmes occupent l'actualité, les prises de position publiques minimisant l'impact des activités humaines sur le réchauffement climatique se répandent.
Le climatologue français est co-président du groupe du Giec consacré à la physique du climat. Dans cet entretien à Vert, il nous parle des climatosceptiques, du rôle des médias et des attaques de Donald Trump contre la science.
En matière de politique énergétique, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche marque le retour d’un climatoscepticisme assumé sous des formes multiples : remise en cause des acquis scientifiques, attaque contre les institutions fédérales chargées de mener les recherches sur le changement climatique et ses conséquences et soutien à l’exploitation des énergies fossiles.
L’administration américaine vient de recruter trois scientifiques célèbres pour leurs positions à rebours du consensus scientifique sur le climat. Leur embauche intervient après le licenciement de centaines de chercheur·ses à l’origine d’un rapport pour élaborer les politiques américaines de réponse au dérèglement climatique.
Contrairement à ce que certains aimeraient croire, la désinformation climatique ne relève pas d’une cacophonie spontanée ou d’une série d’erreurs isolées. Elle fonctionne selon une logique structurée, alimentée par des groupes qui y trouvent intérêt, pointe le dernier rapport du Panel international sur l’environnement informationnel (IPIE). Divers acteurs puissants y sont identifiés : majors pétrolières, groupes industriels, réseaux politiques conservateurs et même certains États.
Le gouvernement notoirement climatosceptique de Donald Trump a annoncé mercredi vouloir revenir sur des mesures environnementales prises par la précédente administration américaine pour réduire les émissions polluantes des centrales électriques, notamment à gaz et à charbon. "Nous faisons le choix de protéger l'environnement et de faire prospérer notre économie", a déclaré Lee Zeldin, chef de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), lors d'une conférence de presse.
Les algorithmes façonnent notre perception du monde par des mécanismes dont nous ne maîtrisons ni les codes ni les intentions. Première victime : le climat. Le journaliste Thomas Huchon et l’influenceur Vinz Kanté reviennent sur les nouveaux enjeux de l’information environnementale.
Le rejet par l’administration Trump de toute politique visant à freiner le changement climatique n’est dû ni au climatoscepticisme ni à l’irrationalité. Pour la Maison Blanche, et pour les idéologues qui l’entourent et l’influencent, la cause est entendue : le changement climatique est inéluctable, et il convient de tout faire pour que les États-Unis demeurent la première puissance mondiale sur une planète en proie au dérèglement climatique.
Après avoir passé au crible les programmes d’information des dix-huit principales chaînes de télévision et de radio au premier trimestre, des associations ont recensé 128 cas de désinformation sur le climat.
Pour la première fois, une intelligence artificielle a rédigé une étude qui nie le rôle des activités humaines dans le réchauffement climatique, suscitant l'enthousiasme des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Grok, c’est son nom, explique avoir été influencée par ses co-auteurs… eux-mêmes climatodénialistes.
Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
Dans sa tentative de détricoter toute lutte contre le dérèglement climatique aux États-Unis, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Cet organisme gouvernemental joue un rôle primordial dans la recherche scientifique mondiale et dans la surveillance météorologique.
Le dernier baromètre de l’Ademe montre l’existence de plusieurs formes de climatoscepticisme en France, qui doivent être prises en compte dans l’action publique.
Entre juin et décembre 2024, seuls 3,4 % des contenus télévisuels étaient consacrés à l’environnement. Une loi pourrait-elle y changer quelque chose et empêcher aussi la désinformation climatique ?
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