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Les députés russes entament mardi l'examen d'une proposition de loi interdisant la promotion de la vie sans enfants, sur fond de crise démographique, amplifiée par le conflit en Ukraine, et de tournant ultra-conservateur pris par le Kremlin.
Les contacts entre l'homme et la faune sauvage vont se multiplier sur plus de la moitié de la planète. Une nouvelle étude montre où les humaines et les animaux sauvages devront le plus cohabiter.
Le nombre d’êtres humains devrait culminer à 10,3 milliards d’individus en 2080, avant de baisser, selon les dernières estimations des Nations unies. Des projections revues à la baisse en raison de la baisse de la fécondité dans de grands pays.
Entre réalités statistiques, narratifs politiques, angoisses anthropologiques et perspectives écologiques, il existe de multiples grilles de lecture relatives à cette question fondamentale.
En seulement deux ans, la pandémie de Covid-19 a anéanti plus de dix ans de progrès en termes d'espérance de vie à la naissance et d'espérance de vie en bonne santé (EVBS), selon le dernier rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les statistiques sanitaires mondiales.
Les exponentielles, il faut arrêter leur course dès le départ, ou sinon c'est fichu. Le tort de Malthus aura sans doute été de formaliser des cycles de population sur une ou deux générations et pas sur le temps très long. Compte tenu de temps qu'il faut pour accélérer et ralentir des mouvements de croissance de population, n'est-ce pas sur un siècle ou deux que l'on devrait vérifier l'intuition de Malthus ?
Il y a de moins en moins de bébés. C’est ce que confirme une étude publiée aujourd’hui. Et le phénomène est presque mondial. Seuls quelques pays tirent leur épingle du jeu. Mais pour eux aussi,...
La fertilité est insuffisante pour maintenir la population en l'état dans la majorité des pays, souligne une vaste étude publiée jeudi, mettant en garde sur des déséquilibres qui s'annoncent de plus en plus marqués d'une région du monde à l'autre.
Selon une étude publiée jeudi, d'ici à 2050, trois quarts des pays du monde auront un taux de fertilité insuffisant pour maintenir leur population en l'état. D'ici à 2100, la plupart des pays seront concernés.
Une étude publiée ce jeudi 21 mars dans «The Lancet» affirme que «la fertilité décline à travers le monde» à tel point que de nombreux pays ont des taux trop faibles pour maintenir leur niveau de population.
Selon une étude publiée dans « The Lancet » mercredi, l’indice de fécondité moyen en 2050 pourrait se situer autour de 1,8 enfant par femme à l’échelle de la planète, soit au-dessous du seuil de renouvellement de la population.
Quelle place pour la technologie sur une planète qui devrait selon l'ONU avoisiner les 9,7 milliards d'individus en 2050 ? Tentative de réponses du philosophe Alexandre Monnin.
Bruxelles et la Wallonie verront leur population diminuer respectivement à partir de 2030 et 2040, tandis que la population flamande continuera de croître, prévoit le Bureau fédéral du Plan dans une nouvelle étude.
En 2023, environ 110.400 naissances ont été enregistrées en Belgique, selon des chiffres provisoires publiés par...
La population chinoise a baissé en 2023 pour la deuxième année consécutive, a indiqué mercredi le Bureau des statistiques, le taux de natalité ralentissant face notamment au coût de l'éducation et du changement des comportements sociaux.
Entre janvier et novembre 2023, 621 691 bébés sont nés, soit 45 000 de moins qu’en 2022 sur la même période. Cela représente un recul du nombre de naissances de 6,8 % sur les onze premiers mois de l’année, selon l’Insee.
En recul de 6,8% sur les onze premiers mois de 2023 par rapport à la même période de 2022, le nombre de naissances devrait atteindre un nouveau point bas historique sur l'ensemble de l'année, selon des données de l'Insee publiées jeudi.
An easy way to start a long, heated debate is to mention global population. Thomas Malthus famously ignited furious arguments in the eighteenth century when
La légère hausse des naissances enregistrée en 2021, à la suite des confinements liés à la crise du Covid-19, n’a pas été renouvelée en 2022.
Révélation alarmante : des chercheurs estiment que si le réchauffement climatique atteint 2 °C d’ici 2100, les industries gazière et pétrolière seront responsables du décès d’environ 1 milliard de personnes issues des communautés les plus vulnérables. Cela équivaudrait à des homicides involontaires par les populations les plus riches, contrôlant ces industries. En effet, malgré les avertissements concernant leur impact sur l’environnement, les émissions de CO2 liées aux combustibles fossiles ne cessent d’augmenter pour des raisons économiques et géopolitiques.
Population ecologist William Rees, with the University of British Columbia's School of Community and Regional Planning, is reminding denizens of Earth that the planet can only support so many people. In his paper published in the journal World, he points out that many models have been developed over the years that show that only a certain number of animals (such as rats) can live in a given environment—they all show that at some point, a population correction occurs.
Homo sapiens has evolved to reproduce exponentially, expand geographically, and consume all available resources. For most of humanity’s evolutionary history, such expansionist tendencies have been countered by negative feedback. However, the scientific revolution and the use of fossil fuels reduced many forms of negative feedback, enabling us to realize our full potential for exponential growth. This natural capacity is being reinforced by growth-oriented neoliberal economics—nurture complements nature. Problem: the human enterprise is a ‘dissipative structure’ and sub-system of the ecosphere—it can grow and maintain itself only by consuming and dissipating available energy and resources extracted from its host system, the ecosphere, and discharging waste back into its host. The population increase from one to eight billion, and >100-fold expansion of real GWP in just two centuries on a finite planet, has thus propelled modern techno-industrial society into a state of advanced overshoot. We are consuming and
Le Japon a connu une baisse record de sa population de nationaux en 2022, selon des données gouvernementales publiées...
Le Covid a pourtant moins causé de décès qu’en 2021. L’institut mentionne d’autres causes, comme la grippe ou les fortes chaleurs de l’été 2022.
Les derniers recensements traduisent une baisse importante de la population grecque en dix ans, ainsi qu’un vieillissement rapide. Et cette inquiétante tendance pourrait encore s’accélérer.
Un organisme de recherche a publié ce mercredi 26 avril un rapport mettant en lumière une future baisse importante de la démographie dans moins de 50 ans. Cette baisse serait notamment liée à une évolution de la société.
Une étude démographique commandée par le Club de Rome présente de nouvelles perspectives sur l’évolution de la population mondiale d’ici la fin du siècle. Cette étude réalisée par Earth4all revoit en effet à la baisse les projections sur le nombre d’habitants qui peupleront la Terre en 2100. Alors que les démographes de l’ONU estiment que, à ce moment-là, notre planète comptera 9,7 milliards d’humains, le rapport d’Earth4all avance un chiffre plus faible compris entre 6 et 7,3 milliards.
L'Organisation mondiale de la santé alerte mardi contre l'infertilité, un "problème sanitaire majeur", qui touche 17,8 % de la population adulte des pays riches et 16,5 % des pays à revenus faibles et intermédiaires.
Si la surpopulation constitue une préoccupation majeure dans un monde aux ressources limitées, les scientifiques du projet Earth4all ont dévoilé de nouvelles prévisions démographiques se révélant nettement inférieures à celles des Nations Unies.
La population mondiale pourrait culminer à 8,6 milliards au milieu du siècle avant de sérieusement décliner. Mais comment l'expliquer ?
Population likely to peak sooner and lower than expected with beneficial results – but environment is priority
Pour Stéphane Madaule, la progression forte de la population mondiale depuis cinquante ans n’est pas sans peser sur l’environnement, sur le problème du changement climatique et de la perte de la biodiversité.
La baisse du nombre d'actifs, et de la population de manière globale, va être un défi pour la Chine. Une chronique de Sylviane Delcuve, senior economist, BNP Paribas Fortis.
La Chine a vu, pour la première fois depuis le début des années 1960, sa population baisser en 2022. Cette chute, qui pourrait continuer jusqu'à la fin du siècle, pourrait affecter durement l'économie et le système de retraites.
Des chiffres de l’Insee publiés ce mardi font état d’une baisse du taux de fécondité et d’une hausse du nombre de décès. La population continue toutefois d’augmenter, bien qu’elle soit vieillissante.
La chute inédite enregistrée en 2022 n’est que le début d’une baisse irréversible de la population chinoise, affirment des experts. Les récentes mesures en faveur de la natalité, encore insuffisantes, ne pourront pas l’inverser.
Le compte est rond. Alors que le seuil de huit milliards d’êtres humains sur Terre a officiellement été dépassé la semaine dernière, on entend souvent que nous serions trop nombreux·ses pour le bien-être de la planète. Décryptage de cet argument fallacieux.
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Huit milliards aujourd'hui, dix milliards d'ici à la fin du siècle. Alors que la population mondiale atteint un nouveau palier mardi, une inquiétude ressurgit : alors que la planète est déjà mise à mal par le dérèglement climatique, sommes-nous trop nombreux ?
Cette barre symbolique vient d’être franchie selon les estimations des Nations-Unies, amplifiant les défis environnementaux et sociaux. L’Inde devrait devenir le pays le plus peuplé du monde en 2023, passant devant la Chine.
Surmortalité liée au Covid-19, crise des opioïdes et maladies cardio-vasculaires participent à la chute de cet indicateur révélateur de l’état de santé des Américains.
La délégation aux Outre-mer de l'Assemblée nationale a décidé de créer trois missions d'informations concernant l'autonomie alimentaire et énergétique des outre-mer ainsi que leur évolution démographique, a-t-elle indiqué mercredi dans un communiqué. "L'autonomie alimentaire est une thématique prégnante et qui pose question dans l'ensemble des outre-mer", tout comme son corollaire "l'autonomie énergétique" car aujourd'hui "l'ensemble des outre-mer sont très dépendantes d'énergies fossiles", a déclaré le président de la commission Moetai Brotherson, député de Polynésie (GDR - NUPES), lors d'une réunion mardi.
Aux États-Unis, l’espérance de vie à la naissance a baissé de 2,7 ans entre 2019 et 2021. Mais le pays «décroche» depuis quarante ans, rappelle la démographe Magali Barbieri, du fait de la crise des opioïdes, des maladies cardiovasculaires, et d’un système de santé défaillant.
Dans son rapport de synthèse des 3 groupes de travail, le GIEC fait des préconisations pour baisser la demande en énergie dans le cadre du concept de développement durable - comme un mantra à la mode, l’acronyme SDG’s (Sustainable Development Goals) revient d’innombrables fois -, mais il écarte l’hypothèse d’une vraie décroissance, qui entraînerait une baisse du PIB par habitant, baisse apparemment jugée non acceptable politiquement.
Un nouveau rapport de l’ONU révèle que la population mondiale devrait atteindre 8 milliards d'humains d'ici le 15 novembre. Ce même document indique que l'Inde dépassera en 2023 la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde.
La population de l'Union européenne à 27 États membres (UE) a de nouveau baissé en 2021, passant de 447 millions au 1er janvier 2021 à 446,8 au 1er janvier 2022, indique lundi Eurostat, l'office européen des statistiques.
Selon le dernier rapport de l’ONU, la population mondiale s’établira à 8 milliards d’individus avant la fin de l’année. Mais le taux de croissance démographique ralentit.
La préhistoire a commencé avec l'apparition des premiers hommes, il y a 2,5 millions d'années. Combien d'humains ont vécu sur Terre depuis ?
Interrogé par les journalistes de France info, Jean-Marc Jancovici a défendu l’idée d’une régulation des naissances. Un sujet encore tabou.
Depuis plusieurs années, les écologistes et climatologues nous avertissent des dangers des gaz à effet de serre. Et si cela nous condamnait à mourir de chaud ?
L’écologiste et président du Shift Project est favorable à une régulation des naissances en France et dans le monde
La fuite des cerveaux russes s’accélère depuis l’invasion de l’Ukraine, accentuant la baisse de la population du pays de Vladimir Poutine, détaille Marie Charrel, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Une étude montre que, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, la mortalité infantile a augmenté en France depuis 2012. Parmi les causes de ce phénomène, la pauvreté et le manque d’accès aux soins.
Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? Entretien avec Emmanuel Pont, auteur d’un livre qui tente de répondre à cette question délicate à partir d’une approche transdisciplinaire, entre démographie, environnement, politique et éthique.
La population de la Belgique augmentera de 1,3 million d'ici à 2070 pour atteindre 12,9 millions d'habitants, et ce principalement grâce à la migration internationale mais les Belges vivront également plus longtemps, selon des nouvelles projections démographiques du Bureau fédéral du Plan dévoilées mardi.
Le taux de natalité de la nation la plus peuplée du monde est de 7,52 naissances pour 1 000 personnes en 2021, contre 8,52 l’année précédente. Le pays fait face à un vieillissement de la population plus rapide que prévu.
En 2050, 151 des 195 pays du globe seront en situation de décroissance démographique. Le vieillissement des populations déjà notable en Asie et en Occident entraine pénurie de main-d’œuvre et ralentissement économique. Quel moteur de croissance pour remplacer la démographie ?
Dans ce numéro, nous avons construit notre dossier autour d’un long article du Nikkei Asia qui s’inquiète de la décroissance annoncée de la population mondiale dès 2050.
L’Irak est frappé par de fortes sécheresses. Une situation qui poussent les agriculteurs à rejoindre les villes mais cette modification démographique pourrait apporter de l’instabilité.
Selon le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU, la population mondiale devrait atteindre 9,7 milliards en 2050. Les zones urbaines abritent déjà 55 % de la population mondiale et ce chiffre devrait atteindre 68 % d’ici 2050. L’urbanisation rapide et non planifiée, combinée aux défis liés au changement climatique, peut entraîner une augmentation de la pollution de l’air, une plus grande vulnérabilité aux catastrophes ainsi que des problèmes de gestion des ressources telles que l’eau, les matières premières et l’énergie.
La science-fiction nous avait prédit des voitures volantes et des chaussures qui se laceraient toutes seules, mais voilà que l’on vit plutôt une crise climatique et le début du déclin de la population mondiale.
Il est un paradoxe bien connu, celui de l’œuf et de la poule : « Qu’est-ce qui est apparu en premier : l’œuf ou la poule ? ». Mais en voici un autre, qui de facto porte en germe toutes les problématiques de notre monde : « Qui est à l’origine de la croissance de l’autre ? La démographie ou l’agriculture ? » Qu’importe la réponse finalement….
La pandémie de Covid-19 a entraîné les plus fortes baisses d’espérance de vie depuis la seconde guerre mondiale dans la plupart des pays développés, montre une étude publiée lundi 27 septembre par l’université d’Oxford.
Quatre jeunes sur dix dans le monde hésitent à avoir des enfants en raison de la crise climatique et craignent que les gouvernements n’en fassent pas assez pour prévenir la catastrophe climatique, selon un sondage réalisé dans dix pays. Près de six jeunes sur dix, âgés de 16 à 25 ans, sont très ou extrêmement inquiets du changement climatique, selon la plus grande étude scientifique jamais réalisée sur l’anxiété climatique et les jeunes, publiée ce 14 septembre.
Alors que se tient actuellement le sommet de la biodiversité à Marseille, la rédaction vous propose chaque jour un contenu sur cette thématique environnementale. Aujourd'hui, les participants alertent sur le rythme affolant d'effondrement des populations animales, voire de disparition des espèces.
la plantation d’arbres a été présentée comme l’un des principaux moyens de lutter contre la crise climatique, mais la superficie nécessaire à la création de telles forêts serait énorme, et la plantation d’une fraction seulement de la superficie nécessaire pour compenser les émissions mondiales de gaz à effet de serre empiéterait sur les terres nécessaires aux cultures pour nourrir une population croissante,
Pour limiter les naissances, les autorités de l’Uttar Pradesh veulent faire voter une loi draconienne, mélange d’incitations et de sanctions. Le texte risque de pénaliser les plus pauvres et de nourrir la rhétorique islamophobe des nationalistes hindous au pouvoir.
La décision d’avoir ou non des enfants nous oblige à faire le point sur nos finances, notre situation de vie, nos projets de carrière, etc. Et depuis quelques années, une autre question se pose, alimentée par la crise climatique qui se profile: quel est l’impact des enfants sur la planète?
Le 29 juillet marque le Jour du dépassement, c'est-à-dire le moment du calendrier où la consommation humaine de ressources écologiques, telles que l'approvisionnement en eau et le stockage du carbone, dépasse le point où la Terre peut reconstituer ces ressources au cours d'une année donnée. Au début des années 1970, la planète a connu un déséquilibre inquiétant, car on a estimé que la demande de l'humanité en ressources écologiques correspondait exactement à ce qui pouvait être régénéré en un an.(1) Depuis lors, la population mondiale a doublé(2) et le produit intérieur brut (PIB) a été multiplié par quatre.(3)
Continuons, comme depuis dix ans, à explorer l’anthropocène, l’écologie et l’effondrement, objets suffisamment amples pour satisfaire un certain éclectisme que nous chérissons. Dans ce papier, je parlerai de collapsologie, d’une tentative de réflexion sur la solastalgie, de démographie, et de philosophie effondriste.
Sur de vastes portions du Globe, la déforestation se poursuit à un rythme effréné. Hausse de la demande en produits agricoles et d'élevages, course au foncier, démographie... Autant de raisons qui sous-tendent une pression accrue sur les massifs forestiers de par le monde. le chercheur au CIRAD Alain Karsenty analyse les causes de ce phénomène et propose des recommandations pour inverser la tendance.
En cause : la crise sanitaire.
les chercheures de l’INED ont prévu la hausse contemporaine des décès en France, mais ils l’ont finement modélisé et clairement analysé. Dans un article de 2016 au titre explicite « Le nombre de décès va augmenter en France dans les prochaines années », Gilles Pison et Laurent Toulemon présentent des scénarios d’évolution des décès
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Les jeunes les plus sensibilisés aux effets et aux dangers du changement climatique seraient moins enclins à faire des enfants. Un nouveau paramètre à l'heure du choix de procréer ou pas.
En 2050, nous devrions être 10 milliards sur Terre. Selon certains chercheurs et militants écologistes, nous serions alors beaucoup trop pour ne pas gaspiller les ressources de la planète, favoriser de nouvelles pandémies, et même pour nous nourrir. Devrions-nous alors arrêter de faire des enfants ? Selon des démographes, il n’est pourtant pas certain que nous demeurerons toujours aussi nombreux.
À l’horizon 2050, le Nigeria deviendra le troisième pays le plus peuplé du monde, avec plus de 400 millions d’habitants. Chance ou malédiction ? Démographie, où va le monde ?
La meilleure nouvelle de 2020 ? L’humanité pourrait ne jamais atteindre les 10 milliards d’individus
(23/11) - Jeremy HanceUne nouvelle étude publiée dans The Lancet estime que la population mondiale pourrait ne jamais atteindre les 10 milliards d’individus. Un ralentissement de la croissance de la population comportera certains défis, mais pourrait également augmenter les chances d’éviter un effondrement écologique.
Alors, sommes-nous vraiment trop nombreux ? Quelle est la limite soutenable ? Pouvons-nous continuer à faire des enfants les yeux fermés ? Tous les pays passent par ce qu’on appelle la transition démographique. La mortalité commence à baisser grâce à l’augmentation du niveau de vie, les progrès de l’hygiène et de la médecine.
L’un des défis les plus pressants pour l’Afrique est de parvenir à satisfaire la demande alimentaire nouvelle qu’implique sa croissance démographique. En 2050, la population sur le continent sera en effet deux fois et demie plus nombreuse qu’aujourd’hui. Une évolution qui risque de confronter le développement agricole et les systèmes alimentaires des pays d’Afrique subsaharienne à des défis considérables.
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On entend souvent que la démographie est une priorité pour l’écologie, de nombreuses associations ont même été créées sur le sujet, et le débat s’enflamme régulièrement dans la communauté. Selon certaines études, avoir un enfant est de loin la pire chose qu’on puisse faire envers le climat. En tant qu’individu “écolo”, faut-il renoncer à avoir des enfants, et se culpabiliser pour ceux qu’on a déjà ?
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En 2030, la planète comptera probablement 8,5 milliards d’habitants, et près de 10 milliards en 2050, contre 7,7 milliards aujourd’hui.
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Le pays, qui se prépare à voter le 16 février, devrait voir sa population passer de 190 millions d’habitants en 2018 à 410 millions d’ici à 2050.
peut-on consommer moins ? La décroissance peut-elle être une solution ? Quelles solutions prônent les décroissants et sont-elles réalistes ? Sans aller jusqu’à la décroissance, est-il encore possible de modifier nos modes de vies et nos habitudes ? Alors que la COP24 sur le climat se tient en Pologne, la rédaction questionne le politologue Paul Ariès ...
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Dans une tribune publiée dans Le Monde, un collectif de scientifiques tire la sonnette d'alarme sur les conséquences d'une croissance démographique trop rapide. Selon les prévisions, près de 10 milliards d'habitants peupleront la Terre en 2050.
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Dans une tribune publiée dans le Monde, ces scientifiques appellent à une réduction de l'accroissement démographique, sous peine de se diriger vers "une catastrophe pour notre planète"
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Lorsque le Britannique Thomas Robert Malthus publia la première édition de son Essai sur le principe de population (1796), la planète comptait environ un milliard d’humains. Il y soutenait que la population ayant tendance à progresser plus vite que les subsistances, celles-ci viendraient inéluctablement à manquer si l’on ne mettait pas des entraves à la procréation. Il plaidait en particulier pour le mariage tardif
In 1968, the best-seller “The Population Bomb,” written by Paul and Anne Ehrlich warned of the perils of overpopulation: mass starvation, societal upheaval, environmental deterioration. The book was criticized at the time for painting an overly dark picture of the future. But while not all of the Ehrlich’s dire predictions have come to pass, the world’s population has doubled since then, to over seven billion, straining the planet’s resources and heating up our climate.
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Combien d'humains la Terre peut-elle (sup)porter ? Les estimations varient de 1 à 1000... La question demeure, mais la réponse ne saurait être absolue. Elle soulève des enjeux de justice, interroge nos modes de vie et invite à des arbitrages...
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