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Le président Vladimir Poutine a affirmé mercredi qu'il envisageait de reprendre les essais nucléaires russes si les États-Unis faisaient de même. Cette déclaration intervient après des propos de son homologue américain Donald Trump qui a ordonné au Pentagone de "commencer à tester" les armes nucléaires américaines.
Le président russe envisage de reprendre les essais nucléaires.
Vladimir Poutine a déclaré mercredi que la Russie avait testé un drone sous-marin à capacité nucléaire, le Poséidon, quelques jours après avoir annoncé un essai final réussi du missile russe de croisière à propulsion nucléaire Bourevestnik. "Hier, nous avons effectué encore un essai, d'un autre système prometteur - un drone sous-marin Poséidon", a indiqué M. Poutine. "Il n'existe aucun moyen de l'intercepter", a affirmé le président russe.
En moins de 48 heures, des bénévoles tchèques ont récolté plus de 500 000 euros pour financer un missile de croisière Flamingo pour l'armée ukrainienne.
Avec une croissance qui recule, des troupes armées qui ne parviennent pas à avancer en Ukraine et un Donald Trump humilié puisqu’il n’a pas suivi ses conseils pour un retour à la paix, rien ne va ni dans le paysage ni sur le terrain pour le chef du Kremlin, selon l’eurodéputé Renew.
Vladimir Poutine a officiellement mis fin à l'accord russo-américain sur le plutonium, signé en 2000 pour limiter les stocks de matières fissiles.
Selon le chef de l’Etat-major russe, le missile «Bourevestnik» («oiseau de tempête» en russe) aurait déjà réussi un vol de 14 000 km.
Donald Trump a écarté l'idée d'une nouvelle rencontre avec Vladimir Poutine, estimant qu'aucune discussion ne serait utile sans perspective d'accord sur la fin du conflit en Ukraine.
Alors que les relations russo-américaines se dégradent, le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi d'une réponse "très forte" en cas d'attaque du territoire russe par des missiles américains Tomahawk, dont l'Ukraine réclame la livraison de la part de Washington.
Donald Trump a laissé éclater son exaspération mercredi envers Vladimir Poutine et annoncé des sanctions qualifiées "d'énormes" contre le secteur pétrolier russe, dans l'espoir d'amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine. En parallèle, l'Union européenne a annoncé mercredi avoir trouvé un accord pour durcir ses sanctions sur les hydrocarbures russes et tarir les ressources du Kremlin. "Ce sont des sanctions énormes (...) Et nous espérons qu'elles ne dureront pas trop longtemps. Nous espérons qu'un terme sera mis à la guerre", a affirmé le président américain en recevant le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.
Le président Vladimir Poutine a estimé jeudi que les sanctions prises la veille par Washington contre le secteur pétrolier russe étaient "sérieuses" mais qu'elles n'auraient pas d'"impact significatif" sur l'économie de son pays.
Donald Trump a expliqué mardi le report sine die de sa rencontre avec Poutine en disant qu'il ne voulait pas de discussions "pour rien", alors que les deux dirigeants envisageaient de se réunir à Budapest pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a entamé mercredi par la Norvège une tournée dans plusieurs pays européens pour obtenir plus d'aide face à Moscou, qui a assuré de son côté que le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump était toujours d'actualité. M. Zelensky se rend en Europe juste après une nouvelle vague de frappes russes nocturnes sur le secteur énergétique ukrainien, qui ont fait au moins six morts et provoqué des coupures de courant à travers le pays. Le président ukrainien a atterri en fin de matinée à Oslo pour rencontrer le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, avant un entretien prévu en Suède avec le Premier ministre Ulf Kristersson dans la ville de Linköping, siège du groupe de défense Saab, qui produit l'avion de chasse Gripen, des systèmes d'armes et sous-marins.
Alors que le président américain, Donald Trump, a annoncé une rencontre prochaine avec son homologue russe Vladimir Poutine, les dirigeants européens ont confirmé, mardi, leur soutien aux efforts de paix en Ukraine. Mais la Russie a relativisé les chances que ce sommet intervienne rapidement.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré lundi être prêt à participer au sommet prévu prochainement à Budapest entre les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine, s'il recevait une invitation en ce sens.
Le chef de la diplomatie russe Segueï Lavrov s'est entretenu lundi au téléphone avec son homologue américain Marco Rubio pour évoquer les modalités du sommet envisagé prochainement à Budapest entre les deux présidents Vladimir Poutine et Donald Trump, a annoncé Moscou.
De passage à Washington pour tenter de négocier des missiles Tomahawks, le président ukrainien a dû déchanter face à son homologue américain, une fois de plus influencé par le maître du Kremlin.
Recevant son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, vendredi, le président américain n’a pas voulu s’engager à fournir des missiles de croisière Tomahawk à Kiev.
Depuis que Donald Trump et Vladimir Poutine se sont appelés, jeudi, pour convenir de se rencontrer prochainement à Budapest, l’impression générale en Russie est que la Maison Blanche est à nouveau bien disposée à l’égard du Kremlin.
Construire «un tunnel Poutine-Trump» sous le détroit de Béring ? L’idée, suggérée par l’émissaire russe Kirill Dmitriev à Elon Musk, a fait son chemin jusqu’à la Maison Blanche, ce qui n’a pas ravi le président ukrainien Zelensky, en visite.
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