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Guerre
L'ordre donné le 18 mars dernier par le président russe Vladimir Poutine d'arrêter pendant 30 jours les frappes sur les sites énergétiques en Ukraine "a expiré", a annoncé vendredi le Kremlin. "Le mois (de moratoire) a en effet expiré. Pour le moment, il n'y a pas eu d'autres instructions de la part du commandant en chef suprême, le président Poutine", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, en réponse à une question de l'AFP. Il a ainsi acté la fin, côté russe, de ce fragile moratoire que Moscou et Kiev se sont accusés mutuellement de violer, tout en saluant cette trêve partielle comme "un certain progrès" sur le chemin vers un règlement du conflit en Ukraine.
L’organisation NewsGuard a dévoilé jeudi l’existence d’une opération de désinformation qui est parvenue, chose rare, à atteindre une importante audience. Son étude montre également que des chatbots répètent certaines des fausses informations.
"Une frappe avec ces missiles contre des installations russes […] sera considérée comme une participation directe de l’Allemagne aux hostilités aux côtés du régime de Kiev, avec toutes les conséquences que cela implique", a mis en garde la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, citée par les agences de presse russes. Selon elle, "le tir réel de ces missiles de croisière est impossible sans l’assistance directe des militaires de la Bundeswehr", l’armée allemande.
"Nous sommes heureux d'annoncer la signature, avec nos partenaires américains, d'un protocole d'intention ouvrant la voie à un accord de partenariat économique et à la création du Fonds d'investissement pour la reconstruction de l'Ukraine"- […] M. Trump souhaite que l'accord, qui vise à accorder aux États-Unis des redevances sur les bénéfices tirés de l'exploitation des ressources ukrainiennes et des minéraux rares, constitue une compensation pour l'aide accordée à l'Ukraine par son prédécesseur, M. Joe Biden.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi l'émissaire de son homologue américain Donald Trump, Steve Witkoff, interlocuteur de Moscou dans les négociations en vue d'un cessez-le-feu, d'avoir "adopté la stratégie russe" et de "diffuser des récits russes"
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Chine de "fournir des armes" à la Russie et de participer à la "production de certaines armes" sur le territoire russe, montant encore d’un cran dans ses critiques envers Pékin. "Nous avons enfin reçu des informations selon lesquelles la Chine fournit des armes à la Russie […] nous pensons que des représentants chinois sont impliqués dans la production de certaines armes sur le territoire de la Russie", a déclaré M. Zelensky lors d’une conférence de presse. Il n’a pas détaillé ses accusations mais a évoqué "la poudre à canon et l’artillerie", promettant d’en dire plus "la semaine prochaine".
Une phrase choc qui résume la situation dans l’enclave palestinienne : «Gaza est devenue une fosse commune pour les Palestiniens et ceux qui leur viennent en aide», a dénoncé ce mercredi 16 avril l’ONG Médecins sans frontières (MSF), en réaction aux opérations militaires et au blocus imposé par Israël sur l’aide humanitaire. «Nous assistons en temps réel à la destruction et au déplacement forcé de toute la population de Gaza», déclare Amande Bazerolle, coordinatrice d’urgence de MSF à Gaza, qui estime que la réponse humanitaire est «gravement entravée par l’insécurité constante et les pénuries critiques».
Le Parlement letton a donné mercredi son feu vert à la sortie de ce pays de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel, en invoquant la nécessité de renforcer sa sécurité dans le contexte de l'invasion russe en Ukraine.
France Chimie, le principal représentant du secteur, alerte ce mercredi 16 avril sur les conséquences sociales potentielles de la politique de droits de douane de Donald Trump et du dumping pratiqué par la Chine et les États-Unis.
Alors que la science n’a sans doute jamais été aussi nécessaire pour éclairer nos choix collectifs, à l’âge du bouleversement climatique et de l’érosion de la biodiversité, sommes-nous face à un nouvel obscurantisme ? Pour analyser ce déni de la parole scientifique, Socialter a interrogé deux chercheurs, le climatologue Christophe Cassou, co-auteur en 2021 du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), engagé dans l’opposition à l’A69, et l’écologue Philippe Grandcolas, spécialiste de la biologie de l’évolution, fin connaisseur des travaux de l’IPBES (plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) et des COP sur la biodiversité.
L’attaque meurtrière de Moscou contre Soumy dimanche a braqué les projecteurs sur cette région du nord de l’Ukraine, où Kiev affirme qu’une offensive russe est déjà en cours. Celle-ci viserait, selon les experts, à étirer les lignes de défense ukrainiennes. Elle donne aussi l’image d’une armée russe qui progresse, à un moment où le front de l’Est s’enlise dans une impasse sanglante.
"Continuer à détourner le regard du Soudan aura des conséquences catastrophiques" pour le pays qui entre dans sa troisième année de guerre civile mais aussi pour la région, a mis en garde mardi le Haut-Commissaire de l'ONU aux réfugiés.
La situation humanitaire dans la bande de Gaza est "probablement la pire depuis le début de la guerre il y a 18 mois" entre Israël et le Hamas, a prévenu lundi le Bureau des affaires humanitaires de l'Onu (Ocha) dans un communiqué.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé Donald Trump à se rendre en Ukraine pour constater la dévastation laissée par l'agression russe, dans une interview diffusée dimanche sur la chaîne de télévision américaine CBS.
Une frappe israélienne a sévèrement endommagé dimanche l'un des rares hôpitaux encore en fonction dans la bande de Gaza, Israël affirmant avoir ciblé un "centre de commandement" du mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a rejeté cette allégation.
Alors que, fidèle à sa tactique, Vladimir Poutine fait volontairement traîner les négociations avec le président américain sur un cessez-le-feu, les Européens, exclus du processus, auraient tort de baisser la garde.
Selon Keith Kellogg, il faudra répartir présences russe et européenne dans le pays après le conflit. Ou alors envisager une «zone démilitarisée» sur le modèle de ce qui perdure entre les deux Corées depuis les années 50.
L’envoyé américain pour l’Ukraine, l’ex-général Keith Kellogg, a suggéré une partition de l’Ukraine sur le modèle “de Berlin après la Seconde Guerre mondiale” pour mettre fin au conflit avec la Russie, révèle “The Times”. En déplacement en Russie, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump aurait de son côté proposé de donner “la propriété” de quatre régions ukrainiennes à Moscou.
Moscou fait face à une grave pénurie de main-d’œuvre. Les autorités tentent de répondre par l’immigration contrôlée, la robotisation et des politiques natalistes, sans résultats probants, constate la spécialiste de la Russie Tatiana Kastouéva-Jean.
L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire des Etats-Unis Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.
Attirés en Russie par la perspective d'un emploi, ces jeunes Bangladais affirment avoir été enrôlés pour combattre en Ukraine. La mort récente de l'un d'eux sur le front a suscité une vive inquiétude dans leurs familles, qui ont appelé le gouvernement à l'aide.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs et d’anciens ambassadeurs appelle, en Europe, à dénoncer sans ambiguïté l’idéologie suprémaciste qui anime désormais le gouvernement de l’Etat hébreu : il vient de créer une « Autorité d’émigration », visant à « relocaliser » plusieurs millions de Palestiniens de Gaza puis, probablement, de Cisjordanie.
"À l’heure actuelle, nous savons qu’au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d’occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s’exprimait par vidéo lors d’une réunion des chefs militaires des pays alliés de l’Ukraine à Bruxelles. Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dénoncé mardi la situation à Gaza, qualifiant l'enclave palestinienne de "champ de mort" en raison du blocus par Israël de l'aide humanitaire. Une accusation rejetée par le gouvernement israélien, qui affirme qu'il n'y a "pas de pénurie" d'aide.
Les droits de douane historiques et massifs, décidés par l’administration Trump contre la Chine – 104 % ajoutés depuis le début de mandat en janvier – sont bien entrés en vigueur, de même que ceux annoncés le 2 avril contre une soixantaine de pays. Au même moment, une surtaxe allant de 11% à 50% s’est appliquée à 60 partenaires commerciaux des États-Unis - la plus monumentale vague de droits de douane à se jour.
[...] Sous pression américaine, Kiev a accepté, mi-mars, une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours. La Russie avait rejeté cette initiative en l'état mais accepté une trêve plus limitée en mer Noire et dans les frappes sur les infrastructures énergétiques, dont la mise en œuvre reste incertaine. [...] Ces derniers jours, Kiev a dénoncé une multiplication des frappes russes, notamment un tir de missile qui a touché vendredi une zone d'habitation à Kryvyï Rig (centre) et qui a fait 20 morts, dont neuf enfants, selon Kiev.
Deux soldats chinois combattant pour la Russie ont été arrêtés en Ukraine, a annoncé mardi sur ses réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accompagnant son message d'une vidéo de l'un des deux soldats. Le chef de l'État a réclamé des explications à Pékin, et une "réaction" des Occidentaux, notamment des États-Unis.
Le président ukrainien affirme détenir les documents de ces prisonniers, arrêtés dans la région de Donetsk. Il aurait également que leurs cartes bancaires et leurs données personnelles. Depuis le début de la guerre, ce serait une première. Le président Volodymyr Zelensky a déclaré ce mardi 8 avril que les troupes ukrainiennes avaient capturé deux citoyens chinois combattant aux côtés des forces russes et a déclaré que Kyiv exigerait des explications de Pékin et une réaction de ses alliés.
L’homme le plus riche du monde s’en est pris à la guerre commerciale du président américain via une vidéo de l’économiste Milton Friedman, avant de cibler publiquement ce mardi 8 avril son inspirateur Peter Navarro. [...] Ça sent le sapin pour la bromance Trump-Musk. Le second s’en est violemment pris au conseiller au commerce du premier ce mardi 8 avril, dans deux messages successifs publiés sur X. Elon Musk a estimé que Peter Navarro - l’inspirateur de la politique de droits de douane du président américain - est un «crétin», «bête comme ses pieds».
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié mardi la Belgique pour son nouveau paquet d'aide militaire d'une valeur d'un milliard d'euros.
Selon l'enquête, 62% des répondants craignent qu'une troisième guerre mondiale éclate. Un quart des sondés disent même être "très effrayés" par une telle perspective.Plus de deux tiers des sondés (63%) ont en outre peur que des armes nucléaires soient utilisées. Les jeunes Belges (entre 18 et 34 ans) sont plus inquiets que les Belges de plus de 55 ans.
Guerre en Ukraine : Zelensky dénonce l'absence de réponse américaine au refus dune trêve par Poutine
(06/04) - Afp,Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
Près de 250.000 soldats russes ont été tués depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Au total, 900.000 militaires sont morts ou ont été blessés, a indiqué jeudi un fonctionnaire de l’Otan, en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
Les ministres français et britannique des Affaires étrangères ont affirmé vendredi que la Russie frappait toujours des infrastructures énergétiques en Ukraine, accusant Moscou de saper les efforts de paix américains.
Une frappe russe sur la ville méridionale de Kherson mardi matin a privé d'électricité 45.000 de ses habitants, a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, accusant Moscou de "violer" à nouveau un accord sur une trêve partielle.
Cela fait trois ans que la Russie a lancé son plan d'invasion en Ukraine. Dans ce long conflit aux portes de l'Europe, les dirigeants du monde s'investissent afin que la guerre n'éclate pas à un niveau mondial.
Depuis l’invasion russe, plus de 71 % de la population s’est engagée dans le volontariat, l’un des piliers de la résistance. Chacun participe à son échelle à l’effort de guerre, dans tous les domaines liés au conflit.
Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l'accord sur les minerais stratégiques d'Ukraine, auxquels Washington veut obtenir un accès. [...] sans fournir de détails sur cette nouvelle version qui est, selon des médias, très défavorable pour l'Ukraine.
"Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique" avant de pouvoir passer à l'étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d'un point presse. "Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe", a-t-il souligné
Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
L'opérateur énergétique ukrainien Naftogaz a accusé vendredi la Russie d'avoir frappé ses infrastructures gazières, en violation d'un fragile accord annoncé par Washington et censé interdire les frappes sur les sites énergétiques.
Lundi 17 mars, pour la première fois depuis plus de cinquante ans, le gouvernement des Etats-Unis a refusé d’envoyer de l’eau du Rio Colorado à Tijuana, une ville de près de 2 millions d’habitants qui souffre de graves pénuries durant la saison sèche. Le motif, selon Brooke Rollins, secrétaire à l’agriculture de l’administration de Donald Trump : obliger le gouvernement du Mexique à verser plus d’eau dans le Rio Bravo (Rio Grande aux Etats-Unis), un fleuve situé à plus de 1 000 kilomètres de Tijuana, pour satisfaire les agriculteurs du Texas.
Ni la Russie ni l'Ukraine n'ont mené de frappes visant des sites énergétiques depuis le 25 mars, jour où les Etats-Unis ont annoncé un accord en vue d'une trêve limitée à de telles installations, a indiqué jeudi à l'AFP un haut responsable ukrainien. "Depuis le 25 mars, nous n'avons pas vu de frappes russes directes contre le secteur de l'énergie, nous n'avons donc pas frappé là-bas" en Russie, qui a lancé il y a trois ans son invasion de l'Ukraine, a indiqué ce responsable s'exprimant sous couvert de l'anonymat.
Une mission franco-britannique se rendra «dans les prochains jours en Ukraine» pour préparer «ce que sera le format de l’armée ukrainienne» ainsi qu’un possible déploiement de forces de «plusieurs pays européens» alliés après un éventuel accord de paix, a annoncé jeudi Emmanuel Macron.
La commissaire européenne chargée de la préparation et de la gestion des crises, Hadja Lahbib, a présenté mercredi 26 mars plusieurs mesures que la population devrait suivre pour anticiper une crise. Elle appelle les Etats membres à créer une stratégie commune sur le sujet. [...] Se préparer aux crises en stockant chez soi trois jours de conserves et d’eau, une lampe torche et un couteau. Mercredi 26 mars, l’Union européenne a présenté sa première «stratégie de préparation» comme le rapporte le Guardian. L’objectif, explique la Commission européenne dans un communiqué, est de prendre «des mesures proactives pour se préparer aux crises, telles que l’élaboration de plans d’urgence pour les ménages et la constitution de stocks de produits de première nécessité».
Depuis trois ans, l’ingéniosité et les capacités d’adaptation de l’armée ukrainienne ont été largement vantées, notamment en ce qui concerne l’usage des drones. Ce sont pourtant les forces russes qui ont pris l’avantage, ces derniers mois, dans ce domaine avec une innovation qui a, semble-t-il, pesé lourd dans la reconquête, encore partielle, de la partie occupée de l’oblast de Koursk. Elles ont ainsi été les premières à recourir à l’automne aux drones filoguidés, c’est-à-dire commandés à l’aide d’un long et fin cordon de fibre optique, pour résoudre le problème du brouillage électronique.
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l’égide des Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime… que le Kremlin a aussitôt conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusés mercredi de vouloir faire échouer un accord, annoncé la veille par l'intermédiaire des Etats-Unis et qui doit déboucher, sous conditions, à une trêve en mer Noire et à un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques. Mercredi matin, les belligérants ont donc dénoncé les attaques menées dans la nuit par chaque camp.
Ces deux traités limitaient jusqu’ici certains risques de dommages collatéraux sur les civils, ces bombes et ces mines pouvant rester actives très longtemps sur le terrain après avoir été lancées ou installées. Mais la Lituanie a annoncé s’être désengagée du traité sur les armes à sous-munitions le 6 mars, suivie par la Pologne et les pays baltes, qui ont annoncé, le 18 mars, renoncer à bannir les armes antipersonnel.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
L'Ukraine a besoin de soldats européens "prêts à combattre" sur son territoire après la guerre et non une force de maintien de la paix, a déclaré à l'AFP mercredi un responsable ukrainien participant aux négociations pour un cessez-le-feu avec la Russie.
"Si quelqu'un devait se tromper et penser qu'il peut s'en tirer avec une attaque contre la Pologne ou tout autre allié, il serait confronté à toute la force de cette alliance farouche. Notre réaction sera dévastatrice", a-t-il déclaré, en citant nommément le président russe Vladimir Poutine.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
Mais qu’en pensent les Européens ? Sont-ils aussi enclins que leurs dirigeants à soutenir l’achat d’armes, à vouloir augmenter le budget de défense, à craindre la guerre ou Donald Trump ? Une enquête de grande ampleur a sondé l’opinion publique dans neuf Etats de l’Union européenne.
Une nouvelle rencontre entre responsables ukrainiens et américains s'est achevée mardi en Arabie saoudite, au lendemain de pourparlers américano-russes qui n'ont pas abouti à l'annonce d'une trêve, même très limitée, espérée par Donald Trump.
Une rencontre attendue entre responsables russes et américains sur la guerre en Ukraine n'a pas abouti à une trêve, même limitée, Moscou ayant posé mardi ses conditions avant tout accord concernant la mer Noire, parmi lesquelles un assouplissement des restrictions sur ses exportations agricoles.
La Russie et l'Ukraine ont accepté de cesser les hostilités en mer Noire, a annoncé mardi la Maison Blanche, après des négociations menées depuis dimanche par l'intermédiaire des États-Unis en Arabie saoudite. Washington s'est dit prêt à aider Moscou pour exporter ses produits agricoles et engrais sur les marchés mondiaux, ce que regrette Volodymyr Zelensky.
Les États-Unis se sont accordés avec l’Ukraine pour mettre fin aux combats en mer Noire, avant d’annoncer que la Russie allait également cesser les hostilités. [...] La Maison Blanche a annoncé mardi 25 mars s’être mis d’accord avec Kyiv pour cesser les hostilités en mer Noire, avant d’assurer que la Russie allait également suspendre les combats dans cette région. L’Ukraine puis la Russie ont confirmé la cessation des combats sur cette zone.
Le Kremlin a indiqué mardi que la trêve dans les frappes sur les infrastructures énergétiques en Ukraine et en Russie, discutée lors de pourparlers avec les Etats-Unis, concernait notamment les raffineries, les gazoducs et les centrales électriques. Cette trêve de 30 jours avait été annoncée le 18 mars par les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump mais jamais réellement appliquée, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de poursuivre les attaques.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Des négociations sur une trêve en Ukraine ont lieu actuellement à Riyad, en Arabie saoudite. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le sujet principal de discussion portera sur la reprise de l’accord céréalier en mer Noire, un accord qui était en vigueur pendant un an entre juillet 2022 et juillet 2023. De quoi s’agit-il exactement ? Et pourquoi est-ce un sujet si important ? Décryptage.
L’outil ressemble à une simple scie circulaire fixée à un bras articulé, mais, conçu en alliage de titane, il peut résister à la pression de profondeurs jusqu’à 4 000 mètres, soit deux fois plus bas que le plus profond des câbles sous-marins actuels. Les chercheurs d’un institut officiel chinois qui l’ont créé le présentent comme un instrument de « développement des ressources marines », mais il pourrait aussi s’avérer une arme redoutable dans une bataille de plus en plus évidente ciblant les câbles optiques posés au fond des océans.
Le collectif NoName serait à l'origine de cette attaque.
Pour négocier à Riyad avec les Américains, la Russie a envoyé Grigori Karassine, un ancien diplomate de haut rang expert du dossier ukrainien, et Sergueï Besseda, ex-responsable du FSB en charge de la collecte de renseignements. Deux personnalités au profil moins politique que technique, dont la mission sera de faire avancer les pions de Moscou face à l'administration Trump.
Au cours des trois dernières années, le Kremlin s'est lancé dans un projet visant à enlever des enfants ukrainiens et à les transformer de force en la prochaine génération de Russes.
Un historien allemand, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, affirme que la Russie pourrait entrer en guerre avec l'OTAN, via la Lituanie, d'ici la fin de l'année. La Rédaction
Comme craint, attendu, ou espéré, selon le côté des barricades où l’on se trouve, les négociations à Riyad sur l’avenir de l’Ukraine n’auront, une nouvelle fois, pas accouché de grand-chose. Lundi, en début de soirée, après douze heures discussions, les agences russes ont annoncé que Moscou et Washington publieront ce mardi un communiqué commun.
Ukrainiens et Américains ont tenu de nouvelles discussions dimanche en Arabie saoudite en vue d'une trêve partielle dans la guerre entre l'Ukraine et la Russie, à la veille de pourparlers russo-américains qualifiés d'emblée de "difficiles" par le Kremlin.
Donald Trump s'attend à la signature "très prochaine" d'un accord sur les minerais avec l'Ukraine. Les États-Unis chercheraient à obtenir de nouvelles conditions plus favorables en échange d'investissements dans le précieux secteur minier ukrainien, estimé à plus de 11 billions de dollars. Nos reporters se sont rendus dans une mine de graphite et dans la ville attenante pour recueillir l'avis des habitants sur un éventuel futur accord avec Washington.
Des négociations vont avoir lieu lundi en Arabie Saoudite, entre les Américains et les Russes. Lors de ces discussions concomitantes entre Ukrainiens et Américains d'un côté, et Russes et Américains de l'autre, il s'agira de tenter de s'accorder entre ces acteurs sur une trêve des attaques visant les infrastructures énergétiques des deux camps, après trois ans d'offensive russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.
Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce vendredi avoir ordonné à l’armée de «saisir davantage de territoire à Gaza» qui pourra selon lui être «annexé» à Israël si le Hamas ne libère pas les otages. [...] Une rare critique du président israélien envers Benyamin Nétanyahou. Alors que l’armée israélienne poursuit ce vendredi son opération au sol dans le sud de la bande de Gaza, le président israélien Isaac Herzog s’est dit «troublé» par la reprise des combats.
L'Allemagne a approuvé vendredi une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine d'un montant de trois milliards d'euros, à quelques jours de pourparlers sous l'égide des Etats-Unis avec Moscou et Kiev devant porter sur une trêve limitée.La commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, a officiellement donné son feu vert à l'octroi de ces fonds, en suspens depuis des mois en raison des réticences du chancelier sortant Olaf Scholz au regard de la situation budgétaire de son pays.
Résolu à assurer son maintien au pouvoir, le Premier ministre s’efforce désormais de limoger les responsables institutionnels qui le gênent. Dans la société israélienne, la contestation s’intensifie. [...] Fou de jalousie. Observant son copain d’avant, avec qui il faisait des virées mémorables dans les bars de New York dans les années 80, lui jeune ambassadeur, l’autre déjà promoteur immobilier prometteur, Benyamin Nétanyahou n’en revient pas. Pourquoi devrait-il accepter les limites que lui impose la démocratie alors que son pote Donald Trump est libre comme l’air, poussant le luxe jusqu’à poursuivre ses ennemis sans aucune contrainte judiciaire ?