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écologie capitalisme
Le calendrier révolutionnaire de Reporterre a renommé août. Place au mois d'outarde ! Un mois qui fait l'éloge des penseuses et penseurs du vivant, de l'écosabotage et de la vie simple pour sortir de l’exploitation capitaliste.
Le contexte de crise écologique favorise l’émergence d’initiatives qui invitent à revoir radicalement le rapport entre les hommes et la nature.
Hervé Kempf, le fondateur et rédacteur en chef du média Reporterre sera présent à Bruxelles ce mardi 10 octobre à la soirée d’ouverture du Festival Alimenterre. Entretien.
Depuis 2018, la jeune militante Léna Lazare réfléchit aux stratégies pour faire vaciller la politique néolibérale et antiécologique des macronistes. Et s’en prend aux « technosolutionnistes ». Un regard lucide et radical jamais hors sol.
Karl Marx a souvent été considéré par les mouvements écologistes comme un productiviste, fasciné par le progrès technique et insensible à la nature. Pour J. B. Foster et B. Clark, il est au contraire urgent de réconcilier l’écologie politique avec sa critique du capitalisme.
Récemment, le dernier rapport du GIEC nous donnait trois ans pour inverser notre courbe d’émissions de dioxyde de carbone pour limiter le réchauffement climatique à un niveau acceptable d’ici la fin du siècle. De même, les niveaux de pollutions atteints dans l’ensemble des écosystèmes ainsi que la baisse rapide de la biodiversité obligent à agir rapidement. Pourtant, la régulation des rapports économiques avec l’environnement nécessite de dresser un constat clair des causes de sa dégradation généralisée. Où faut-il les chercher ?
Une carte blanche de Bruno Colmant, Docteur en Économie appliquée, Expert-comptable, Membre de l’Académie Royale de Belgique.
les institutions politiques modernes sont en crise et semblent incapables de répondre à la catastrophe écologique. En partant de différentes luttes menées à travers le monde, les auteurs font apparaître d’autres manières de faire politique depuis les milieux de vie. Prenant acte des critiques décoloniales et écoféministes, ils dessinent les contours d’une cosmopolitique qui tienne compte des différentes manières d’habiter la Terre. Sophie Gosselin · David Gé Bartoli 24 octobre 2022
Faire face au changement climatique semble compromis dans le cadre de nos organisations politiques contemporaines.
Publié pour la première fois en 2015 dans sa version anglo-saxonne sous le titre de Drinking Molotov Cocktails With Gandhi, le livre de Mark Boyle a enfin été traduit dans la langue de Molière pour soumettre au public francophone une perspective injustement diabolisée : l’écologie radicale.
L’organisation patronale a présenté le 16 mai les résultats d’une étude sur la transition écologique. Misant tout sur la technologie, elle prône la croissance « sobre ». Et assure que le capitalisme « a toujours trouvé des solutions ».
Il y a quelques mois, paraissait aux éditions Amsterdam l’essai Terre et capital. Son auteur, le docteur et enseignant en philosophie Paul Guillibert, y mène une critique écologique du capitalisme depuis une histoire environnementale de la pensée marxiste. Guillibert invite ainsi, avec d’autres, à « abandonner les vieilles oppositions mal construites » : plus rien ne justifie d’opposer la défense du monde du travail à celle de l’environnement et des non-humains.
Qui était Ivan Illich ? Un critique féroce de l’industrialisation qui asservit l’humain... mais aussi un être plein d’espoir. À l’heure où le technocapitalisme maintient son cap insensé, Hervé Kempf brosse le portrait d’un penseur qui appelait à une « société conviviale ».
De COP en COP le système capitaliste recycle les vieilles promesses mais s'emploie à ne rien changer. Mais désormais le roi est nu. L'échec de la COP26 met un point final au mythe d'une coexistence possible entre capitalisme et écologie. Les faits sont posés: la préservation de l'un ne se fera pas sans abandon de l'autre. Chacun devra maintenant se positionner en conséquence.
Nous nous trouvons engagés par les communs négatifs que nous lèguent le monde organisé dans et par le capitalisme. Que faire de ces infrastructures, projets et imaginaires ? Héritage et fermeture sont les deux gestes d’une écologie proprement responsable : en finir avec ce monde-là.
L’appropriation, l’exploitation et l’asservissement de la nature, selon un courant qui entend renouveler le marxisme à la lumière de l’écologie, mènent le capitalisme à ses limites structurelles. Mais cette crise enveloppe-t-elle les conditions de son dépassement ?
nous trouvons engagés par les communs négatifs que nous lèguent le monde organisé dans et par le capitalisme. Que faire de ces infrastructures, projets et imaginaires ? Héritage et fermeture sont les deux gestes d'une écologie proprement responsable : en finir avec ce monde-là.
Le capitalisme est souvent considéré comme le principal responsable de la crise écologique que nous traversons. Mais ses représentants n’ont jamais cessé de proposer des outils pour résoudre les crises environnementales, parmi lesquels nous trouvons la compensation écologique . Selon ce principe, analogue au « pollueur-payeur », l’aménageur qui détruit un écosystème doit en recréer un autre, similaire, dans un autre lieu, par exemple sur un site dégradé.
Les crises économiques, écologiques ou sanitaires n’ont pas entraîné de bouleversements profonds dans notre manière de nous relier à la Terre et aux autres. Pourtant, il y a urgence. Pour Dominique Bourg, il nous reste dix ans pour agir.