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Fossiles
Les énergies renouvelables se déploient au niveau mondial plus vite que les énergies fossiles, malgré les changements de politiques aux Etats-Unis, indique mercredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) qui, dans son scénario médian, voit aussi la demande de pétrole "se stabiliser vers 2030". Les renouvelables, tirées par le solaire photovoltaïque, voient leur demande croître "plus rapidement que toute autre source majeure d'énergie, dans tous les scénarios" présentés par l'AIE dans son rapport annuel sur les perspectives énergétiques mondiales (WEO 2025).
Parmi les trois scénarios présentés dans le rapport annuel de l’AIE, l’un envisage que la demande de pétrole et de gaz augmente jusqu’en 2050.
Parce que les énergies renouvelables coûtent moins cher que les fossiles, leur croissance exponentielle est désormais inarrêtable. Mais cela reste insuffisant pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre, alors que la demande énergétique est hors de contrôle, prévient l’Agence internationale de l’énergie.
Watchdog’s flagship report says rise in low-carbon electricity will make transition ‘inevitable’, despite Trump’s calls to carry on drilling
L'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a maintenu mercredi ses prévisions de hausse de la demande mondiale de pétrole pour 2025 et 2026, en tablant sur une "dynamique économique mondiale robuste" et une atténuation des tensions commerciales.
Depuis l’accord de Paris sur le climat en 2015, le solaire et l’éolien se développent à un rythme phénoménal mais le charbon, le pétrole et le gaz restent dominants. La COP30 de Belem, au Brésil, permettra de tester la volonté politique des Etats d’organiser une sortie des énergies fossiles.
Le 10 novembre s’ouvre la COP30 au Brésil. Boycott de Donald Trump, maintien des fossiles, objectifs climatiques beaucoup trop faibles... Reporterre récapitule les 5 points à retenir.
Le géant britannique des hydrocarbures Shell a annoncé lundi l'abandon de deux projets d'éolien flottant en Mer du Nord au large de l'Écosse, dans le cadre de sa stratégie de recentrer ses activités sur le pétrole et le gaz pour doper ses bénéfices.
Donald Trump a accepté d'accorder à la Hongrie une dérogation aux sanctions américaines liées au pétrole russe, lors d'une rencontre vendredi avec le Premier ministre Viktor Orban, dont il a loué de manière appuyée la politique anti-immigration.
Des dizaines de dirigeants mondiaux doivent encore s'exprimer, vendredi à Belém, au Brésil, avant le début, lundi, des négociations climatiques de la COP30. Les participants ont admis que le monde ne réussirait pas à se maintenir sous 1,5 °C de réchauffement. Mais la phrase du président Lula, qui dans son discours d'ouverture a appelé à une "feuille de route" pour "surmonter la dépendance aux combustibles fossiles", a été particulièrement applaudie.
Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem. Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne. Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.
Le président brésilien Lula a appelé vendredi à une sortie "juste" et "ordonnée" des énergies fossiles, envoyant un signal politique fort au sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem. Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas officiellement à l'agenda de la conférence de l'ONU sur le climat, qui s'ouvrira lundi pour près de deux semaines dans cette ville d'Amazonie brésilienne. Mais certains pays comme le Brésil, huitième producteur mondial de pétrole, veulent remettre le sujet dans les débats, en l'absence notable de grands pays pétroliers, à commencer par les Etats-Unis de Donald Trump.
Le rapport annuel du Programme des Nations unies pour l’environnement vient de tomber avec une révélation que personne ne souhaite entendre : quand bien même l’intégralité des engagements climatiques seraient honorés à la lettre, l’objectif phare de l’accord de Paris sera pulvérisé avant 2035. Cette projection n’émane pas de militants écologistes alarmistes, mais d’une analyse rigoureuse menée par des dizaines de scientifiques mandatés par l’ONU. Les chiffres sont sans appel et redessinent brutalement notre avenir climatique.
António Guterres a reconnu jeudi à Belém que l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C est hors de portée, tout en soulignant le potentiel des énergies renouvelables pour agir dès maintenant.
Pays le plus peuplé du monde et troisième plus gros émetteur de gaz à effet de serre de la planète, l'Inde reste profondément dépendante au charbon pour satisfaire sa demande en énergie. Et pourtant, elle est aussi un poids lourd de la diplomatie du climat. Voici ce que l'on sait des engagements de New Delhi en matière de climat, avant l'ouverture lundi au Brésil de la COP30, la conférence des Nations unies sur le climat. - Emissions - L'Inde a émis 4,4 milliards de tonnes équivalent CO2 en 2024 - une unité de mesure des gaz à effet de serre favorisant le changement climatique - selon l'ONU, dépassée seulement par la Chine et les Etats-Unis. Mais avec une population de 1,4 milliard d'habitants, ses émissions par tête sont loin de figurer en haut du tableau.
Ce mercredi, Donald Trump fête le premier anniversaire de son élection à la tête du pays, le 5 novembre 2024. Depuis, le président d’extrême droite a détruit la politique climatique des États-Unis. Vert dresse le bilan de sept attaques portées au climat et à la santé des Américain·es.
D’après les prévisions du groupe pétrolier, la réalisation de l’accord de Paris est « hors de portée ». La décarbonation du système énergétique nécessite d’investir d’abord dans les pays émergents.
L'Arabie saoudite, la Russie et six autres producteurs de pétrole membres de l'Opep+ se réunissent dimanche pour, selon toute attente, décider d'une nouvelle augmentation de leur production en décembre et poursuivre leur reconquête de parts de marché. Le groupe devrait convenir d'une légère augmentation de ses quotas de 137.000 barils par jour, similaire à celle décidée le mois dernier, selon Emily Ashford, analyste chez Standard Chartered, interrogée par l'AFP. Depuis avril, l'Arabie saoudite, la Russie, l'Irak, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, Oman et l'Algérie ont rehaussé leurs objectifs de production d'environ 2,7 millions de barils par jour (mb/j). Un rythme que personne n'anticipait en début d'année de la part de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) qui a longtemps lutté contre l'érosion des prix en organisant la raréfaction de son offre de pétrole.
La multiplication des projets de terminaux d’exportation de GNL avalisés par l’administration Trump pourrait entraîner un excédent massif de l’offre à partir de 2027.
Le Parlement bulgare a adopté vendredi une motion limitant les exportations de produits pétroliers vers d'autres États membres de l'Union européenne, afin de garantir la sécurité énergétique du pays, à la suite des sanctions imposées par les États-Unis aux hydrocarbures russes.
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