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Le sol sous la mer d’Aral, dont le volume a diminué de 93% depuis 1960, est revenu à l’emplacement qu’il occupait avant l’existence du lac et continue même de s’élever, affirme une étude publiée ce lundi 7 avril. Une preuve que l’activité humaine peut influencer la Terre jusque dans son manteau supérieur.
La Mer d’Aral, autrefois le quatrième plus grand lac du monde, est aujourd’hui un symbole frappant des conséquences dramatiques de la gestion environnementale hasardeuse. Située entre le Kazakhstan et l’Ouzbékistan, cette vaste étendue d’eau s’étendait sur 68 000 km² dans les années 1960. Pourtant, en seulement quelques décennies, elle s’est réduite à une fraction de sa taille initiale. Ce déclin, orchestré par l’Union soviétique, résulte d’un projet d’irrigation massif. Cet article explore les raisons de cette catastrophe, ses conséquences à long terme et les efforts de restauration entrepris.
Plus de 540 hectares d'arbres natifs du Mexique ont été plantés près du Colorado, fleuve complètement asséché par l'agriculture intensive et les loisirs. Les oiseaux migrateurs sont désormais de retour.
BAKOU, Azerbaïdjan – Depuis trente ans, le niveau de la mer Caspienne recule à un rythme inquiétant. La vie marine ainsi que les activités portuaires et économiques de toute une région sont menacées.
Plusieurs études récentes montrent que la quantité d’eau douce accaparée par le système techno-industriel augmente à un rythme alarmant.L'une de ces études montre que les activités industrielles ont massivement modifié les flux d'eau de surface dans le monde et mis en péril le cycle de l'eau essentiel à des formes de vie aussi variées que les poissons et les forêts. L'autre confirme qu'en de nombreux endroits de la planète, les aquifères et les puits d'eau souterraine sont pompés et exploités plus rapidement qu'ils ne peuvent se reconstituer.
La production de l’avocat, très rentable, a explosé ces dernières années au Maroc. Les faibles précipitations poussent les agriculteurs à puiser dans les eaux souterraines. Et à côté, les coupures d’eau au robinet se multiplient.
Depuis vingt ans, la mer Caspienne voit son niveau baisser et son littoral inexorablement grignoté. Ce déclin touche surtout le nord de ce vaste bassin intérieur, que se partagent la Russie et le Kazakhstan. L’assèchement met en péril la biodiversité et impacte durement les populations kazakhes ainsi que plusieurs secteurs : pêche, transports fluviaux et maritimes, tourisme et même hydrocarbures...
A sec. Niché en plein cœur de la Sicile, le lac de Pergusa est aujourd’hui réduit à une flaque d’eau stagnante. Ce bassin naturel est la victime visible de la sécheresse qui frappe l’île depuis des mois.
En raison du déficit hydrique et de l’activité humaine, la plus grande zone humide de la planète brûle un peu plus chaque année, au risque de voir disparaître une biodiversité unique.
La région montagneuse de l’Ouest, riche d’oliviers, de figuiers et d’amandiers jusqu’à la fin des années 1990, se vide progressivement de ses habitants et de ses troupeaux. ... Située à 200 km au sud-ouest de Tripoli, cette zone « très pluvieuse jusqu’à la décennie 1986-1996 », selon lui, était connue pour ses plantations d’oliviers, figuiers et amandiers. Aujourd’hui, le spectacle est désolant : au milieu d’un désert rocailleux battu par le vent, les arbustes, souffrant du manque de pluies et de températures dépassant les normales saisonnières, peinent à produire des fruits ou sont complètement asséchés.
Une étude propose de déshydrater intentionnellement une partie de l'atmosphère pour réduire l’effet de serre et le réchauffement climatique.
Site classé en plein cœur de l’Hérault et du Languedoc, le lac du Salagou est mis à mal par le manque de pluie. Dans ce contexte, les projets d’irrigation pour la vigne inquiètent des riverains.
Eau secours. Emmanuel Macron clôt ce jeudi 16 novembre sa visite d’État de deux jours en Suisse. Parmi les sujets à l'ordre du jour, le président de la République a abordé la question du Rhône dont il souhaite augmenter le débit. Refroidissement des centrales nucléaires, production hydroélectrique, irrigation, industrie, eau potable… les besoins français ne cessent d'augmenter alors que les effets du changement climatique pèsent déjà sur ce puissant fleuve.
Une étude parue dans la revue « Science Advances » confirme la tendance globale à la perte d’humidité en lien avec le réchauffement du climat, avec de multiples conséquences délétères.
Dans le Sud, les précipitations orageuses de mai ont soulagé les sols superficiels, mais les niveaux des nappes restent « peu favorables ».
À Saint-Colomban, en Loire-Atlantique, le niveau des puits inquiète et des étangs sont parfois à sec. Une tension sur l’eau que des riverains imputent à l’exploitation d’une carrière de sable.
Une grande partie du pays est placée en alerte météorologique ce mardi 30 mai en raison de pluies diluviennes. L’eau ruisselle sur la terre aride et cause d’importantes inondations.
Dans le sud-est de l’Espagne, menacé par la désertification, une association expérimente des techniques agricoles qui respectent les sols et économisent l’eau. Des producteurs d’amandiers témoignent.
Le dérèglement climatique et la consommation humaine, en sont les principaux responsables, selon une étude.
Sur les trente dernières années, la quantité d’eau diminue dans la majorité des lacs et réservoirs du monde, selon une étude publiée dans «Science», qui attribue largement cette tendance au réchauffement climatique et à la surexploitation.