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Dans un monde où l’information est devenue à la fois omniprésente et suspecte, la destruction délibérée de bases de données scientifiques évoque de sombres souvenirs historiques. Elle représente une menace sérieuse pour l’avenir de la connaissance partagée, le progrès scientifique global et, plus fondamentalement, la richesse des nations. Depuis le 20 janvier 2025, l’administration aux commandes de la première puissance mondiale mène une campagne méthodique contre les données, particulièrement celles à caractère scientifique. Plus de 3 400 jeux de données, dont 2 000 à vocation scientifique, ont été supprimés des sites gouvernementaux américains. Cette offensive cible prioritairement les informations relatives au changement climatique, à la santé publique et à l’équité sociale.
Une soixantaine de pays dont la France et la Chine ont signé mardi un partenariat global pour une IA "ouverte" et "éthique", auquel n'ont pas souscrit les États-Unis et le Royaume-Uni. Le vice-président américain J.D Vance s'est démarqué par son discours très offensif sur la bataille de l'IA et sur la position hégémonique que son pays entend conserver.
« Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle », a déclaré Emmanuel Macron en clôture de l’événement.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne figurent pas parmi les 61 premiers pays signataires d’une déclaration pour une intelligence artificielle «durable pour les populations et la planète» publiée mardi à l’issue du Sommet sur l'IA.
En marge du sommet de Paris sur l’intelligence artificielle, RSF a appelé ce lundi 10 février à une plus grande implication des rédactions pour un «usage responsable» de cette technologie.
Libre Eco week-end - Une chronique de Roald Sieberath, entrepreneur, investisseur pour Noshaq, professeur invité à l’UCLouvain et l’UNamur, et président de l’Agence du Numérique (Digital Wallonia).
Figure reconnue de la vulgarisation scientifique française sur le climat, Loïc Giaccone dénote par ses posts et articles fouillés traitant de thématiques diverses liées aux enjeux environnementaux (inégalités, scénarios climatiques, et bien d’autres). Son astuce pour vulgariser ? Simplement « faire des choses qui nous font envie » explique-t-il, car en matière de risques environnementaux, on s’apprête plus à « courir un marathon plutôt qu’un sprint ».
À l’heure où nous nous effarons sans cesse des progrès de l’intelligence artificielle, une réflexion sur le travail est plus que jamais nécessaire.
Mercredi, la Commission européenne doit proposer un texte favorisant les « nouvelles techniques génomiques » (NTG)[1]. « L’idée est d’apporter aux agriculteurs de nouveaux outils pour développer des plantes utilisant moins de pesticides, mieux adaptées au changement climatique car moins gourmandes en eau ou plus résistantes aux sécheresses », justifie la Commission [2]. Pour la commissaire à la Santé, Stella Kyriakides, « c’est la voie à suivre ».
Bruxelles présente jeudi son projet de nouvel organisme chargé d'établir des standards éthiques pour les institutions européennes, une avancée promise avant même le scandale du "Qatargate" qui est jugée très insuffisante par des experts et eurodéputés.
Après le “quiet quitting” et le “quick quitting”, voici le “conscious quitting”. Encore un anglicisme pour désigner une raison qui pousse les salariés à se séparer de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. Dans ce cas précis, le facteur qui les incite à quitter le navire est directement lié aux valeurs qu’ils défendent. De plus en plus de salariés disent adieu à une boîte lorsqu’ils estiment que celle-ci n’est pas assez engagée sur le plan écologique ou sociétal.
Le dérèglement climatique est la plus grande crise à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. Le rôle des entreprises dans l’aggravation de cette crise est indéniable. Une directive européenne [1] actuellement en discussion pourrait obliger les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, mais la proposition actuelle reste insuffisante. Plus de 200 organisations, mouvements et activistes appellent à un devoir de vigilance climatique ambitieux.
Des scientifiques ont demandé de mettre en pause le développement de l’intelligence artificielle face à ses dangers potentiels. Thierry Ménissier, professeur de philosophie politique, directeur de la chaire Éthique et IA du Multidisciplinary institute in artificial intelligence (MIAI) de l’université Grenoble Alpes, estime qu’il faut lancer des États généraux de l’IA, afin que les citoyens se saisissent réellement de cette technologie et n’en soit pas que de simples consommateurs.
Face à la surcharge informationnelle déjà énorme et qui risque d’augmenter encore exponentiellement, face à l’impossibilité évidente d’absorber toute l’information disponible afin de produire la pensée la plus adéquate possible, capable d’éclairer l’éthique et en particulier de se hisser à la hauteur de l’Urgence en temps d’Anthropocène, face à l’émergence d’IA aux capacités de plus en plus impressionnantes, quel sens donner à l’engagement de l’intellectuel, à la lecture et à l’écriture ? Au sein de l’éthique générale, comprenant l’éthique de l’Existence et l’éthique de l’Engagement, que deviennent les chapitres consacrés aux intellectuels, à la lecture et à l’écriture ?
Les IA sont-elles trop puissantes ? Risque-t-on d'en perdre la maîtrise ? Que se passera-t-il quand elles seront entre de mauvaises mains ? La régulation éthique de l'intelligence artificielle est une vraie problématique
Le philosophe Christopher Gill relève que le domaine de ce qui dépend de nous s’est accru considérablement avec l’industrialisation et la technologie modernes. Cet état de fait rend plus urgent que jamais le souci de « vivre selon la nature » en prenant soin des autres et en étendant le cercle de notre attention au monde. Actualisation de la pensée stoïcienne, de nos modes de vie à l’empreinte carbone.
Ces derniers mois, on a vu différents « prestataires de contenus » s’engager à œuvrer pour une information scientifique destinée au grand public sur les questions climatiques. Changement des pratiques des météorologues (*), présence médiatique et discours intensifiés des scientifiques, débats dans diverses rédactions tant du côté de la presse « écrite » que des médias télévisuels et web. Les choses semblent enfin bouger. L’exemple de Radio France est significatif d’une démarche qu’il serait intéressant d’élargir au plus vite à l’ensemble des intervenants médias sur les questions climatiques.
ENTRETIEN avec Corinne Morel Darleux. Dans un monde qui vacille toujours un peu plus, après le Covid-19, la guerre en Ukraine et maintenant le dernier rapport du GIEC, comment retrouver l’énergie de la résistance ? Comment cultiver un militantisme qui ne soit ni naïf ni fataliste,
Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? Entretien avec Emmanuel Pont, auteur d’un livre qui tente de répondre à cette question délicate à partir d’une approche transdisciplinaire, entre démographie, environnement, politique et éthique.
L’INR, est un think and do tank créé en 2018. Il émane de la fusion du club du Club Green IT, en association loi 1901 à but non lucratif. L’objectif étant d’ouvrir notre démarche au plus grand nombre et sur des thématiques plus larges que l’impact environnemental du numérique. le Club Green IT est devenu l’Institut du Numérique Responsable (INR).