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Emmanuel Macron a salué la mise en fonctionnement, samedi, du réacteur qui, selon lui, « renforce notre compétitivité et protège le climat ».
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville en France, raccordé samedi au réseau électrique, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
Vendredi 20 décembre 2024, jour J pour l'EPR de Flamanville (Manche): après 17 ans de travaux, dont 12 ans de retard, le réacteur nucléaire de nouvelle génération devrait être enfin raccordé au réseau et contribuer à la production électrique de la France.Sauf aléas de dernière minute, le premier couplage au réseau du réacteur EPR devrait donc avoir lieu au dernier jour de l'automne, après avoir été promis "avant la fin de l'été", puis "avant la fin de l'automne".
La start-up nucléaire Calogena a annoncé mardi avoir déposé sa demande d'homologation pour son projet de chaudière alimentée au combustible d'uranium et destinée à fournir du chauffage urbain décarboné.
Amazon a annoncé mercredi avoir noué des partenariats avec trois énergéticiens qui vont construire des petits réacteurs nucléaires de nouvelle génération (SMR) pour assurer une partie des immenses besoin en électricité du géant technologique. Le groupe de Seattle (Etat du Washington) imite ainsi Google, qui a dévoilé lundi un contrat similaire avec la start-up Kairos Power. Les trois accords portent sur des SMR (small modular reactors), des réacteurs considérés comme plus sûrs et moins onéreux que les centrales conventionnelles.
Le géant du numérique a passé un accord avec la start-up Kairos Power pour construire plusieurs centrales nucléaires de nouvelle génération qui alimenteront en électricité ses centres dédiés à l’intelligence artificielle. Le secteur de la tech américain est le moteur de la relance de l’énergie nucléaire, constate “The Wall Street Journal”.
Google va acheter de l'énergie nucléaire à la start-up américaine Kairos Power, qui sera produite par de petits réacteurs de nouvelle génération, appelés SMR (small modular reactor), a annoncé lundi le géant technologique américain.Le contrat prévoit une mise en service du premier SMR de Kairos d'ici à 2030, avec une montée en régime jusqu'en 2035, pour apporter une réponse supplémentaire aux énormes besoins en électricité de la filiale d'Alphabet.Google s'est refusé à communiquer un montant pour cette transaction.
Une inspection a révélé que la coupole du réacteur nucléaire Doel 4 était endommagée, confirme Engie, après une information dévoilée par Le Soir. Le redémarrage du réacteur a été reporté.
Le gouvernement tchèque a annoncé mercredi son peu vert au choix par le groupe énergétique public CEZ de la société britannique Rolls-Royce comme partenaire pour développer de petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR).Une coopération avec Rolls-Royce"Le gouvernement a reconnu et approuvé le partenariat avec Rolls-Royce SMR", a déclaré à la presse le Premier ministre Petr Fiala. CEZ avait indiqué le 10 septembre que son choix serait connu avant la fin 2024.
Le débat public sur la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Gravelines, près de Dunkerque (Nord), dans un contexte de relance du nucléaire, se tiendra du 17 septembre au 17 janvier, a annoncé mardi la Commission nationale du débat public (CNDP), qui espère une "forte participation".Ce débat est le deuxième organisé par la CNDP après celui de 2022-2023 sur le projet d'une première paire de réacteurs à Penly (Seine-Maritime) et plus généralement sur la relance de l'atome en France souhaitée par Emmanuel Macron.
Au lendemain de son redémarrage, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville s'est arrêté automatiquement mercredi, a annoncé EDF, qui assure que cet arrêt est la preuve que "le système de sécurité fonctionne bien". Des contrôles sont en cours.
Tout juste démarré, l'EPR de Flamanville tant attendu depuis 12 ans s'est mis en arrêt automatique mercredi, un aléa qui ne surprend guère les experts en énergie tant le processus de mise en route d'un réacteur peut être complexe.Le réacteur nouvelle génération d'EDF, objet d'un chantier émaillé de déboires, avait franchi un jalon important la veille, avec la réalisation de la première fission nucléaire (ou divergence). Mais plusieurs étapes sont encore prévues avant qu'il puisse alimenter le réseau en électricité, "d'ici la fin de l'automne" selon EDF.
Viser l’allume. Le dernier né des réacteurs nucléaires français a (enfin) produit ses premiers électrons dans la nuit de lundi à mardi, mais le rythme de croisière est encore loin d’être atteint. En pleine relance de l’atome, ce chantier, qui continue d’être marqué par une interminable série de déboires techniques et financiers, est un symbole embarrassant.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
La Chine poursuit sa course à l'atome à un rythme sans équivalent dans le monde et à un coût bien moins élevé qu'ailleurs, grâce à une industrie mature et un accès au capital privilégié, deux éléments dont le nucléaire français est pour l'instant dépourvu.Pékin a donné mardi le feu vert à 11 nouveaux réacteurs, pour un investissement de moins de 28 milliards d'euros, selon le média chinois Jiemian.En comparaison, le coût prévisionnel du programme de construction des six nouveaux réacteurs (EPR) commandés par l'Etat français est de 67,4 milliards d'euros, selon les Echos.
La Chine a donné cette semaine le feu vert à 11 nouveaux réacteurs nucléaires répartis sur cinq sites, selon l'agence d'Etat Chine nouvelle, poursuivant ainsi ses efforts pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre.L'approbation a été donnée lundi lors d'une réunion du Conseil d'Etat (gouvernement) présidée par le Premier ministre Li Qiang, a précisé l'agence de presse officielle.
Quelque 880 tonnes de débris hautement radioactifs se trouveraient encore à l’intérieur des réacteurs de la centrale, alors que les efforts visant à la déclasser ont commencé.
Le gouvernement rwandais a signé mercredi un protocole d'accord avec l'entreprise américaine Nano Nuclear Energy pour la construction de petits réacteurs nucléaires (SMR), a annoncé l'Autorité de l'énergie atomique rwandaise (RAEB).Plus petits et de construction plus simple que les centrales conventionnelles, les SMR sont des réacteurs fabriqués en série en usine puis transportés sur le lieu de leur exploitation.
Le consortium international que le centre de recherche nucléaire de Mol devait mettre sur pied autour des petits réacteurs modulaires (SMR) – qui pourraient être le futur de l’industrie nucléaire – se fait attendre. En outre, Westinghouse ne veut plus en être partenaire, rapporte L’Echo samedi.