Jean-Baptiste Fressoz

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2025

Le 15 août, Donald Trump a rencontré Vladimir Poutine. Le 18, il a reçu Volodymyr Zelensky ainsi que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte et plusieurs dirigeants européens (Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer, Giorgia Meloni et Alexander Stubb). Ces échanges ont donné lieu à de nombreuses images marquantes et à quelques déclarations d’intention, mais une paix durable paraît toujours une perspective très lointaine.
Dans le parc régional de Brière (Loire-Atlantique), des milliers d’oiseaux de toutes espèces meurent du botulisme, une maladie qui les paralyse jusqu’à la mort. Des chasseurs s’organisent pour ramasser les cadavres et contenir la bactérie.
Le cœur lourd, des bénévoles ramassent depuis mi-juillet des milliers de volatiles morts ou malades dans la zone humide de Loire-Atlantique frappée par une épidémie aiguë d’épizootie, dont l’origine divise agriculteurs et écologistes.
Depuis plusieurs années, la possible désintégration d’un pilier essentiel du climat mondial inquiète les chercheurs : la circulation méridienne de retournement de l’Atlantique, ou AMOC. Ce gigantesque système de courants océaniques joue un rôle clé en redistribuant la chaleur entre les tropiques et les pôles, influençant notamment le climat européen et le niveau des mers sur la côte est des États-Unis. Un effondrement de ce courant bouleverserait l’équilibre climatique mondial. Pourtant, une nouvelle étude publiée dans Science Advances révèle qu’un mécanisme inattendu pourrait offrir à l’AMOC une résistance plus grande qu’on ne le pensait.
En quantifiant les nanoplastiques à différents endroits de l’Atlantique nord, des chercheurs ont découvert qu’il en contient environ 27 millions de tonnes, une quantité choquante nettement supérieure à celle de tous les micro- et macroplastiques retrouvés dans cette partie de l’océan et même dans l’ensemble des océans du monde. Ces nouvelles données soulignent l’ampleur de la pollution plastique dans les écosystèmes et appellent à des mesures plus strictes pour en limiter les impacts.
Une équipe de scientifiques a cartographié pendant un mois 3.350 fûts de déchets radioactifs, immergés au fond de l'Atlantique Nord-Est, sans constater pour le moment de radioactivité anormale, ont-ils indiqué vendredi à leur retour à Brest. Menée à bord du navire L'Atalante, de la flotte océanographique française, cette expédition baptisée NODSSUM visait à cartographier la zone d'immersion principale de milliers de fûts de déchets radioactifs, immergés par des pays européens entre 1946 et 1993. Ces immersions étaient à l'époque considérées comme une solution normale de gestion des déchets issus de l'industrie nucléaire.
Une tache bleue au milieu de l’Atlantique Nord intrigue les scientifiques. Est-ce un simple phénomène naturel… ou le signe avant-coureur d’un basculement climatique majeur ? Dans cette vidéo, Vinz nous plonge dans le mystère de l’AMOC, un gigantesque courant océanique qui agit comme le cœur thermique de notre planète. Si ce courant ralentit – ou pire, s’effondre – les conséquences pourraient être cataclysmiques : vagues de froid en Europe, dérèglement des moussons, insécurité alimentaire, montée des eaux... Avec la chercheuse Julie Deshayes, on découvre pourquoi ce système est si vital, pourquoi il pourrait s'effondrer plus vite que prévu, et surtout, ce que cela dit de notre rapport au climat et aux limites planétaires. Une vidéo à voir absolument pour comprendre les signaux faibles d’un monde en mutation.
Plus d’un millier de barils de déchets radioactifs ont été retrouvés lors d’une mission en cours dans le nord-est de l’océan Atlantique, selon le CNRS, organisme français de recherche scientifique.
Portée par le CNRS, la première mission de ce type depuis 1988 vise notamment à repérer et photographier les fûts immergés, ainsi qu’à analyser les conséquences sur leur environnement proche.
Une étude néerlandaise estime que, en cas d’arrêt de l’AMOC, la circulation océanique qui régule le climat mondial et européen, le nord-ouest du Vieux Continent connaîtrait des températures hivernales chutant par endroits de 15 °C.
Sur une période de plusieurs décennies, plus de 200 000 fûts de déchets radioactifs ont été immergés pour rejoindre les abysses de l'Atlantique nord-est. Aujourd'hui, personne ne sait où ces barils se trouvent précisément, ni leur état. Une équipe de scientifiques va tenter de les cartographier et d'évaluer les conséquences d'éventuels rejets sur les écosystèmes marins.
Les températures records observées à la surface de l’Atlantique Nord en 2023 ont fait couler beaucoup d’encre. Témoignent-elles réellement, comme on a alors pu le lire, d’un emballement du changement climatique ? Dans une récente étude, quatre chercheurs français répondent à cette question.
81 mètres de long, 15 de large, 63 de haut... Livré en août 2024, le voilier géant Artémis est, avec son sistership Anemos, l'un des plus grands cargos au monde propulsé principalement à l'énergie éolienne. D'une capacité de transport de 1.090 tonnes de marchandises, ses énormes voiles (2.100 m2) n'en sont pas moins "très maniables et très modulables" grâce à une unité hydraulique, explique Camille Roubinowitz, matelote de 30 ans. Grâce à la force du vent, Towt estime réduire ainsi de 95% les émissions de CO2 du transport maritime. Et depuis l'été dernier, la compagnie dit avoir évité 300 tonnes d'émission de gaz à effet de serre sur les produits qu'elle a transportés (champagne, vin, café, thé, boxes Internet, etc.).
Dans les prochaines années, des tempêtes de plus en plus explosives et pluvieuses frapperont l’Europe de l’Ouest et donc, la France. Selon une récente étude, les littoraux atlantiques devraient davantage recevoir la visite de tempêtes ressemblant à celles que l’on retrouve dans les Caraïbes.
Loin de la crise des années 2010, les Chantiers de l'Atlantique ont renoué avec la croissance et se sont diversifiés en misant notamment sur l'éolien en mer en France et en Europe, où ils revendiquent la place de numéro deux. "Créer une industrie nouvelle en France au 21e siècle, on est des pionniers!", s'exclame Frédéric Grizaud, directeur de l'activité Energie Marines du dernier grand chantier naval de France d'où sortent des paquebots de croisière géants.
Les tirs de barrage américains contre les pays européens de l'Otan ébranlent jusqu'aux fondements de l'Alliance atlantique, qui a cependant toutes les peines du monde à imaginer un avenir sans les États-Unis.
L’usine Finorga de Mourenx, productrice de principes actifs pour des médicaments, rejette des quantités préoccupantes de PFAS dans l’eau. La source exacte de la contamination n’est pour l’instant pas identifiée.
Va-t-on assister à son effondrement ? Si oui, quand ? Depuis plusieurs années, les recherches sur l'Amoc se multiplient, car ces courants marins de l'Atlantique sont une véritable énigme climatique. Mais son avenir inquiète d'ores et déjà la communauté scientifique. Novethic fait le point.
The Antarctic Circumpolar Current (ACC) is the world's strongest ocean current and plays a disproportionate role in the climate system due to its role as a conduit for major ocean basins. This current system is linked to the ocean's vertical overturning circulation, and is thus pivotal to the uptake of heat and CO2 in the ocean. The strength of the ACC has varied substantially across warm and cold climates in Earth's past, but the exact dynamical drivers of this change remain elusive. This is in part because ocean models have historically been unable to adequately resolve the small-scale processes that control current strength. Here, we assess a global ocean model simulation which resolves such processes to diagnose the impact of changing thermal, haline and wind conditions on the strength of the ACC. Our results show that, by 2050, the strength of the ACC declines by ∼20% for a high-emissions scenario. This decline is driven by meltwater from ice shelves around Antarctica, which is exported to lower latit
The Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC), vital for northwards heat transport in the Atlantic Ocean, is projected to weaken owing to global warming1, with significant global climate impacts2. However, the extent of AMOC weakening is uncertain with wide variation a …


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