2025
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
2024
L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
Ces petites particules de plastique, avec leurs milliers d'additifs, peuvent engendrer des inflammations, perturber la réponse immunitaire ou encore le système endocrinien. Si les mécanismes précis demeurent flous, les connaissances progressent.
Les micro et nanoplastiques envahissent notre environnement et notre corps, mais une nouvelle technologie portable développée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique permet enfin de les détecter rapidement et à faible coût. Un outil indispensable pour protéger notre santé et nos écosystèmes. Les micro- et nanoplastiques sont partout : dans nos aliments, notre …
Récemment, des chercheurs américains ont mis au point une méthode et un solvant innovants permettant d'éliminer facilement les nanoplastiques de l'eau avec une efficacité de 98 %.
Microplastics and nanoplastics may be present in food, primarily from environmental contamination where foods are grown or raised.
Microplastics and nanoplastics (MNPs) are emerging as a potential risk factor for cardiovascular disease in preclinical studies. Direct evidence that this risk extends to humans is lacking.
Une nouvelle technique de microscopie permet de détecter la présence de nanoplastiques dans l’eau. Or, l'eau en bouteille contient également.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.