Jean-Baptiste Fressoz

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2025

Imaginez un parasite capable d’infiltrer votre cerveau, d’y modifier subtilement vos réactions, vos émotions, voire votre prise de risque. […] Toxoplasma gondii est un protozoaire unicellulaire dont l’hôte final est le chat. C’est chez ce félin que le parasite peut se reproduire sexuellement. Mais pour y arriver, il doit souvent passer par un hôte intermédiaire, comme un rongeur… ou un humain.
Le chef adjoint de cabinet du président américain, fidèle parmi les fidèles, est l’un des artisans de la politique d’expulsion massive qui suscite des manifestations à Los Angeles et dans le reste du pays. Et l’un des plus influents penseurs du trumpisme et de sa contre-révolution réactionnaire.
Des chercheurs ont mis au point des réseaux de neurones artificiels dits « infomorphes », capables d’apprendre de manière autonome et auto-organisée à partir de leur environnement immédiat.
Vitesse de transfert d'information, consommation d'énergie, stockage, réactivité : en cette journée internationale des mathématiques, une comparaison s'impose.
Les licenciements massifs opérés sous la férule d’Elon Musk et de son “département de l’efficacité gouvernementale” (Doge) se poursuivent à un rythme effréné. En tout, rapporte Reuters, 62 530 employés de 17 agences ont perdu leur emploi en janvier et février. “Un exode international est-il à prévoir ?” s’interroge le New York Post.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
Des chercheurs ont analysé des échantillons de cerveau obtenus lors d'autopsies aux États-Unis et ont fait plusieurs découvertes.
On savait que de toutes petites particules de plastique pénétraient dans le corps humain. Une nouvelle étude montre que leur concentration a augmenté au fil du temps, en particulier dans le cerveau, en même temps que la production de ces matériaux continue de croître.
The exponential rise in microplastic pollution over the past 50 years may be reflected in increasing contamination in human brains, according to a new study. It found a rising trend in micro- and nanoplastics in brain tissue from dozens of postmortems carried out between 1997 and 2024. The researchers also found the tiny particles in liver and kidney samples.


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