filtre:
planète
2025
Une révolution silencieuse se déroule sous nos yeux. Pendant que nous débattons du changement climatique, la Terre elle-même réorganise sa machinerie biologique fondamentale. Une étude révolutionnaire vient de dévoiler un phénomène stupéfiant : nos océans perdent progressivement leur capacité à nourrir la vie, tandis que les écosystèmes terrestres connaissent une explosion de productivité sans précédent. Cette redistribution planétaire de l’énergie vitale pourrait redéfinir l’avenir de tous les êtres vivants.
Une perte silencieuse, invisible à l’œil nu, est en train de transformer la Terre. Depuis plus de vingt ans, l’eau douce s’évanouit peu à peu des continents, emportée par le changement climatique, les sécheresses et une exploitation effrénée des nappes phréatiques. Aujourd’hui, les scientifiques tirent la sonnette d’alarme : c’est l’ensemble de notre sécurité hydrique mondiale qui vacille.
Malgré un répit dans la série de records de chaleur, juillet 2025 s'est classé sur le podium des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur la planète, a annoncé, jeudi, l'observatoire européen Copernicus. Le mois dernier, le thermomètre a dépassé 50°C non seulement dans le Golfe et en Irak, mais aussi en Turquie pour la première fois.
Malgré un répit dans la série de records, juillet 2025 se classe au troisième rang des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur Terre, marqué par un changement climatique toujours à l'oeuvre, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus.
Mercredi matin, le feu, qui s’était déclenché la veille dans le massif des Corbières, avait détruit plus de 12 000 hectares et fait au moins un mort et neuf blessés.
Jour du dépassement : la planète vit à crédit à partir de ce jeudi
La quantité de CO2 dans l’atmosphère varie à cause des activités humaines, mais aussi en réponse au fonctionnement des écosystèmes, comme les arbres, qui absorbent et émettent du CO2 en respirant. Grâce aux satellites, on peut ainsi voir la planète « respirer ». La nouvelle mission MicroCarb du Cnes doit décoller le 25 juillet de Guyane et vient rejoindre d’autres programmes pour suivre de près ce facteur important du changement climatique.
Révélées par une étude récente, les décharges américaines émergent comme des sources inattendues et préoccupantes d'émissions de méthane, mettant en lumière l'urgence de repenser notre gestion des déchets pour contrer le changement climatique.
Dans cette conversation aussi joyeuse que percutante, le biologiste Marc-André Selosse nous emmène au cœur du sol, des forêts, et de la complexité du vivant. Il démonte les idées simplistes sur la biodiversité, démonte les pratiques sylvicoles mal adaptées, et plaide pour une gestion du vivant fondée sur la diversité, la science et la coopération. Entre humour décapant et pédagogie brillante, il fait de l’écologie une science appliquée à la survie collective. Un appel puissant à écouter les scientifiques, revaloriser les sols, et surtout à agir avec bon sens.
Pendant des décennies, les racines des plantes ont été vues comme de simples structures secondaires, utiles pour s’ancrer dans le sol et puiser eau et nutriments en surface. Mais une nouvelle étude vient bouleverser cette vision. Et si certaines plantes, en secret, exploraient les profondeurs de la Terre ? Et si ces racines invisibles pouvaient jouer un rôle insoupçonné dans la lutte contre le changement climatique ? […] À leur grande surprise, les chercheurs ont constaté qu’environ 20 % des plantes analysées présentaient un schéma racinaire bimodal : un premier réseau de racines en surface, comme on s’y attendait… et un deuxième réseau plus profond, à environ un mètre sous terre. Un phénomène qu’ils ont appelé “bimodalité”.