« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Lorsque Marjorie Taylor Greene a annoncé sa démission du Congrès américain, cette trumpiste historique a violemment stigmatisé les dysfonctionnements de Washington. Elle a aussi exposé la lassitude d’élus républicains, exaspérés par l’hyperprésident Trump et décontenancés par ses choix politiques.
À l’issue de leurs négociations à Genève, l’Ukraine et les États-Unis sont parvenus à un projet de document complètement révisé, qui a suscité l’optimisme des deux pays. Selon la presse internationale, les aspects les plus délicats – notamment les questions territoriales et le soutien de l’Otan – restent toutefois en suspens.
La parlementaire américaine Marjorie Taylor Greene, figure de la droite radicale et qui fut un soutien indéfectible de Donald Trump, a annoncé vendredi soir sa démission de la Chambre des représentants, après que le président eut rompu avec celle qui a dénoncé sa gestion du scandale sexuel Epstein.
L’élue républicaine de Géorgie a condamné la gestion par le président américain de ce dossier très sensible, à quelques jours d’un vote à la Chambre des représentants visant à forcer la publication, par l’administration Trump, de documents relatifs à l’ancien financier mort en prison en 2019.
L'élue républicaine Marjorie Taylor Greene, ex-alliée de Donald Trump, a affirmé samedi recevoir de nombreuses menaces "encouragées" par le président américain, qui l'avait qualifiée de "honte" pour le Parti républicain après des critiques croissantes de la députée.
Le président américain, dont les liens avec le financier mort en prison font l’objet de nouvelles questions, a contre-attaqué vendredi, alors que la Chambre des représentants s’apprête à voter sur la publication du « dossier Epstein ». Il a aussi rompu avec Marjorie Taylor Greene, figure emblématique du mouvement MAGA.
In a selective history of the evolution of the degrowth movement, his chapter in the Routledge Handbook of Degrowth (2025) offers a collective and subjective reflection revealing tensions between academics, practitioners and activists. Its four co-authors have lived in and with these tensions, analysing practical experiences in the degrowth cooperative Cargonomia (Budapest, Hungary) and the low-tech ecosystem Can Decreix (Cerbère, France). The chapter aims to launch a formal, respectful and significant dialogue between degrowth academics and practitioners. How did an initial public perception of degrowth as activists who experiment-by-doing based in a radical epistemological critique of traditional academia evolve more and more into an academia-dominated movement? We reflect on the movement’s organisation to suggest how deeper collaborative relationships between researchers, activism and practitioners might strengthen degrowth as an academic field, enhance the credibility and robustness of grounded prefigurat
Chapter 5 in the Routledge Handbook of Degrowth (2025) sketches the French origins of, and approaches to, décroissance. In France, décroissance emerged early – as part of the long history of debates on the industrialisation of the world and its impacts, and of a shorter history of political ecology over the last half-century. Although inspired by a long genealogy questioning the Western industrial trajectory, the word décroissance really came to the fore in the French protest and intellectual scene in 2002, with a convergence between anti-development and anti-advertising movements. Even if degrowth as a slogan and as a movement only emerged recently, its origins, influences, pioneers, pillars and debates were already very strong in the 1970s. After a long hiatus in the 1980s and 1990s, the term décroissance spread spectacularly, entering the political and activist arena at the beginning of the 21st century, designating a sub-group of political ecologists committed to criticising economic development as the do
Le président américain et la présidente de la Commission européenne sont parvenus, dimanche 27 juillet en Écosse, à un accord prévoyant que les produits européens exportés vers les États-Unis seraient taxés à 15 %. Un “deal” qui “limite la casse”, souligne la presse européenne, laquelle estime cependant que Bruxelles s’est résigné face à Washington.
L’idéologie dominante de l’extrême droite est devenue un survivalisme monstrueux, destructeur et suprématiste, expliquent Naomi Klein et Astra Taylor dans un article récent devenu incontournable. […] Elles appellent à construire un mouvement suffisamment fort pour l’arrêter.



