« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Dans cette vidéo, Vincent Mignerot, un expert en théorie de l'existence, discute de la faisabilité de la transition énergétique et des grandes questions existentielles qui en découlent. À travers une analyse critique des théories scientifiques actuelles, Vincent remet en question la logique des transitions énergétiques proposées par la science conventionnelle, notamment la conversion des énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Il explore l'idée de la "domestication de l'humain" par la technologie et les dangers d'une science relativiste qui pourrait mener à une impasse écologique.
Après le deuxième cycle de négociations sur l’Ukraine en Arabie saoudite, les États-Unis ont annoncé, mardi, un accord de sécurité entre Moscou et Kiev dans la mer Noire. Un dénouement dont l’Ukraine ne semble pas gagnante, tandis que la Russie a posé plusieurs conditions. À cela s’ajoute le désaccord des trois acteurs sur la centrale de Zaporijjia.
2024
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se montre incapable d’abandonner sa logique de guerre au profit d’une logique de paix, même après avoir réduit à néant la bande de Gaza et fait la preuve de la surpuissance militaire de son pays.
Op de VN-klimaattop in Bakoe zijn belangrijke besprekingen over uitstootreductie in de eerste week op een haar na gekelderd door verzet van oliestaat Saoedi-Arabië en enkele ontwikkelingslanden. Het voorzitterschap moest alle zeilen bijzetten om de onderhandelingen uit het slop te halen.
Après près de dix ans de militantisme chez Greenpeace, Clément Sénéchal, diplômé de de sociologie et de philosophie politique, s’interroge : pourquoi l’écologie essuie-t-elle encore tant d’échecs ? Pour y répondre, l’heure est venue de plonger dans les coulisses d’une “écologie spectacle” en marche depuis les années 1970. Récupérations néolibérales, impasses stratégiques et intellectuelles des ONGs et mouvements de lutte…
Le principal objectif de la COP29 sera de trouver un nouvel objectif de financement pour aider les pays en développement à s’attaquer au changement climatique. Mais alors que le sujet est au point mort, l’Azerbaïdjan, pays hôte du sommet, esquive également l’abandon progressif des énergies fossiles obtenu à la COP28. De quoi susciter des craintes sur les chances de succès à Bakou en novembre.
Le marché multiplie les controverses, mais constitue aussi l'une des rares sources de financement pour les pays du Sud.
Nous n’arrivons pas à réduire les gaz à effet de serre. La pauvreté augmente. La destruction de la biodiversité est en marche. L’énorme puissance financière et économique de nos sociétés industrielles s’est avérée incapable de relever ces trois défis. Aux appels à des transformations rapides et radicales de notre modèle de développement, nous répondons, jusqu’ici, par des incantations, des catalogues de bonnes intentions et des projets alternatifs, ou uniquement par des changements technologiques.
De nouvelles frappes israéliennes ont visé mardi la bande de Gaza, où la situation humanitaire reste catastrophique notamment dans la ville de Rafah, menacée d'une offensive terrestre par Israël, au moment où une nouvelle impasse se profile au Conseil de sécurité de l'ONU quant à un possible cessez-le-feu.
Les enseignements de la COP 28 ne sont guère rassurants. Le choc entre intérêts économiques et climatiques mène à des politiques qui manquent nettement de volontarisme en matière de réduction des émissions carbone.