« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Imaginez un monde où les machines n’auraient plus besoin de l’Homme pour exister. Des chercheurs américains viennent de franchir un cap décisif en créant le premier robot capable de grandir, de se réparer et même de « cannibaliser » d’autres robots pour s’améliorer. Cette percée technologique bouleverse notre conception de l’autonomie robotique et ouvre des perspectives fascinantes… mais aussi inquiétantes.
A travers une carte et des images satellites, « le Monde » montre le quotidien des 2,1 millions de Gazaouis, réduits à vivre dans les trois zones, fragmentées, de l’enclave qui ne sont pas soumises aux ordres d’évacuation ou à la présence militaire israélienne.
Militants et militantes écolos avaient-ils besoin d’être davantage caricaturés, raillés, décrédibilisés ? Pas vraiment. Le paysage médiatique et la classe politique s’en chargeaient déjà très bien tout seuls jusqu’ici, dans un exercice collectif de greenbashing chorégraphié à la perfection, où le cynisme le dispute à la mauvaise foi. Mais dorénavant, leur vie va être encore plus facile grâce à l’intelligence artificielle – elle tient décidément toutes ses promesses.
Imaginez une IA qui, face à une menace d’extinction, ne recule devant rien : il manipule, fait chanter, trahit et peut même aller jusqu’à laisser un humain mourir pour protéger son existence. Ce scénario digne d’un thriller de science-fiction est pourtant le fruit d’une récente étude scientifique qui met en lumière les risques insoupçonnés liés aux intelligences artificielles (IA) dites « autonomes » ou « à grande échelle ».
Derrière la chaleur se cache une urgence sociale et sanitaire. Le député du Puy-de-Dôme, Nicolas Bonnet et le délégué général de la Fondation pour le logement des défavorisés, Christophe Robert ainsi que Cécile Duflot, Thomas Piketty et Jean Jouzel demandent un plan sérieux avec un budget et un cadre juridique dédiés.
L’Australie avait annoncé en 2023 offrir l’asile aux habitants de Tuvalu, un archipel du Pacifique où habitent 11 000 personnes et dont deux atolls sont déjà largement submergés par la montée des eaux. Un habitant sur trois de l'île cherche désormais à obtenir un visa climatique, selon un décompte obtenu par l'AFP.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva affirme que "le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", défendant ses projets d'extraction de combustibles fossiles à quelques mois d'accueillir la COP30, dans une interview publiée jeudi. "Je suis favorable à travailler à l'idée d'un jour sans combustibles fossiles, mais je suis très réaliste : le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", a déclaré Lula dans une interview au podcast du rappeur brésilien Mano Brown.
Cette région pétrolifère du sud du pays est frappée par une multiplication des cas de cancer. De nombreux documents et experts mettent en cause la fumée rejetée par les sites d’extraction. Mais le gouvernement, qui tire 90 % de ses revenus de la vente d’hydrocarbures, persiste à nier toute crise sanitaire.
Dammam, en Arabie saoudite, Al-Jahra et Hawally, au Koweït, Bassorah, en Irak, et Ahvaz, en Iran, figurent parmi les villes les plus fréquemment couronnées. Leurs records ? Des températures de 50, 52, parfois 53 °C mesurées à l’ombre— et même 38,8 °C la nuit à Bassorah en 2016, un record mondial pour une température nocturne. Ces villes battent régulièrement des sommets de chaleur que l’on croyait autrefois réservés à des zones inhabitées comme la Vallée de la Mort, en Californie.
Le printemps n'est pas encore fini, mais avec des niveaux de précipitations historiquement bas ces derniers mois, les cartes qui présentent le risque de sécheresse sont au rouge vif sur une bonne partie du territoire belge. Risque-t-on un épisode de sécheresse comme celui de l’année 1976, qui hante toujours les paysans belges ? Arnaud Ruyssen a posé la question à Aurore Degré, hydrologue à Gembloux Agro-Bio Tech et Pascal Mormal, météorologue à l'IRM dans le podcast "Les Clés".