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Iran
2025
Le niveau des réserves d’eau dans les barrages inquiète. Il est critique dans la province de Téhéran, les quatre principales retenues d’eau alimentant la capitale n’étant remplies qu’à 12 % de leur capacité, contre 60 % à 70 % habituellement.
La pénurie d'eau dans la capitale iranienne Téhéran devient de plus en plus grave. Les autorités ont désormais également fermé les toilettes publiques, selon les sites d'information Didehban-Iran et Shargh.
Le message envoyé par une partie de la classe politique belge est clair : le droit du peuple iranien à l'autodétermination et sa quête pour une république démocratique et laïque doivent être reconnus. Ce large soutien politique pourrait influencer les débats futurs au sein de l'Union européenne.
« Il a été arrêté parce que, oui, les dommages sont graves et sérieux. Mais il est évident que nous ne pouvons pas renoncer à l’enrichissement », a reconnu Abbas Araghtchi dans une interview à Fox News.
Une vague de chaleur en Iran provoque des pénuries d'eau et d'électricité dans une grande partie du pays, au moment où les réservoirs d'eau sont mis à rude épreuve avec des niveaux anormalement bas, ont rapporté mardi des médias d'Etat. Au moins 18 des 31 provinces que compte l'Iran, incluant celle de la capitale Téhéran, sont touchées par des températures extrêmes, qui ont débuté vendredi et devraient s'atténuer à partir de jeudi, a indiqué la télévision d'Etat, citant les services météorologiques.
Les autorités iraniennes ont appelé les habitants à réduire leur consommation d'eau à un moment où le pays est confronté à de graves pénuries en raison d'une vague de chaleur persistante, ont rapporté dimanche des médias d'Etat. Pays aride, l'Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse, en particulier dans ses provinces méridionales. Le pays est par ailleurs confronté à la semaine la plus chaude de l'année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.
Heat caused 2,300 deaths across 12 cities, of which 1,500 were down to climate crisis, scientists say
Fin mai, Téhéran avait donné « jusqu’au 6 juillet » aux « 4 millions d’Afghans illégaux » pour quitter son territoire.
L’Iran a suspendu mercredi sa coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique et multiplie les accusations à son encontre, depuis les bombardements israéliens et américains de ses sites nucléaires.
Les services de renseignement du département de la Défense sont bien moins optimistes que le président Trump sur l’impact des bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan en juin.
Le programme nucléaire iranien a été retardé d'environ de deux ans par les frappes américaines décidées par Donald Trump, selon des évaluations du renseignement américain, a indiqué le Pentagone mercredi.
Le chef d’Etat de la république islamique a donné son feu vert à un texte mettant sur pause la collaboration avec l’agence onusienne qui vise à limiter le développement du nucléaire militaire.
Extreme heat ‘the new normal’, says UN chief, as authorities across the continent issue health warnings
L'Iran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", a indiqué le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi dans une interview à la chaîne américaine CBS.
L'Iran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", a indiqué le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi dans une interview à la chaîne américaine CBS. Près d'une semaine après les bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan, tous s'accordent, même Téhéran, à dire que ces centrales ont été considérablement endommagées, mais des questions demeurent sur l'efficacité réelle de ces frappes. Le président américain Donald Trump a par exemple suggéré que le programme nucléaire iranien avait été retardé de "plusieurs décennies".
Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Donald Trump a annoncé dans la nuit de lundi à mardi qu’un cessez-le-feu "total" entre l’Iran et Israël entrait en vigueur, après douze jours d’un conflit marqué par une escalade sans précédent et une intervention militaire directe des États-Unis. Mais les conditions restent floues, les échanges de tirs se poursuivent, et Téhéran conditionne toute désescalade à un arrêt immédiat des frappes israéliennes.
Donald Trump, visiblement énervé, a accusé mardi l’Iran et Israël d’avoir violé le cessez-le-feu qu’il a annoncé la veille et s’en est particulièrement pris à son allié israélien, se disant "vraiment pas content" d’Israël.