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betteraves
2025
Les ventes d’acétamipride, ce pesticide de la famille des néonicotinoïdes, ont augmenté de plus de 600% en Belgique entre 2011 et 2022. En 2011, il s’en est vendu environ une tonne, contre quelque 6,6 tonnes en 2022. En 2023, le chiffre est toutefois retombé à 4,1 tonnes, selon les informations du service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement. Les données relatives à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques en Wallonie pour les années 2024 et suivantes ne sont pas encore disponibles.
2024
Cette année, les agriculteurs pourront effectuer cinq passages de Movento au lieu de deux, pour lutter contre les pucerons responsables de la maladie de la jaunisse.
2023
C’est une décision qui arrive un peu tard. Le Conseil d’État a jugé le 3 mai que les dérogations accordées en 2021 et 2022, qui permettaient l’utilisation de néonicotinoïdes pour la culture de betteraves sucrières, étaient « illégales ».
Après une décision de la Cour de justice européenne, le gouvernement français a finalement renoncer aux néonicotinoïdes dans ses champs de betteraves sucrières. Il prévoyait d'autoriser pour la troisième fois à titre dérogatoire ces pesticides nocifs pour l’environnement et la santé et interdits de mise sur le marché depuis fin 2018.
2022
En l’absence d’alternatives efficaces pour l’instant, le ministre de l’Agriculture Marc Fesneau espère pouvoir prolonger en 2023 la dérogation permettant aux betteraviers d’utiliser des néonicotinoïdes.
Les pesticides « tueurs d’abeilles » reviennent. L’utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes, insecticides aux effets néfastes pour les abeilles, est autorisée pour la campagne 2022 en France, selon un arrêté publié mardi 1er février par le Journal officiel.
2020
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