2025
Plusieurs membres du gouvernement Trump sont attendus à Houston (Texas) cette semaine pour préciser les orientations du nouveau président américain en matière énergétique, notamment son impact sur le renouvelable. Dès sa prise de fonctions, le 20 janvier, Donald Trump a signé un décret intitulé "Unleashing American Energy" (Libérer l'énergie américaine), destiné à donner le ton de son second mandat. Au programme, déréglementation et dérégulation, avec des mesures favorables à l'extraction des énergies fossiles et d'autres visant à limiter ou annuler des contraintes environnementales ainsi que des subventions et des incitations fiscales à la transition énergétique.
L'Iran a répété lundi qu'il ne négociera pas "sous la pression et l'intimidation" sur son programme nucléaire, après l'annulation par Washington d'une dérogation aux sanctions qui permettait à l'Irak d'acheter de l'électricité à son voisin. Les États-Unis ont confirmé dimanche qu'ils n'avaient pas renouvelé cette dérogation accordée à Bagdad depuis 2018. Il s'agit de "s'assurer que nous ne permettions pas à l'Iran de bénéficier d'un quelconque allègement économique ou financier", a indiqué le département d'Etat dans un communiqué.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a inspecté lundi la première centrale nucléaire bangladaise, de fabrication russe, qui doit produire ses premiers mégawattheures d'électricité d'ici à la fin de l'année.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié lundi d'"illégale" la décision des États-Unis de mettre fin à une dérogation aux sanctions imposées à Téhéran qui avait permis à l'Irak d'acheter de l'électricité à l'Iran.Des exemptions depuis 2018Les importations de gaz et d'électricité en provenance de l'Iran voisin représentent un tiers des besoins énergétiques de l'Irak, pays aux immenses richesses pétrolières mais ravagé par des décennies de conflits et confronté à des délestages quotidiens.
Le Premier ministre qatari, cheikh Mohammed ben Abdelrahmane al-Thani, a mis en garde contre les conséquences d'une attaque contre des installations nucléaires iraniennes, qui priverait d'eau selon lui les pays du Golfe. Dans un interview avec l'animateur américain Tucker Carlson, réputé proche du président Donald Trump, il a indiqué que Doha avait simulé les effets d'un tel scénario. Résultat: "La mer serait totalement contaminée" et le Qatar "serait à court d'eau en trois jours", a-t-il lancé.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.Ces bombardements interviennent au lendemain d'un sommet des 27 dirigeants européens qui, face au désengagement de Washington dans le conflit, ont affiché jeudi à Bruxelles leur volonté de renforcer les capacités de défense du continent.
Une série d'aléas techniques contraint le réacteur nucléaire EPR de Flamanville à prolonger jusqu'au 30 mars un arrêt qui n'était pas programmé, a-t-on appris vendredi auprès du groupe électricien EDF.Une dizaine d'arrêts de maintenance programmés et des opérations imprévuesLe groupe mène depuis le 15 février des opérations techniques qui n'étaient pas prévues et qui vont se poursuivre sur une durée au total d'un mois et demi.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Le président équatorien, Daniel Noboa, a prévenu mercredi qu'il ne signerait pas le contrat d'exploitation du plus grand gisement pétrolier du pays si le consortium sino-canadien retenu ne versait pas un acompte de 1,5 milliard de dollars dans les six jours.L'Equateur a délégué l'exploitation du champ pétrolier de Sacha, situé dans la province amazonienne d'Orellana (est), à un consortium composé de filiales des groupes chinois Sinopec et canadien New Stratus Energy.