Jean-Marc Jancovici

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négociations

2025

Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
Les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et américain Donald Trump présideront lundi après-midi à Charm el-Cheikh un Sommet de la paix, en présence de dirigeants de plus de 20 pays, a annoncé samedi la présidence égyptienne dans un communiqué.
Zelensky demande à Trump de mettre la pression sur Poutine pour négocier la paix.
Le président américain a affirmé que l’Etat hébreu allait retirer ses troupes le long d’une ligne négociée. La libération des 20 otages détenus dans l’enclave estimés encore vivants devrait intervenir d’ici à lundi 13 octobre.
Donald Trump et les médiateurs des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas en Egypte ont annoncé qu’Israël et le Hamas étaient parvenus à un accord sur un échange d’otages et de prisonniers et sur l’arrivée d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne.
Tandis que la première phase du plan américain de paix a été enclenchée, le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a fustigé la réunion qui doit se tenir à Paris, jeudi, entre plusieurs pays européens et arabo-musulmans, afin d’examiner les modalités de la stabilisation de la bande de Gaza après la cessation des hostilités.
Le groupe islamiste et Israël ont échangé des listes de prisonniers palestiniens qui pourraient être relâchés en échange d’otages israéliens, alors que des émissaires américains, turcs et qataris sont attendus ce mercredi en Egypte, où se déroulent les pourparlers.
Le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a déclaré mardi que le mouvement palestinien voulait des "garanties" du président américain Donald Trump et des médiateurs que la guerre à Gaza "finira une fois pour toutes".
Les discussions, qui doivent d’abord concerner les conditions du cessez-le-feu et de libération des otages, pourraient s’étendre au calendrier du retrait israélien et à l’administration de l’enclave.
L'Union européenne veut jouer un rôle dans le plan de paix de Donald Trump et faire partie du nouvel organe international de transition prévu pour Gaza, a affirmé lundi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, en visite au Koweït.
Des émissaires d’Israël et du Hamas sont en Egypte ce dimanche 5 octobre afin de finaliser la première phase de l’accord de paix proposé par Donald Trump, presque deux ans jour pour jour après l’attaque terroriste du 7 octobre 2023. «Libé» fait le point sur cette nouvelle étape des pourparlers.
A partir de ce lundi, Israéliens et représentants du Hamas négocieront sur la première phase du plan de paix de Trump, portant sur un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages contre des prisonniers palestiniens.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré samedi espérer la libération de tous les otages retenus à Gaza "dans les prochains jours", alors que des délégations israélienne et du Hamas doivent se rendre au Caire lundi pour des négociations sous médiation égyptienne. Malgré l’appel de Donald Trump à cesser les bombardements, l’armée israélienne poursuit ses opérations dans l’enclave palestinienne.
Le mouvement islamiste s’est dit prêt vendredi 3 octobre à libérer tous les otages israéliens à Gaza et à entamer des négociations «immédiates en vue de la fin de la guerre». Donald Trump a estimé que le Hamas est «prêt à une paix durable» et demandé à Israël de «cesser immédiatement les bombardements sur Gaza».
À l’échelle mondiale, les systèmes agricoles, alimentaires et forestiers produisent plus du tiers des émissions de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique de façon significative. Pourtant, l’agriculture n’a été intégrée que tardivement aux négociations des COP sur le climat. Entre enjeux d’adaptation, d’atténuation et de sécurité alimentaire, les avancées restent timides. De récentes initiatives essaient toutefois de mieux intégrer les systèmes agricoles et alimentaires à l’agenda climatique mondial.
Moscou atteindra ses objectifs en Ukraine par la voie militaire si les négociations avec Kiev échouent, a averti mercredi le président russe Vladimir Poutine, assurant que ses troupes demeuraient "à l'offensive" sur l'ensemble du front. "Voyons comment se développera la situation. Sinon (si les pourparlers n'aboutissent pas, NDLR), nous devrons résoudre nos problèmes militairement", a-t-il déclaré depuis Pékin. "Tous les groupements des forces armées russes sont à l'offensive" dans tous les secteurs du front, a-t-il ajouté.
Leurs responsabilité dans l'échec des conférences sur le climat ou le plastique est de plus pointée du doigt. Quelles sont les solutions?
La directrice du renseignement national américain, Tulsi Gabbard, est accusée de ne pas vouloir partager les informations recueillies sur les négociations sur l’Ukraine avec les alliés les plus proches de Washington. Une position qui avantage Moscou et risque de mettre à mal une institution historique du monde du renseignement : l’alliance des “Five Eyes”.
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Le président américain Donald Trump va "commencer les préparatifs" d’une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu’ici une telle réunion, au terme d’une "très bonne" entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens ce lundi 18 août. Ce sommet se tiendrait dans les deux semaines. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a réagi ce mardi midi en déclarant que toute rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine devrait prendre en compte les "intérêts de sécurité" de la Russie et être préparée "minutieusement".