Jean-Pascal Van Ypersele

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2025

La géothermie évoque généralement la production de chaleur, mais elle peut également rafraîchir ou produire du froid. Et cela de manière beaucoup plus économe que les climatiseurs classiques et avec un impact écologique réduit. Non seulement il s’agit d’une solution bas carbone, mais elle ne rejette pas de chaleur dans l’air extérieur et ne contribue donc pas à l’effet d’îlot de chaleur urbain, à l’origine de la surchauffe des villes en période de canicule.
Le ministère en charge de l'Industrie a publié ce 25 juillet un plan(1) composé de sept « mesures concrètes pour accélérer le développement d’une énergie vertueuse » : la géothermie.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Lancée dans une course à l’IA impliquant l’expansion des centres de données, l’industrie du numérique commence à jeter son dévolu sur cette source d’énergie dont le caractère « vert » est sujet à caution.
Societies increasingly rely on scientists to guide decisions in times of uncertainty, from pandemic outbreaks to the rise of artificial intelligence. Addressing climate change is no different. For governments wanting to introduce ambitious climate policies, public trust in climate scientists is pivotal, because it can determine whether voters support or resist those efforts.
The escalating tensions between Pakistan and India serve as a stark reminder that climate change is no longer a distant — it is now a force multiplier for geopolitical instability. As the climate crisis accelerates, so too does its capacity to deepen existing rivalries, strain fragile agreements, and inflame long-standing disputes. In South Asia, the Indus Waters Treaty (IWT) has long been a rare success story of transboundary cooperation between two nuclear-armed neighbours. However, as both climate pressures and political tensions mount, this once-resilient agreement is beginning to show signs of severe strain. The looming question is no longer just about water rights — it’s about whether climate change could be the catalyst for the world’s first true climate war.
En 100 jours, l’administration Trump aura multiplié d’une manière étonnante les erreurs. Plusieurs médias se sont employés à en dresser la liste. Voici la version du média en ligne Mother Jones. Cette liste se contente de reprendre les erreurs, ce que les intéressés appellent eux-mêmes des "accidents", même si, en lisant cette recension, une partie des "erreurs" semblent relever d’actes volontaires. Mother Jones, en marge de cette liste, le souligne : "dans une société qui fonctionne, bon nombre de ces actions auraient dû entraîner des démissions ou des licenciements. Ici, ce n’est pas le cas. C’est même semble-t-il l’inverse qui se produit". Comme s’il s’agissait d’une manière de faire de la politique. Tout casser et voir ce qu’il faut réparer ensuite.
Indispensables à la transition écologique, le passage à l’échelle des énergies renouvelables nécessite de réduire le coût du financement des investissements initiaux, particulièrement importants.
Countries must move rapidly to slash CO2 emissions from homes, offices, shops and other buildings—a sector that accounts for a third of global greenhouse gas pollution, the United Nations said Monday. Carbon dioxide emissions from the building sector rose around 5% in the last decade when they should have fallen 28%, according to a new report by the United Nations Environment Program (UNEP).
Imaginez une source d’énergie inépuisable capable de répondre à tous nos besoins sans épuiser les ressources naturelles.
Les sols constituent le socle qui soutient tout l’édifice des écosystèmes terrestres. Loin de n’être que des supports, ce sont en réalité des écosystèmes en trois dimensions, des milieux et non pas des surfaces, qui sont eux-mêmes vivants et remplissent une série de fonctions écologiques cruciales pour la vie terrestre et donc pour les sociétés humaines.
Une campagne d'exploration inédite va bientôt débuter. Elle s'appellera "Walscan". Son ambition? Analyser le sous-sol wallon en profondeur, et sur une grande distance, afin de détecter de nouveaux réservoirs d'eau chaude, comme ceux qui sont exploités depuis des années en région montoise.

2024

L'Agence internationale de l'énergie estime que les nouvelles techniques de géothermie pourraient fournir largement la demande actuelle d'électricité. Mais il faudra néanmoins baisser les coûts.
La géothermie, énergie renouvelable issue de la chaleur naturelle des sous-sols et des nappes souterraines, a un avenir radieux pour répondre aux besoins croissants de la planète en électricité, estime l'Agence Internationale de l'Energie qui incite les pétroliers à investir dans ce domaine.La géothermie pourrait couvrir à elle seule 15% de la croissance de la demande mondiale en électricité entre maintenant et 2050, si le coût des projets continue de se réduire, estime l'AIE dans son rapport de 125 pages, intitulé "L'avenir de l'énergie géothermique", publié vendredi.
La géothermie, énergie renouvelable issue de la chaleur naturelle des sous-sols et des nappes souterraines, a un avenir radieux pour répondre aux besoins croissants de la planète en électricité, estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE) qui incite les pétroliers à investir dans ce domaine.
Stellantis a inauguré cette semaine une centrale géothermique dans son usine de Caen (Calvados), alors que Renault a renoncé à son projet de géothermie à Douai (Nord).A Caen, où Stellantis fabrique des boîtes de vitesse, un investissement de 7 millions d'euros permettra de chauffer les ateliers et bâtiments tertiaires, soit 80.000 mètres carrés, tout en refroidissant d'autres installations.
Le gouvernement Biden a donné son feu vert, jeudi 17 octobre, à la construction d’une centrale géothermique dans l’Utah, d’une capacité de 2 gigawatts. Une nouvelle étape du développement de cette énergie renouvelable qui s’appuie sur la fracturation hydraulique pour transformer la chaleur stockée sous la terre en électricité.
La géothermie consiste à valoriser la chaleur naturelle du sous-sol sous forme d'électricité ou de chaleur. Elle émet peu ou pas de gaz à effet de serre et permet aussi de produire du froid lorsqu'elle est en surface.Énergie locale et inépuisable, disponible sans intermittence presque partout en France sur une emprise foncière en surface réduite, son coût d'investissement reste néanmoins élevé.
Géothermie, stockage de CO2 : Bridge Energies, qui exploite une concession pétrolière en Seine-et-Marne et dont un projet de nouveaux puits est contesté devant la justice par le syndicat Eau de Paris, a présenté jeudi des projets de "reconversion" du site pour l'après pétrole.Recours d'Eau de ParisBridge Energies est titulaire d'une concession d'exploitation du gisement courant jusqu'en 2034 et exploite déjà trois puits, ouverts entre 2012 et 2014. Elle a obtenu de l'État d'en ouvrir deux autres, d'une profondeur de 1 500 m.