filtre:
Canopea
2025
Ne manquez pas notre dossier relatif à une comparaison du niveau d’acceptabilité de mesures en faveur de la sobriété et de l’efficacité énergétique dans l’usage des voitures ! Alors que la Belgique désire atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, l’usage actuel de la voiture hypothèque cette ambition. Il est donc nécessaire de revoir la manière dont nous utilisons nos véhicules pour réduire l’empreinte carbone de l’automobilité.
Les êtres humains et les écosystèmes sont exposés chaque jour à de nombreuses substances chimiques, dont les effets peuvent se combiner pour produire ce que l’on appelle un effet cocktail. Pourtant, la réglementation européenne continue d’évaluer ces substances individuellement, sans prendre en compte leurs effets combinés. Pour combler cette lacune, un facteur d’évaluation des mélanges appelé Mixture Assessment Factor (MAF) pourrait être introduit dans le règlement européen REACH (qui vise l’Enregistrement, Évaluation, Autorisation et la Restriction des substances Chimiques). Ce nouvel outil permettrait de mieux tenir compte de l’exposition simultanée à plusieurs substances.
Comment cela est-il possible ? C’est précisément les questions abordées dans la partie 2 de l’essai de Cynthia Fleury intitulée « Fascisme, Aux sources psychiques du ressentiment collectif, qui suit la Racine présentant la partie 1.
Début septembre 2025, la société civile belge mettait la pression sur le gouvernement fédéral afin de renforcer, sans attendre, la réglementation des produits mis sur le marché afin que nous cessions d’être exposés quotidiennement aux PFAS1. Interdire l’utilisation des polluants éternels dans les biens que nous consommons, voilà ce que nous demandons. Une telle interdiction aura non seulement pour effet de limiter notre exposition en tant que consommateurs, mais également de réduire les potentiels rejets industriels contaminants nos ressources. Pour l’instant, la collectivité paie les pots cassés du manque de régulation en amont : traitement de l’eau polluée pour la potabiliser, soins de santé des personnes massivement contaminées, projets de recherche pour identifier les pistes de solutions, … Quelle politique souhaitons-nous favoriser ? Celles du « pollueur-payeur » ou bien du « pollué-payeur » ?
Ce mercredi 8 octobre, la majorité wallonne aura l’opportunité de s’opposer au traité UE-Mercosur à travers l’arme du droit. Or, la proposition actuelle de la majorité risque de passer à côté de l’objectif de stopper cet accord en choisissant délibérément de restreindre l’analyse juridique de ce traité. La majorité doit clarifier sa position.
40 experts ont produit 40 indicateurs et 700 cartes qui permettent d’évaluer et localiser les risques climatiques auxquels la Wallonie est confrontée et ces données sont rassemblées sur le Portail Climat. Disposer d’un diagnostic robuste des vulnérabilités du territoire est un préalable à tout déploiement de politique d’adaptation et de mise en œuvre d’un programme d’action ambitieux.
Plus de 43.000 signatures ont été récoltées, au travers de six pétitions différentes, afin de s'opposer et d'interdire les pesticides en Wallonie, particulièrement ceux considérés comme dangereux car s'appuyant sur des PFAS, souligne lundi Canopea.
Il est prioritaire d’adapter le territoire face aux conséquences des dérèglements climatiques, en se concentrant sur la vulnérabilité des personnes. Quatre ans après les inondations, nous sommes toujours démunis et peu préparés aux prochaines catastrophes.
A côté du méga deal d’été en matière de chômage, retraite, le gouvernement fédéral a présenté son Plan Fédéral Énergie et Climat (PFEC) c’est-à-dire, les mesures qu’il entend prendre pour le climat d’ici 2030. Il s’agit d’une mise à jour d’un plan présenté par le précédent Gouvernement en 2023 (qui était déjà bien insuffisant). Il nous éloigne encore davantage de l’ambition de mettre la Belgique sur une trajectoire de décarbonation.
Sur la question de l’environnement, l’enquête est claire : L’environnement ne préoccupe plus (trop) les Belges. Un chiffre le montre assez clairement : en 2019, au cœur des manifestations pour le climat, 30% des Wallons citaient spontanément le climat ou la biodiversité comme leur préoccupation principale. En 2025, ils ne sont plus que 2-3% selon les régions… Plus grave, l’environnement n’apparait tout simplement pratiquement plus dans les préoccupations citées spontanément par les Belges lors de l’enquête…



