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perspective

2023

Plus nous avançons dans un siècle incertain, plus nous prenons la mesure de la fragilité des systèmes techniques qui structurent nos modes de vie. La low-tech, qu’on oppose généralement à la high-tech, interroge nos besoins dans un monde contraint. S’il n’est pas dépourvu d’ambiguïtés, ce mouvement dynamique pourrait bien participer à reconstituer des cultures techniques et conviviales, d'autres manières de vivre et de s’organiser. Qu’il soit rattrapé par des logiques marchandes et autoritaires, ou qu’il constitue un levier d’émancipation, la question que pose en creux le mouvement low-tech est celle des chemins techniques à prendre pour refonder nos sociétés sur des bases viables, justes et désirables.

2022

Écrivain au succès modeste, libraire à ses heures, Elias Torres vit à Toulouse avec Camille et leurs enfants. Un certain mois de mars, tout se resserre autour d’eux : ils n’ont plus le droit de quitter le pays, leur ville, puis leur quartier. Elias s’inquiète pour sa fille, Maud, qui ne décolère pas contre l’inaction des dirigeants face à la crise écologique, et à qui la situation coupe toute perspective d’avenir. Il doit aussi prendre soin de son ami, le vieux poète Igor Mumsen.

2020

Il n’y a pas de crise climatique. Il y a une volonté politique que le climat soit en crise. Telle est la thèse défendue par Mark Alizart dans cet ouvrage brillant et provocateur. Quand des États ne laissent pas seulement brûler leurs forêts, mais appellent à y mettre le feu ; quand ils ne se contentent pas d’ignorer l’accord de Paris, mais le déchirent en public ; quand ils ne se bornent pas à douter des scientifiques mais les intimident : on peut affirmer qu’ils font tout pour que la planète soit détruite. Car la crise climatique produit ses gagnants – des individus pariant sur l’effondrement du monde comme sur des valeurs boursières à la baisse. Face à ce véritable coup « carbofasciste » ourdi contre l’humanité, modifier nos comportements individuels ne suffit pas. Il est nécessaire de repenser les conditions d’une révolution en faveur d’un véritable « écosocialisme »