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planète
2024
En dix-sept ans, les riches n’ont rien appris, rien compris, rien changé. Ils se gavent. Les milliardaires ont multiplié leur fortune, la catastrophe écologique s’amplifie, la crise sociale est mondiale. Le lien entre ces phénomènes ? Les inégalités. On n’évitera pas le désastre climatique si l’on ne ramène pas les ultra-riches à la raison. C’est ce qu’explique ce livre détonnant, où une analyse implacable se combine à un dessin complice et surprenant.
2022
Nous avons modifié de façon durable les conditions d’habitabilité de la Terre pour l’ensemble du vivant et ainsi grandement fragilisé la vie en société. L'auteur décrypte les récits politiques du temps présent qui font chacun le lit possible de l’échec démocratique et/ou de l’échec écologique : le récit mensonger, selon lequel nous ne serions pas sûrs que le changement climatique soit d’origine humaine ; le récit bisounours, qui fait reposer un changement global sur la conversion à l'écologie de chaque citoyen ; le récit californien, qui fait miroiter un salut technoscientifique ; le récit chinois, selon lequel la fin justifierait les moyens ; le récit pervers, qui veut tout faire tenir en même temps. Mais l’histoire n’est pas terminée. Un récit alternatif trace son sillon…
nous savons désormais que la planète est fragile et qu’il faut la préserver pour éviter un futur potentiellement catastrophique. Pourtant, même les individus les plus sensibles à la crise environnementale continuent de vivre comme si de rien n’était ou presque. Nous sommes quasiment tous en état de dissonance cognitive, perpétuellement écartelés entre notre irrésistible propension à satisfaire des désirs toujours renouvelés et la conscience douloureuse que nos comportements ne sont pas compatibles avec la préservation de notre environnement....
Alors que l’enjeu écologique devient de plus en plus pressant, la question de faire ou non des enfants passe du statut de choix intime à celui de question de société. Une enquête scientifique sur les enjeux politiques, écologiques et éthiques de la démographie mondiale
2021
Au cours de sa longue existence, notre planète a connu plusieurs crises majeures, qui, à chaque fois, ont transformé en profondeur le vivant et entraîné l’extinction de la majorité des espèces. Les crises de la biodiversité avancent masquées, en silence. Aujourd’hui, tout laisse à penser que nous sommes à l’aube d’une sixième extinction qui arrive à une vitesse foudroyante : on estime que 500 000 à un million d’espèces sont en train de décliner et que d’ici quelques décennies elles pourraient s’éteindre. L’homme et sa consommation sans cesse croissante d’espace et d’énergie en est la première cause.
2020
Pour gérer une planète unique et fragile, il est nécessaire de se mettre d’accord à l’échelle mondiale sur des valeurs communes, au confluent des différentes traditions philosophiques et religieuses. Dans les années 1990, un réseau international, l’Alliance pour un monde responsable et solidaire, relève le défi. La responsabilité s’impose alors comme colonne vertébrale de l’éthique du XXIe siècle : corollaire de toute vie en communauté, elle est présente, sous des vocables divers, dans toutes les sociétés ; contrepartie du pouvoir, de la liberté et de l’interdépendance elle permet, à condition de subir une métamorphose, de répondre aux défis du monde actuel.
Réchauffement climatique, extinction de centaines de milliers d’espèces, pollutions globales, guerres de l’eau et d’autres ressources, migrations massives... tous ces dangers convergent et se démultiplient en un péril unique que des certains ont commencé à envisager : celui d’un effondrement global de la civilisation, voire de la biosphère elle-même, engagée dans une tragique « sixième extinction ».
À partir des contributions de 27 femmes maires de villes pionnières, personnalités des mouvements écologistes et féministes, universitaires, ce manifeste met en évidence le rôle primordial que les femmes ont à jouer dans la grande bataille du climat. Représentant plus de la moitié de la population mondiale, les femmes sont en effet spécifiquement victimes du changement environnemental, et ont tout intérêt à investir ce champ d’action, interdépendant à leur bataille pour l’égalité des sexes....
2019
Nous avons longtemps considéré l’État et le marché comme deux réalités hétérogènes, l’une relevant de la sphère politique, souveraine, l’autre de la sphère économique, indépendante. Le néolibéralisme nous oblige pourtant à reconnaître l’apparition d’une souveraineté inédite puisque le marché globalisé a permis l’émergence de décideurs surpuissants, qui façonnent nos existences. Ce pouvoir nouveau échappe à tout contrôle démocratique et s’affirme au moment où nous devons affronter des menaces majeures : celles du réchauffement climatique, du déclin du vivant et de l’épuisement des ressources terrestres ; et celle du tout numérique, qui pourrait ruiner cette autre souveraineté proprement humaine que nous exerçons sur nous-mêmes en détruisant nos capabilités.
2018
2017
Dans les sociétés capitalistes avancées, la fonction sociale du journaliste semble de plus en plus se résumer au maintien de l’ordre établi. Spécialiste du fait-divers, du scoop sensationnel, et de l’art d’éviter les débats fondamentaux, la communauté journalistique est souvent piégée dans l’engrenage de l’économie capitaliste, là où les jeux d’intérêts dictent les lignes éditoriales. Le journaliste français Hervé Kempf, qui s’intéresse à l’écologie depuis une vingtaine d’année déjà dans des publications comme Le Courrier international, La recherche, et maintenant le Monde, est toutefois un rare exemple d’un journaliste capable de prendre position contre les idées reçues. Avec son dernier ouvrageintitulé Comment les riches détruisent la planète, Kempf se démarque radicalement de la mouvance environnementaliste dominante en démontrant l’interdépendance des crises écologiques et sociales. S’il se réfère par moments à Saint Augustin, Alexis de Tocqueville et Hans Jonas, c’est toutefois chez Thorstein Veblen et s
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2016
Vous craignez le réchauffement climatique ? Les vagues de chaleur à répétition, les sécheresses interminables, la fonte de la banquise ? « Vous avez tort ! Le changement climatique c’est 1 % de pouvoir d’achat en moins dans un siècle, alors que le marché le multipliera par sept : ayez confiance ! » C’est du moins ce que disent les économistes.
2015
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