Les Soulèvements de la Terre

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Le Modèle standard de la physique des particules est l’une des plus grandes réussites scientifiques du 20e siècle. Il décrit, avec une précision époustouflante, les briques élémentaires de la matière et les forces qui les relient. Mais derrière cette apparente perfection, les failles sont nombreuses. Le modèle ne dit rien sur la gravité à l’échelle quantique, ne parvient pas à expliquer la matière noire, ignore l’énergie noire, et reste muet sur un mystère fondamental : pourquoi notre univers est composé presque exclusivement de matière et non d’antimatière.
Application web interactive pour explorer les données climatiques de la NASA depuis 1880 à travers un globe 3D dynamique.
Que veut Emmanuel Macron ? Longtemps, le président français a été un fervent soutien du pacte vert européen, dont se sont dotés les Vingt-Sept pour lutter contre le réchauffement climatique. Mais, depuis les élections européennes de juin 2024 et la dissolution manquée de l’Assemblée nationale, il est devenu un ardent défenseur de la simplification, voire de la dérégulation, quitte à oublier ses engagements passés. Dix ans après l’accord de Paris, sa détermination a faibli. Jeudi 26 juin, à l’occasion d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement européens à Bruxelles, Emmanuel Macron a prévu de mettre sur la table le sujet de l’objectif 2040 de réduction des émissions de CO2 au sein de l’Union européenne (UE), qui doit emmener les Vingt-Sept vers la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Quelque 639 employés de la radio publique, qui avaient déjà été mis en congé administratif pour la plupart, verront leurs contrats s’arrêter au début de septembre. L’autorité de tutelle de VOA, l’USAGM, voit ses effectifs réduits à 250 salariés.
Depuis 2003, les Européens sont engagés dans les négociations nucléaires avec l’Iran avec un objectif clef : éviter l’éclatement d’une nouvelle guerre au Moyen-Orient 1. Face à Donald Trump, cette approche, qui visait à faire de l’Europe un pôle de stabilité au sein d’un ensemble occidental plus vaste, vole en éclats.
Il faut vraiment absolument bien le comprendre, c’est un fait majeur de la métaphysique et de l’ontologie (les deux disciplines qui constituent les fondations de toute la philosophie) : L’inertie, l’adaptation inertielle et le déni de tout ce qui exige un changement sont au cœur de la condition humaine.
Un Somalien sur quatre souffre de la faim, dans un pays confronté à «l’une des pires crises alimentaires au monde», avertissait l’ONG Care le 12 mai. Sans financements internationaux, des milliers de personnes sont «condamnées à mort».
Les modèles saisonniers ont été mis à jour pour les mois de juin, juillet et août. Et c'est une saison torride qui s'annonce en Belgique.
Désengagement de l’administration de Trump, changement climatique et rébellion de la milice djihadiste Chabab : le pays fait face à une crise humanitaire inédite. Près d’un demi-million d’enfants risquent de mourir de faim en Somalie, s’est alarmée lundi 12 mai l’ONG Care, alors que les financements internationaux manquent pour faire face à la situation.
La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.
Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, étudie l’introduction de « flexibilités » à l’objectif de réduire de 90 % les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2040, auquel seule une petite dizaine d’Etats membres est favorable.
Curtis Yarvin n’a pas toutes les réponses, mais quand on ne sait pas d’où commencer, abasourdis face aux énormités de l’administration Trump, la réponse est souvent : Curtis Yarvin.
La Commission a présenté, mardi, quarante-sept projets qui doivent permettre de réduire les dépendances du Vieux Continent aux matières premières stratégiques chinoises.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
La rhétorique employée par les chefs d’État ou despotes de ce monde nous renvoie à un concept fréquemment analysé ces derniers temps : la fenêtre d’Overton. Elle délimite un espace d’acceptabilité des idées, opinions et questions dans le débat public. Les derniers propos de Donald Trump, d’Elon Musk ou des leaders populistes en Europe tendent à déplacer cette fenêtre vers l’extrême droite. Comment parviennent-ils à rendre acceptables certaines déclarations et décisions pour le moins radicales, qui ne l’auraient jamais été il y a quelques années ?
Alors que le président ukrainien rappelait que l’invasion russe remontait à l’annexion de la Crimée en 2014 et que l’Ukraine a déjà signé un cessez-le-feu que la Russie n’a pas respecté, le vice-président américain J.D. Vance l’a violemment interrompu, lui reprochant de plaider sa cause devant les médias américains, exigeant qu’il remercie Trump pour son soutien et insistant sur le fait que l’Ukraine manquait de soldats.
À l’heure où s’engage entre les États-Unis et la Russie une négociation à l’issue incertaine, où un défaitisme inquiétant semble prendre le dessus en Europe, il faut parvenir à regarder avec lucidité et réalisme les intentions et les motivations profondes du président russe.
Les Vingt-Sept mettent au point un nouveau train de sanctions contre Moscou. Elles toucheraient deux fois plus de navires qui transportent le brut russe vers les raffineries indiennes et chinoises ou des armes vers la Russie.
On a souvent en tête la crise des missiles de Cuba de 1963 comme un moment où l’on a été proche d’une guerre nucléaire entre les USA et l’URSS. Mais on le sait peu, en 1983, le sort du monde n’a pas tenu à grand-chose. La nuit du 25 septembre, quand le système d’alerte au missile nucléaire retentit, Stanislav Petrov est de garde sur la base de Kourilovo. L’officier soviétique, qui n’a que quelques minutes pour décider du sort de l’humanité, conclut qu’il s’agit d’une fausse alerte, évitant une apocalypse nucléaire.
Près de 50 "événements significatifs de sureté" ont été signalés depuis la mise en route par EDF début mai du réacteur nucléaire de nouvelle génération EPR de Flamanville, des anomalies sans conséquence sur les personnes et l'environnement, a indiqué mardi l'autorité de sûreté nucléaire


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