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Le gouvernement vient de confirmer qu'il poursuivrait sur la voie du retraitement des combustibles usés, bien qu'il soit l'un des seuls pays nucléarisés au monde à le faire. Rentabilité contestée, dépendance à la Russie, stockage des matières à valoriser…ce choix pose de nombreux défis.
Eau secours. Emmanuel Macron clôt ce jeudi 16 novembre sa visite d’État de deux jours en Suisse. Parmi les sujets à l'ordre du jour, le président de la République a abordé la question du Rhône dont il souhaite augmenter le débit. Refroidissement des centrales nucléaires, production hydroélectrique, irrigation, industrie, eau potable… les besoins français ne cessent d'augmenter alors que les effets du changement climatique pèsent déjà sur ce puissant fleuve.
Just Stop Oil, Dernière Rénovation, Ultima Generazione … Si ces collectifs, lancés aux quatre coins de l’Europe, n’ont que quelques mois d’existence, leurs actions coup de poing ont su braquer la lumière sur la crise climatique. Des méthodes qui leur permettent au passage d’attirer de nouveaux militants, tandis qu’Extinction Rebellion, fer de lance de la désobéissance civile outre-manche, change de stratégie pour s’orienter vers une voie plus modérée. Une diversification qui montre les difficultés pour le mouvement climat de se réinventer. Cet article est le deuxième épisode d'une série consacrée à la désobéissance civile.
Il y a quelques semaines, Extinction Rebellion a créé la surprise. Au Royaume-Uni, le mouvement a pris la décision d’abandonner les blocages d'autoroutes et mains collés aux œuvres d'art. Une méthode de contestation jusqu'alors au cœur du collectif qui s’est construit autour d’actions de désobéissance civile spectaculaires. Mais, dépassé par des groupes militants plus radicaux et alors que le gouvernement britannique durcit le ton, le mouvement a choisi la voie du "rassemblement". Cet article est le premier épisode d'une série consacrée à la désobéissance civile.
La prolongation des centrales nucléaires au-delà de 60 ans, espérée par EDF et par le gouvernement, passera-t-elle le test climatique ? L'Autorité de sûreté nucléaire exige que les impacts à long terme du changement climatique soient désormais inclus dans les documents que doit lui fournir l'énergéticien en vue de prolonger ses réacteurs. Partage de la ressource en eau, prévisions à la baisse de la production d'électricité, impacts sur les milieux naturels, tout autant d'enjeux qui devront être intégrés.
Le nucléaire est l'un des axes privilégié par Emmanuel Macron sur le plan énergétique. Le président réélu a opéré une volte-face sur le sujet. Alors qu'il souhaitait fermer une douzaine de réacteurs d'ici 2035, au début de son premier quinquennat, il vise désormais la construction de six nouveaux EPR au moins. Mais la filière multiplie les déboires.
Vague de froid, absence de vent et production nucléaire en baisse. Ces trois facteurs mettent sévèrement à mal notre système électrique faisant craindre des tensions sur l'approvisionnement dans les prochaines semaines. Pour les experts, cela devrait pousser le gouvernement à accélérer sur la grande oubliée de la transition énergétique : l'efficacité énergétique (rénovation thermique, baisse de la consommation d'énergie...).
Face à l'urgence climatique, les scientifiques sortent de la réserve prônée dans la discipline pour s'investir dans le débat public. Certains misent sur les réseaux sociaux et la sensibilisation, alors que d'autres n'hésitent pas à appeler à la désobéissance civile face à l'inaction des gouvernements.
Le premier réacteur nucléaire a été mis en service en 1954. Pourtant, près de 70 ans plus tard, aucune solution de stockage définitif n'a encore été mise en place pour accueillir les déchets les plus radioactifs. Ceux-ci représentent plus de 60 000 tonnes rien qu'en Europe, dont un quart se trouve en France. C'est ce que révèle le premier Rapport mondial sur les déchets nucléaires, réalisé par une dizaine d'experts internationaux, en partenariat avec la fondation Heinrich-Böll et Les Verts européens.