Pablo Servigne

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Pablo Servigne

2017

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Depuis l’aube de l’humanité le monde n’a cessé de se transformer. L’histoire de l’homme est une succession de bouleversements, de mutations et de révolutions. Du chasseur-cueilleur dans la savane africaine à l’homme hyper-connecté d’aujourd’hui on peut mesurer l’extraordinaire destin du sapiens. Un philosophe grec de l’antiquité affirmait : « La seule chose qui ne change pas c’est le changement lui-même ». Or, en ce début de troisième millénaire, beaucoup d’observateurs et de savants diagnostiquent une vertigineuse accélération du monde. Sommes-nous les contemporains d’un basculement de civilisation ?
Quand #bercy invite la #collapsologie
En se basant sur les études scientifiques les plus pointues, Pablo Servigne propose une synthèse sans précédent et sans concession de la toxicité et surtout de la vulnérabilité de notre système alimentaire industriel.
Dans cette arène impitoyable qu’est la vie, nous sommes tous soumis à la « loi du plus fort », la loi de la jungle. Cette mythologie a fait émerger une société devenue toxique pour notre génération et pour notre planète. Aujourd’hui, les lignes bougent. Un nombre croissant de nouveaux mouvements, auteurs ou modes d’organisation battent en brèche cette vision biaisée du monde et font revivre des mots jugés désuets comme « altruisme », « coopération », « solidarité » ou « bonté ». Notre époque redécouvre avec émerveillement que dans cette fameuse jungle il flotte aussi un entêtant parfum d’entraide… Un examen attentif de l’éventail du vivant révèle que, de tout temps, les humains, les animaux, les plantes, les champignons et les micro-organismes – et même les économistes ! – ont pratiqué l’entraide. Qui plus est, ceux qui survivent le mieux aux conditions difficiles ne sont pas forcément les plus forts, mais ceux qui s’entraident le plus. Pourquoi avons-nous du mal à y croire ? Qu’en est-il de notre ten­dance s
Existe-t-il une science du pire ?
Pablo Servigne & les premiers collapsologues
Pour saisir l’ampleur de cette notion d’effondrement, il faut passer plusieurs étapes. La prise de conscience est graduelle et généralement irréversible…Outre son remarquable talent de pédagogue sur des sujets plutôt complexes, on doit à Paul Chefurka sa fameuse échelle de prise de conscience. « Lorsqu’il s’agit de notre compréhension de la crise mondiale actuelle, chacun de nous semble s’insérer quelque part le long d’un continuum de prise de conscience qui peut être grossièrement divisé en cinq étapes »
Et si tout s'effondrait ? Imaginer un monde plus résilient pour demain.
L’essai qui suit a été écrit dans l’intention de stimuler notre imagination. L’idée n’est pas tant de présenter une thèse solidement argumentée que de constater comment la littérature scientifique influence et nourrit notre imaginaire. Plus précisément, le pari est fait que les derniers rapports de l’état de la planète ne sont plus compatibles avec une image — très commune — que beaucoup d’entre nous avons de l’avenir des villes : une vision de continuité et d’expansion illimitée…
Emission Dans le texte - invité Pablo Servigne


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