Pablo Servigne

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France culture

2025

Anne Trombini, directrice générale de l’association Pour une Agriculture du Vivant, insiste sur l’urgence de repenser nos modes de production et de coopération pour garantir l’avenir de notre alimentation.
Troisième et dernier volet de notre série sur la taxe Zucman, qui vise à instaurer un impôt à hauteur de 2 % pour les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros. Alors qu’en France elle suscite de vifs débats, France 24 conclut l’examen de cette proposition, portée par la gauche, en soulignant que celle-ci a peut-être permis de remporter une victoire idéologique.
Il existe une façon de convaincre pros et antis-loi Duplomb : interdire les importations de produits traités avec des pesticides interdits en France – notamment l'acétamipride. Une mesure juridiquement possible, mais complexe à mettre en œuvre.
Dans le viseur des agriculteurs, le projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et des pays latino-américains du Mercosur, dont Bruxelles a lancé début septembre le processus de ratification.
Le syndicat agricole productiviste prévoit des actions le 26 septembre notamment contre les accords de libre-échange. Ce, alors que les dirigeants de la FNSEA se sont largement enrichis... grâce à ce système.
Les tenants de l’agro-industrie luttent toujours contre la révision de la gestion de l’eau en Bretagne. Dernière action : un courrier aux maires, signé par de grosses coopératives. Pour l’instant, le lobbying n’est pas victorieux.
Le principal syndicat agricole appelle ses adhérents à manifester les 25 et 26 septembre. Il se fait le porte-parole de l’inquiétude vis-à-vis de la concurrence étrangère et, pour certaines filières (céréales, porc), de l’effondrement des prix.
Le troisième Appel de La Rochelle pour la sortie des pesticides de synthèse a eu lieu ce week-end. Dans la foulée de la mobilisation anti-loi Duplomb, les participant·es ont débattu d’un projet de convention citoyenne sur la transition agricole. On vous explique.
L’une des conclusions de l’étude sur l’exposition des riverains aux pesticides publiée par l’Anses et Santé publique France était de créer une base de données permettant de savoir quel champ a été traité avec quel produit à quel moment. Une requête de longue date des scientifiques et ONG, qui pourraient ainsi mener des études épidémiologiques.
Jusqu’à 140 tonnes de substances actives, dont certaines sont interdites, sont dissoutes dans les nuages au-dessus du territoire métropolitain, selon une étude franco-italienne. Les écosystèmes éloignés des activités humaines sont exposés à ces molécules par les précipitations.
Fort de plus de deux millions de signatures, le texte demandant l’abrogation de la loi de simplification agricole doit être présenté devant la commission des affaires économiques. Ses membres décideront alors de l’examiner ou de le classer.
Pour la première fois dans l’histoire parlementaire, une pétition fera l’objet d’un examen en commission des affaires économiques. Le bureau de cette commission doit désormais désigner un ou plusieurs rapporteurs avant un éventuel débat en hémicycle.
Les conclusions de l’étude, rendues publiques ce lundi 15 septembre, frustre ceux qui attendent toujours des données précises sur l’impact sanitaire des épandages dans un département façonné par les vignes.
Une étude d’ampleur publiée par l’Anses et Santé publique France, le 15 septembre, est sans appel : les personnes vivant près des vignes sont davantage exposées aux pesticides.
«Alors que début septembre 2025 s’ouvre une séquence d’importantes mobilisations en France, et que la justice vient de rendre une décision historique ordonnant à l’État de revoir ses procédures d’autorisation des pesticides, les attentes des millions de citoyen·nes qui ont signé la pétition contre la loi Duplomb ne peuvent être balayées d’un revers de main», estiment les signataires de cette tribune publiée par Vert.
Après quinze jours sans cas, la découverte d’un nouveau foyer de DNC dans ce département relance l’inquiétude quant à une éventuelle propagation de cette maladie virale et contagieuse.
Au sud-ouest de Nantes, une assistante maternelle à la retraite bataille pour que l’Assurance maladie reconnaisse le lien entre son cancer et les pesticides épandus par ses voisins maraîchers.
Par un arrêt du 3 septembre 2025, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) a commis une faute en ne procédant pas à l’évaluation des produits phytopharmaceutiques au vu du dernier état des connaissances scientifiques. En conséquence, la Cour ordonne à l’Etat de mettre en œuvre une évaluation conforme aux exigences requises et de procéder, dans un délai de vingt-quatre mois, à un réexamen des autorisations de mise sur le marché déjà délivrées.
La justice a ordonné à l’État de revoir ses procédures d’autorisation de mise sur le marché des pesticides. Cette décision « historique » reconnaît le « préjudice écologique » de la contamination des milieux par ces substances.
Dans l’affaire «Justice pour le vivant», la cour administrative d’appel de Paris a souligné ce mercredi 3 septembre la nécessaire prise en compte systématique de la sauvegarde de la biodiversité et de la protection de la santé au moment d’autoriser des produits phytosanitaires.


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