Veille documentaire
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
Le principal gestionnaire des centrales nucléaires belges Engie et le gouvernement fédéral ont réalisé vendredi le "closing" de leur accord concernant la prolongation pour dix ans des réacteurs Tihange 3 et Doel 4, ainsi que le transfert de responsabilité lié aux déchets nucléaires.
En République démocratique du Congo, les combats entre les forces gouvernementales et les rebelles M23 soutenus par le Rwanda se poursuivent dans les provinces du Sud et du Nord Kivu. Le gouvernement congolais pourrait proposer un accord minier avec les États-Unis, dans l'espoir d'obtenir un soutien diplomatique.
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Les autorités congolaises espèrent conclure un accord avec l’administration Trump sur les ressources minières du pays, comptant sur le soutien américain dans leur lutte contre les rebelles du M23 et les forces rwandaises qui mènent une offensive dans l’est de la RD Congo. Des discussions préparatoires ont débuté, selon Kinshasa et Washington, bien que les contours du projet demeurent très flous.
L’administration autonome kurde, soutenue par les Etats-Unis, contrôle de vastes territoires dans le nord et l’est de la Syrie, riches en blé, pétrole et gaz. Ce sont des ressources cruciales pour les nouvelles autorités de Damas qui cherchent à unifier un pays divisé par treize ans de guerre civile.
Un compromis a été trouvé, lundi 10 mars, entre le président syrien par intérim, Ahmed Al-Charaa, et le chef des Forces démocratiques syriennes, Mazloum Abdi, pour intégrer au sein de l’Etat les institutions autonomes kurdes du nord-est du pays.
Sous l’impulsion des Etats-Unis et d’autres pays occidentaux, un accord a été trouvé lundi 10 mars par les dirigeants kurdes du nord-est syrien et le président provisoire Ahmed Al-Charaa. Ses modalités restent à préciser mais il éloigne la menace d’affrontements communautaires.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié lundi d'"illégale" la décision des États-Unis de mettre fin à une dérogation aux sanctions imposées à Téhéran qui avait permis à l'Irak d'acheter de l'électricité à l'Iran.Des exemptions depuis 2018Les importations de gaz et d'électricité en provenance de l'Iran voisin représentent un tiers des besoins énergétiques de l'Irak, pays aux immenses richesses pétrolières mais ravagé par des décennies de conflits et confronté à des délestages quotidiens.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Des informations corroborées par différentes sources affirment que des investisseurs américains voudraient racheter Nord Stream 2.
Dans un paysage lunaire d'excavations jaunâtres et grises, d'énormes machines se déplacent. Bienvenue dans une mine ukrainienne, qui espère l'arrivée d'investisseurs étrangers à la faveur d'un accord sur les ressources du pays voulu par le président américain Donald Trump. "L'Ukraine est très riche en ressources minières. Et si on ne les exploite pas, l'Ukraine va simplement perdre des revenus qu'elle pourrait obtenir", se lamente Dmytro Golik, directeur de cette entreprise située dans la région de Jytomyr, dans le centre-ouest de l'Ukraine.
Les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l’Europe" à 800 milliards d’euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine. Mais ils ne sont que 26 à avoir approuvé un texte ad hoc sur la stratégie de soutien à l’Ukraine, que le dirigeant hongrois Viktor Orban rejette.
Deux jours après son altercation avec Donald Trump et J.D. Vance à la Maison Blanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est redit prêt, dimanche, à signer l'accord sur les minerais négocié avec les États-Unis.
Le président ukrainien, qui était à Londres avec ses partisans occidentaux après la réunion catastrophique de vendredi à Washington, a également rappelé qu’il n’était pas opposé à un départ dans le cas d’une adhésion de l’Ukraine à l’Otan.
Le retard des négociations au sein du Giec va fragiliser le prochain bilan mondial climatique qui aura lieu en 2028.
Au dernier jour des prolongations du sommet onusien, quelque 150 pays sont parvenus à des concessions mutuelles pour réformer le financement de la sauvegarde de la nature. Mais la question d'un nouveau fonds n'a pas été tranchée.
Exceptionnellement réunis en Italie cette semaine, les représentant·es de 196 États ont effacé l’échec de la COP16 sur la biodiversité d’octobre dernier en Colombie. Pays développés et en développement ont trouvé un compromis encourageant sur le financement de la protection de la nature.
Quatre mois après la brutale clôture de la COP16 en Colombie, au cours de laquelle aucun accord financier n’avait été trouvé, les négociations ont débouché sur un compromis lors d'une seconde session à Rome.
Volodymyr Zelensky et Donald Trump se rencontreront vendredi à Washington pour finaliser un accord cadre sur l'exploitation de minerais ukrainiens. Voici ce que l'on sait jusqu'à présent de cet accord.
Donald Trump a affirmé que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, devait lui rendre visite vendredi pour signer cet accord sur les terres rares, essentielles aux nouvelles technologies et à la défense. Kiev n’a pas encore confirmé officiellement.
Après plusieurs semaines de négociations tendues, Kiev et Washington ont conclu mardi un accord sur l’exploitation des minerais ukrainiens. Les États-Unis auraient finalement renoncé à certaines exigences jugées “inacceptables” par l’Ukraine.
La COP a moitié vide. Après l’échec de la COP 16 sur la biodiversité en octobre dernier, les 196 pays participants se retrouvent à Rome ce mardi. L’objectif des trois jours de négociations : trouver un accord financier sur la protection de la nature.
Trois ans jour pour jour après le début du conflit, les présidents français et américain se sont entretenus à la Maison Blanche ce lundi 24 février. Ils assurent vouloir travailler pour une «paix durable».
La vice-présidence ukrainienne a annoncé que les discussions entre les deux pays, dont les relations se sont tendues ces dernières semaines, s’approchaient de leur conclusion.
L'éventuel accord sur les minerais entre l'Ukraine et les États-Unis ne comprendra pas de garanties de sécurité militaire, a déclaré dimanche le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'est 'pas prêt' à signer un accord avec les Etats-Unis qui leur offrirait un...
Donald Trump s'est dit mardi davantage "confiant" dans la possibilité d'un accord avec Moscou sur un possible règlement de la guerre en Ukraine, après les discussions entre Américains et Russes à Ryad, et a assuré qu'il rencontrerait "probablement" Vladimir Poutine avant la fin du mois.
Chypre et l'Égypte ont signé lundi un accord avec un consortium énergétique pour exporter du gaz depuis les puits offshore de l'île méditerranéenne vers l'Europe, après qu'il ait été traité en Égypte.L'Égypte, aux côtés du géant énergétique italien Eni et de la société française TotalEnergies, a accepté de "collaborer pour commercialiser les réserves de gaz naturel découvertes dans" une zone offshore appelée Bloc 6, indique un communiqué du gouvernement chypriote.Il s'agit du premier accord de ce type signé par Chypre.
Un mini-sommet européen est organisé ce lundi à Paris pour éviter qu’un accord de paix soit signé entre les Etats-Unis et la Russie sans les Européens et les Ukrainiens et pour accélérer le réarmement militaire des Vingt-Sept.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi avoir refusé de signer un accord avec les États-Unis portant sur des minerais ukrainiens, estimant qu'il ne "protégeait pas" à ce stade son pays.
En déplacement officiel en Europe, le vice-président américain, J. D. Vance, a tenu à souligner que toutes les options étaient encore sur la table pour mettre la pression sur Moscou afin de mettre un terme à la guerre en Ukraine.
La possibilité de modifier le système de paiement du département américain du Trésor a été accordée "par erreur" à un membre de l'équipe d'Elon Musk, a assuré un responsable du ministère, dans une déclaration sous serment déposée mardi auprès d'un juge fédéral.
Les États-Unis ne considèrent pas l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan comme une issue réaliste à une fin négociée de la guerre en Ukraine, a déclaré jeudi le nouveau secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth. Washington estime également que le retour aux frontières ukrainiennes d'avant 2014 est un "objectif irréaliste". M. Hegseth a par ailleurs exclu l'envoi de troupes en Ukraine dans le cadre d'un éventuel accord de paix.
Près de 200 Etats avaient jusqu’au lundi 10 février pour fournir à l’ONU leur stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Alors que la date limite est désormais dépassée, l’UE et la Chine n’ont toujours pas rendu leurs travaux.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne figurent pas parmi les 61 premiers pays signataires d’une déclaration pour une intelligence artificielle «durable pour les populations et la planète» publiée mardi à l’issue du Sommet sur l'IA.
La très grande majorité des pays signataires de l’accord de Paris adopté en 2015 ont laissé passer la date limite du 10 février à laquelle ils devaient publier leur nouveau plan d’action en ce qui a trait aux défis du changement climatique. Parmi les mauvais élèves, l’Union européenne.
Le Brésil organisera en novembre, à Belem, la prochaine conférence mondiale sur le climat, quelques mois après l’annonce par les États-Unis de leur retrait. Un défi à la fois sur le plan des négociations et de l’organisation.
La lecture de l’accord fédéral de l’Arizona laisse un goût amer s’accordent à dire les membres de la Coalition Climat ! Les politiques du nouveau gouvernement fédéral ne permettront pas à la Belgique de respecter ses objectifs européens, ni de se conformer au jugement de l’Affaire Climat, ni encore d’atteindre la neutralité climatique comme convenu dans l’Accord de Paris. Par ailleurs, l’Arizona prévoit de faire des économies sur la solidarité internationale alors que ce sont les plus vulnérables, ici et ailleurs, qui sont et seront le plus durement touchés par la crise climatique.
OpenAI a conclu un accord avec le gouvernement américain pour l’utilisation de ses derniers modèles d’IA dans les laboratoires nationaux de recherche scientifique et pour la sécurité des armes nucléaires.
La neutralité est une complicité. Il est urgent que nos universités assument une responsabilité collective, défendent sans équivoque la justice et alignent leurs politiques sur leurs principes déclarés.
L’ONU a confirmé avoir reçu, lundi 27 janvier, notification des Etats-Unis de leur retrait du pacte mondial de lutte contre le réchauffement climatique. Le départ américain sera effectif dans un an, en janvier 2026.
Les Etats-Unis ont notifié lundi à l'ONU leur décision de se retirer de l'accord de Paris sur le climat, a annoncé mardi le porte-parole du secrétaire général des Nations unies, précisant que le retrait sera effectif le 27 janvier 2026.
Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag ont été libérées en échange de 200 prisonniers palestiniens, comme prévu par l’accord de trêve entre Israël et le Hamas.
Après l'annonce par Donald Trump d'un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, le milliardaire américain Michael Bloomberg s'est engagé jeudi à contribuer, à la place du gouvernement, à un financement international pour le climat.
Dès le premier jour de son mandat, Donald Trump a signé une série de décrets engageant les États-Unis dans une voie environnementale controversée.
Si Moscou ne conclut pas d'accord avec l'Ukraine "maintenant", Donald Trump a assuré mercredi qu'il n'aurait "pas d'autre choix que d'imposer de hauts niveaux de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce que la Russie vend aux Etats-Unis et à d'autres pays".
Le président américain, tout juste de retour à la Maison Blanche, a sommé ce 22 janvier Moscou de trouver un accord pour clore la guerre en Ukraine, faute de quoi il lui imposerait des «hauts niveaux de taxes», des «droits de douanes»…
L'Algérie a signé mercredi un accord avec le géant américain Chevron afin d'évaluer le potentiel de ressources en hydrocarbures offshore en Méditerranée dans les eaux algériennes, a annoncé le ministère de l'Energie.Ce partenariat a été signé entre l'Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft) et Chevron North Africa Ventures Ltd, a précisé le ministère dans un communiqué. Cet accord, qui s'étale sur 24 mois, prévoit la réalisation d'une "étude approfondie d'évaluation des ressources pétrolières en offshore algérien".
Donald Trump a enclenché lundi un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, une marche arrière toute dans la lutte contre le dérèglement climatique qui met en péril les efforts mondiaux pour le freiner.Le républicain, climatosceptique notoire, a tenu parole en signant dès son premier jour de retour au pouvoir un décret présidentiel puis une lettre aux Nations unies en ce sens.
Coup dur pour la diplomatie climatique, la promesse de Donald Trump de retirer pour la seconde fois les Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat met en valeur les pays qui y sont jusqu'ici fermement engagés, à commencer par la Chine.Avec encore la quasi-totalité du monde qui reste membre (sauf quelques pays dont Iran, Libye et Yémen), l'accord adopté en 2015 à Paris va survivre, estiment diplomates et experts, qui rappellent que depuis dix ans, les engagements collectifs des pays du monde ont amélioré les prévisions de réchauffement futur.
Amers Ricains. Sortie de l’Accord de Paris, état d’urgence énergétique, fin du Green new deal : moins de 24 heures après son investiture officielle en tant que nouveau président des États-Unis, Donald Trump a d’ores et déjà signé d’énormes reculs environnementaux pour le pays. Des voix s’élèvent pour appeler à la mobilisation.
Coup dur pour la diplomatie climatique, la promesse de Donald Trump de retirer pour la seconde fois les États-Unis de l'accord de Paris sur le climat met en valeur les pays qui y sont jusqu'ici fermement engagés, à commencer par la Chine.Avec encore la quasi-totalité du monde qui reste membre (sauf quelques pays dont l'Iran, la Libye et le Yémen), l'accord adopté en 2015 à Paris va survivre, estiment diplomates et experts, qui rappellent que depuis dix ans, les engagements collectifs des pays du monde ont amélioré les prévisions de réchauffement futur.
Sortie de l'accord de Paris, état d'"urgence énergétique" pour doper la production d'hydrocarbures: Donald Trump a amorcé lundi une marche arrière toute dans la lutte contre le changement climatique, mettant en péril les efforts mondiaux pour le freiner.La nouvelle administration américaine a annoncé que les Etats-Unis, deuxième pollueur mondial derrière la Chine et premier pollueur historique, se retireraient pour la deuxième fois de l'accord de Paris sur le climat.
Un classement qui examine les efforts des pays, par rapport aux promesses de l’Accord de Paris, place la Belgique en bas des résultats. Notre pays se situe à la 19e place sur 23, très loin de l’Autriche, l’Allemagne ou la Suisse qui occupent le haut du podium. C’est notamment la complexité de notre système politique qui nous dessert.
Le groupe public français Orano (ex-Areva) a signé vendredi à Oulan-Bator avec la Mongolie un accord pour l'exploitation d'une vaste mine d'uranium, a constaté une journaliste de l'AFP, un investissement présenté par Paris comme important pour l'approvisionnement des centrales françaises.Cette signature, qui concrétise la bonne santé des liens bilatéraux, se faisait attendre depuis octobre 2023, lorsque le protocole d'accord sur l'exploitation de ce site avait été paraphé en France lors d'une visite d'Etat du président mongol Ukhnaa Khurelsukh.
Sous l’égide des États-Unis, du Qatar et de l’Egypte, l’accord entre Israël et le Hamas prévoit la libération des 98 otages aux mains du Hamas et, à terme, la reconstruction de l’enclave.
Le gouvernement israélien, qui doit donner son feu vert jeudi à l’accord annoncé par le Qatar et les États-Unis, a remercié mercredi les deux présidents américains, dont les équipes ont étroitement collaboré sur le sujet. Cette coopération “rare” à Washington, bénéficie à chacun des deux dirigeants, note la presse américaine.
Accord entre l'Irak et BP pour développer des champs pétroliers en luttant contre le torchage de gaz
(15/01) - Afp,L'Irak et le géant pétrolier britannique BP sont proches d'un accord final pour le développement de quatre champs pétroliers de Kirkouk, méga-projet prévoyant aussi l'exploitation du gaz torché afin d'augmenter la production électrique du pays, ont annoncé mercredi les autorités irakiennes.
L’accord porte sur trois phases de cessez-le-feu, qui comprennent la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, celle de prisonniers palestiniens, l’entrée d’aide humanitaire dans l’enclave et le retrait progressif des troupes israéliennes.
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages, mettant fin à 15 mois d'une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi soir que des questions restaient "à régler" dans l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas mais qu'il espérait conclure "cette nuit".
Les pays développés de l'OCDE ont échoué à trouver un accord sur l'arrêt progressif des mesures publiques de soutien financier aux industries fossiles, à quelques jours de l'investiture du climatosceptique Donald Trump à la Maison-Blanche.
Dans une longue interview publiée dimanche 5 janvier, le président ukrainien a multiplié les compliments envers Donald Trump qu’il voit comme «plus influent» que son prédécesseur pour mettre fin à la guerre avec la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exprimé dans une interview publiée dimanche son souhait de rencontrer Donald Trump pour évoquer un plan de paix avant toute négociation avec Vladimir Poutine.
Le groupe français exploiterait un gisement débouchant sur une production en 2028. Le projet, qui a mis des décennies à se concrétiser, doit encore être validé par le Parlement mongol, alors que le pays est soumis à la pression de ses voisins russe et chinois.
Vendredi 20 décembre 2024, jour J pour l'EPR de Flamanville (Manche): après 17 ans de travaux, dont 12 ans de retard, le réacteur nucléaire de nouvelle génération devrait être enfin raccordé au réseau et contribuer à la production électrique de la France.Sauf aléas de dernière minute, le premier couplage au réseau du réacteur EPR devrait donc avoir lieu au dernier jour de l'automne, après avoir été promis "avant la fin de l'été", puis "avant la fin de l'automne".
Durant deux semaines, les risques pesant sur l’alimentation ont été au cœur des débats de la Convention des Nations unies sur la désertification, qui n’a pas réussi à concrétiser le protocole sur la sécheresse appelé de ses vœux par l’Afrique.
Les négociations à la conférence de l'ONU contre la désertification, COP16, ont pris fin samedi à Ryad sans parvenir à un accord contraignant sur la lutte contre la sécheresse, ont indiqué des participants.
À Riyad, en Arabie saoudite, les négociateurs de la conférence de l'ONU sur la désertification n'ont pas réussi à se mettre d'accord pour faire face à la sécheresse, malgré une nuit supplémentaire de discussions.
Le président américain élu Donald Trump a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" et des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine, sur sa plateforme Truth Social. "Il devrait y avoir un cessez-le-feu immédiat et des négociations devraient commencer. Trop de vies ont été perdues en vain, trop de familles ont été détruites, et si ça continue, cela pourrait se transformer en quelque chose de plus gros, et bien pire", a-t-il écrit en affirmant que l'Ukraine a perdu "de façon ridicule" 400.000 soldats et "bien plus de civils".
L’Union Européenne et les pays du Mercosur ont annoncé ce vendredi 6 décembre avoir finalisé le décrié accord commercial de libre-échange. «L’accord n’est ni signé, ni ratifié», a souligné l’Elysée.
L'ONG CNCD-11.11.11 et l'alliance syndicale agricole majoritaire française FNSEA-Jeunes agriculteurs (JA) ont fait part de leur mécontentement à la suite de cette annonce d'un accord. Le Premier ministre Allemand a quant à lui félicité cet accord.
Réunis depuis cinq jours à Genève pour tenter de trouver un accord pour prévenir les pandémies, après les erreurs commises pendant l'épidémie de Covid-19, les diplomates des pays membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) font du surplace.
"Aujourd’hui marque un véritable jalon historique" se félicite la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, avant d’immortaliser ce moment par une photo, en tailleur bleu Europe, aux côtés des dirigeants de l’Argentine, de l’Uruguay, du Paraguay, du Brésil : les quatre pays fondateurs du marché commun sud-américain, le "Mercosur".
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.
Les 175 pays réunis à Busan, en Corée du Sud, ne sont pas parvenus à finaliser le texte dans les temps, ralentis par les pays pétroliers.
Les pays des Nations unies ont échoué à s'entendre sur un traité mondial sur le plastique à l'issue de la cinquième session de négociations. Les discussions vont être prolongées, avec des États pétroliers de plus en plus isolés.
Les négociations menées pendant une semaine à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique, ont échoué à aboutir à un accord et continueront à une date ultérieure, a annoncé dimanche le diplomate qui préside le processus.
Récemment, la Chine et les États-Unis sont parvenus à un accord très important concernant l'arme nucléaire et l'intelligence artificielle.
La COP est pleine. Après deux semaines de négociations poussives, la 29ème conférence mondiale (COP29) sur le climat a débouché sur un accord financier ce week-end à Bakou en Azerbaïdjan. Adopté dans l’amertume et la confusion, il est déjà désavoué de toutes parts. Vert fait le bilan.
L'accord conclu dimanche à la COP29 est "décevant" et "pas à la hauteur des enjeux", a regretté dimanche la ministre française de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher.Malgré "plusieurs avancées", dont le triplement des financements en faveur des pays pauvres menacés par le changement climatique, la conférence de Bakou a été marquée "par une vraie désorganisation et une absence de leadership de la présidence" azerbaïdjanaise, a affirmé la ministre dans une déclaration transmise à l'AFP.
Les pays développés se sont engagés dans la nuit de samedi 23 novembre à dimanche 24 novembre à Bakou à financer davantage les pays pauvres, au terme d’un sommet climat chaotique. Mais le texte ne satisfait pas les pays en développement.
"Au moins 300 milliards de dollars" annuels d'ici 2035 pour les prêts et dons aux pays en développement : les pays développés se sont engagés dimanche à Bakou à financer davantage les pays pauvres menacés par le changement climatique, au terme d'une conférence de l'ONU chaotique en Azerbaïdjan dont de nombreux acteurs repartent déçus et en colère.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a exprimé des sentiments mitigés à propos de l'accord sur le financement de la lutte contre le changement climatique conclu en Azerbaïdjan tôt dimanche matin, exhortant les Etats à le considérer comme une "fondation" à consolider."J'avais espéré un résultat plus ambitieux - tant sur le plan financier que sur celui de l'atténuation - pour relever le grand défi auquel nous sommes confrontés", a-t-il déclaré dans un communiqué, appelant "les gouvernements à considérer cet accord comme une fondation - pour continuer à construire".
La 29e conférence des Nations unies sur le changement climatique a adopté plusieurs décisions, dont la principale a fixé aux pays riches l'obligation de financer 300 milliards de dollars par an d'ici 2035 pour soutenir la transition énergétique et l'adaptation au changement climatique des pays en développement.
La COP29 est entrée en prolongations samedi, après douze jours de négociations infructueuses.
Le texte en préparation « est absolument inacceptable et permet aux pays développés de s’affranchir complètement de leurs obligations en matière de financement de la lutte contre le changement climatique pour les pays en développement », estiment 335 organisations dans une lettre.
Le négociateur de l'Union européenne à la COP29, Wopke Hoesktra, a estimé jeudi que le projet d'accord publié dans la nuit était "inacceptable" en l'état.
Alors que Paris dénonce l'accord de libre échange avec plusieurs pays d’Amérique du Sud, d’autres pays membres de l’Union européenne émettent leur réserve. A l’inverse, certains y sont favorables. «Libération» fait le point.
Le refus de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay et Bolivie) fait l’objet d’un consensus politique inhabituel. Mais fragilisé par un modèle agricole à bout de souffle et tétanisé par la perspective d’une crise sociale, Paris n’a guère les moyens de peser sur le débat.
Dans le cadre d’un plan visant à verdir l’agriculture, le gouvernement danois a annoncé un accord sur l’introduction d’une taxe carbone sur l’élevage en 2030. Le texte, dévoilé lundi et qui a le soutien du gouvernement et de quatre partis majoritaires, doit encore être voté au Parlement.
Cet appel d’une heure a provoqué la colère de l’Ukraine, qui y voit « une tentative d’apaisement » de l’Allemagne envers Moscou.
L'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays du Mercosur est au centre de la colère des agriculteurs. Concurrence déloyale, conséquences écologiques... Ce traité est la source de nombreuses critiques.
"Sans clauses miroirs contraignantes, nous ne pourrons accepter, nous ne pourrons pas être favorables à l'accord avec le Mercosur". C'est en ces termes que le ministre fédéral de l'Agriculture David Clarinval a décrit, jeudi en séance plénière de la Chambre, la position du gouvernement fédéral au sujet de l'accord UE-Mercosur.
Il s'agit d'un élément central de l'accord de Paris de 2015 pour tenter de limiter le réchauffement de la planète : les différents pays ont jusqu'à février prochain pour déposer leurs nouvelles feuilles de route climatiques à l'ONU, comme vient de l'annoncer le Royaume-Uni.
Darren Woods, depuis la COP29 de Bakou où il assiste pour la deuxième fois aux rencontres des Nations unies sur le climat, explique au “Wall Street Journal” qu’un renoncement des États-Unis à ses engagements climatiques serait mauvais pour le business.
L’accord actuel ne respecte pas les critères démocratiques, économiques, environnementaux et sociaux fixés par l’Assemblée nationale et le Sénat, estiment 622 élus d’horizons politiques divers, dans une tribune au « Monde », rédigée à l’initiative du sénateur (Les Ecologistes) Yannick Jadot.
La 29e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte, lundi, en Azerbaïdjan, avec pour principal enjeu de trouver un compromis sur les montants d'aide financière à destination des pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique.
Les ambitions de l'accord de Paris sont "en grand danger", a alerté l'ONU lundi, à l'ouverture de la conférence climatique de l'ONU à Bakou (COP29), avec l'année 2024 quasiment assurée de devenir l'année la plus chaude jamais enregistrée.
Le gouvernement français l'a assuré ce dimanche.
Les pays du monde entier ont jusqu'au 10 février 2025 pour soumettre leurs nouvelles feuilles de routes climatiques, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les États-Unis qui pourraient en sortir sous Donald Trump l'an prochain. Mais quelles sont les objectifs et obligations de chacun ?
Les pays du monde entier ont jusqu'en février 2025 pour déposer leurs nouvelles feuilles de route climatiques à l'ONU, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les Etats-Unis qui pourraient en sortir sous la présidence de Donald Trump l'an prochain.- A quoi oblige l'accord de Paris?
Le principal objectif de la COP16 n’a pas été atteint : il n’y a pas eu d’accord sur les 200 milliards de dollars nécessaires à la conservation de la biodiversité. Malgré cet échec, la presse colombienne souligne des avancées pour les peuples autochtones et les Afrodescendants, ainsi que pour la préservation de certaines aires marines.
Lors de son mandat à la Maison Blanche, Donald Trump avait retiré les États-Unis de plusieurs accords internationaux et agences de l'ONU, menaçant même de quitter l'Otan. À l'époque, des hauts fonctionnaires de son équipe agissaient comme "garde-fous" et l'Europe n'était pas en proie à un conflit sur son territoire. Aujourd'hui, face à la possibilité d'un retour au pouvoir du milliardaire, l'Europe se prépare activement à se protéger d'une nouvelle présidence du républicain.
Sur la scène communautaire, la France est de plus en plus isolée dans son combat contre ce traité de libre-échange.
L'armateur CMA CGM et le géant de l'eau et des déchets Suez ont annoncé mardi un accord qui vise à produire du biométhane pour propulser les navires du groupe de transport maritime et lui permettre de décarboner sa flotte.Ce protocole d'accord prévoit la production par Suez de biométhane, "jusqu'à 100.000 tonnes par an d'ici 2030", indiquent les deux partenaires dans un communiqué commun.Afin de financer ce programme, l'accord prévoit "la création d'une structure d'investissement commune, dotée d'une enveloppe de 100 millions d'euros pour une première tranche d'ici 2030".
Le nouvel objectif de finance climatique mondiale, qui sera âprement débattu lors de la COP29 à Bakou, devra avoir un solide socle de financements publics "en son coeur", a pressé jeudi le patron de l'ONU Climat, Simon Stiell, en direction des pays développés.Cette année, la COP (11-22 novembre) doit se conclure par un nouvel objectif pour la finance dans les pays en développement ("Nouvel objectif collectif quantifié", ou NCQG selon son sigle anglais).
C’est un accord sans unanimité auquel, ce 13 octobre, six pays du bassin du Nil ont abouti. Ces pays se sont entendus sur un partage équitable des ressources du fleuve, à la grande opposition de l’Égypte comme du Soudan. Ces deux États, très dépendants des eaux du Nil, ont affirmé leur ferme opposition, dans un contexte régional tendu.
La formulation de l'objectif de finance climatique pour les pays en développement, qui doit être adopté en novembre à la COP29 de Bakou, se précise un peu, selon une ébauche d'accord publié mardi, sans affiner toutefois le montant qui sera exigé des pays riches.Trois options de formulation sont désormais sur la table dans ce texte établi par l'Egypte et l'Australie, désignés comme co-facilitateurs pour tenter de synthétiser des années de bras fer Nord-Sud.
La ministre française de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a annoncé lundi avoir signé un accord de "coopération bilatérale" dans le nucléaire avec son homologue néerlandaise Sophie Hermans traduisant un "engagement politique" à travailler de concert sur la relance de l'atome dans les deux pays.
Un nouveau test pour détecter le Mpox a été approuvé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce vendredi 4 octobre. A l’aide d’un prélèvement de type PCR, qui permet de détecter en temps réelle la présence du virus.
Ce mercredi 25 septembre plus de 15 pays de l’Union Européenne ont accepté de revaloriser le statut du loup, qui pourrait passer d’une protection stricte à une protection simple. Les loups seront ainsi éliminés plus rapidement.
Nouveau retard pour l'EPR de Flamanville : EDF a annoncé lundi qu'il faudrait attendre trois mois supplémentaires pour voir son nouveau réacteur alimenter le réseau électrique, lequel ne recevra pas ses premiers électrons avant "la fin de l'automne", alors que l'électricien tablait jusqu'ici sur la fin de l'été.L'énergéticien a annoncé de manière concomitante avoir reçu le feu vert de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour lancer la production des premiers électrons de l'EPR, avec douze ans de retard sur le calendrier initial.
Le Koweït a annoncé lundi la signature d'un nouvel accord d'approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL) avec le Qatar, visant notamment à répondre à la hausse de la demande d'électricité dans le pays du Golfe.3 millions de tonnes par an à partir de 2025Le contrat signé entre Kuwait Petroleum Corporation (KPC) et Qatar Energy prévoit la livraison de 3 millions de tonnes de GNL qatari par an à partir de 2025, sur une période de 15 ans, a indiqué la compagnie publique koweïtienne.
Le gouvernement rwandais a signé mercredi un protocole d'accord avec l'entreprise américaine Nano Nuclear Energy pour la construction de petits réacteurs nucléaires (SMR), a annoncé l'Autorité de l'énergie atomique rwandaise (RAEB).Plus petits et de construction plus simple que les centrales conventionnelles, les SMR sont des réacteurs fabriqués en série en usine puis transportés sur le lieu de leur exploitation.
C'est un accord historique que viennent de trouver les pays du G20 pour renforcer la taxation des milliardaires au niveau international.
Cette initiative, qui sera officialisée la semaine prochaine lors d'un sommet de l'Alliance, avait été lancée par le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg. Ce dernier souhaitait un engagement pluri-annuel des alliés afin d'ancrer dans la durée cette aide militaire, indispensable à l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie.
Il y a deux ans, de jeunes militants pour le climat avaient entamé une procédure judiciaire contre l’État d’Hawaii et son département des transports, faisant valoir que le recours aux moyens de transport polluants compromettait leur droit à un environnement sain. À la suite d’un accord à l’amiable qualifié d’“historique”, l’État s’est engagé à adopter un plan de décarbonation.
L'opérateur français GRTgaz et la société énergétique norvégienne Equinor ont signé lundi un accord pour le développement d'un projet de transport et de stockage géologique de CO2 entre Dunkerque et le large de la Norvège."Ce projet vise à décarboner dès 2029 la zone industrialo-portuaire de Dunkerque et son territoire qui représente en France 20% des émissions de CO2 de l'industrie, soit plus de 16 millions de tonnes", ont-ils annoncé dans un communiqué.
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
Traité sur les pandémies : les pays de l'OMS prolongent les négociations sur un accord de prévention
(01/06) - Afp,Les négociations sur un accord de prévention et de lutte contre les pandémies sont prolongées au maximum pour un an, afin de surmonter les différends et sauvegarder les acquis, ont décidé les pays membres de l'OMS samedi à Genève.
TE H2, co-entreprise des groupes TotalEnergies et Eren, et l'électricien autrichien Verbund ont annoncé mardi la signature d'un protocole d'accord avec la Tunisie en vue d'édifier un grand complexe de production et exportation d'hydrogène vert dans le sud du pays.Baptisé "H2 Notos", ce projet, qui en est à son tout début, vise à produire de l'hydrogène par électrolyse, à base d'électricité solaire et éolienne, pour l'exporter par pipeline vers l'Europe.
Après plus de deux ans de travail pour tenter d'arracher un traité sur la prévention et la lutte contre les pandémies, les négociations ont pris fin vendredi, sans accord.
Aucune des grandes compagnies pétrogazières occidentales n’a de politique climat alignée avec l’Accord de Paris. C’est le constat (sans surprise) du groupe de recherche Oil Change International, qui a examiné les feuilles de route climatiques des huit plus grands producteurs internationaux de pétrole et de gaz basés aux États-Unis et en Europe (BP, Chevron, ConocoPhillips, Eni, Equinor, ExxonMobil, Shell et TotalEnergies). Il publie ses résultats dans la nouvelle édition de son rapport Big (…)
Le gouvernement français espère imposer à Nouméa un accord pour bénéficier de ses ressources en nickel et fabriquer davantage de voitures électriques. Une attitude vécue par les indépendantistes comme une « recolonisation » de leur territoire. La question est éclipsée dans les débats depuis le début des affrontements en Nouvelle-Calédonie. Il s’agit pourtant d’un enjeu crucial : qui peut profiter des ressources minières de cet archipel du Pacifique ? Le territoire abrite à lui tout seul 20 à 30 % des (...)
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Face à l’urgence climatique, des scientifiques appellent les familles politiques à signer un accord préélectoral multipartite dans lequel elles s’engageraient à atteindre les objectifs de décarbonisation et de conservation de la nature.
Le géant du numérique Microsoft a annoncé mercredi avoir signé un accord avec le fournisseur d'énergie renouvelable canadien Brookfield Asset Management, qui en ferait le plus important accord d'entreprise de fourniture d'énergie verte, selon le groupe. 10,5 GW de capacités renouvelables Cet accord qualifié de "première" prévoit, selon Brookfield, le développement d'un champ d'éoliennes et de panneaux solaires de 10,5 gigawatts (GW) afin d'alimenter les centres de données du groupe numérique, qui vise la neutralité carbone d'ici à 2030.
En plus de cette annonce, les ministres de l’Environnement et de l’Energie des pays du G7 ont indiqué ce mardi 30 avril vouloir réduire la production mondiale de plastique.
Les ministres des pays du G7 réunis jusqu'à mardi en Italie sont proches d'un accord sur la fermeture de leurs centrales à charbon "au cours de la première moitié des années 2030", a indiqué lundi une source à l'AFP. « Au cours de la première moitié des années 2030 ou dans un calendrier compatible » Turin accueille la première grande réunion politique sur le climat depuis la COP28 en décembre à Dubaï, où le monde s'est engagé à renoncer progressivement au charbon, au gaz et au pétrole.
Les groupes locaux d’Alternatiba Paris, Lyon et Montpellier quittent leur organisation initiale pour créer Action Justice Climat. Avec pour idée de lier plus étroitement écologie, lutte sociale et combat contre l’extrême droite. C’est officiellement un divorce à l’amiable. Une scission politique qui témoigne de l’évolution du mouvement climat. Le 25 avril, Alternatiba Paris devient Action Justice Climat. Avec un acronyme, AJC, à prononcer « Agissez ! ». Un nouveau nom pour de nouvelles orientations (...)
La Banque mondiale (BM) a annoncé mercredi réviser à la hausse son programme d'électrification prévu dans plusieurs pays africains, visant désormais le raccordement électrique de 250 millions de personnes d'ici à 2030, contre 100 millions prévus initialement.
La Cour européenne des droits de l’homme vient de condamner l’État Suisse pour son inaction climatique. Elle donne raison à un groupe de dames âgées inquiètes de mourir lors de canicules de plus en plus nombreuses. "Une décision historique qui fait avancer les choses" nous explique Nadia Cornéjo, porte-parole de Greenpeace Belgique: "cela va résonner dans toutes les juridictions nationales et régionales d’Europe pour tous les contentieux climatiques où l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme sur le respect de la vie privée sera invoqué. Cela va pousser les juges à donner raison aux citoyens et aux ONG qui porteront plainte face à l’inaction de leur gouvernement en matière de climat".
Les deux pays s’engagent à collaborer étroitement afin d’évaluer les risques liés aux derniers modèles d’intelligence artificielle. Mais, à la différence de l’Union européenne et des États-Unis, le Royaume-Uni n’entend toujours pas légiférer en la matière.
Les négociations en vue d’aboutir à un texte contraignant pour éviter de répéter les erreurs de l’épidémie de Covid-19 reprendront en mai.
Le président français Emmanuel Macron a martelé mercredi au Brésil que l'accord commercial négocié entre l'Union européenne et le bloc sud-américain du Mercosur était un "très mauvais accord" et appelé à en construire "un nouveau".
L’Australie et le petit archipel du Pacifique se rapprochent d’un traité qui pourrait offrir un refuge climatique aux 11 000 habitants des Tuvalu, l’un des pays les plus vulnérables à la montée des eaux.
Au moins vingt développements de champs pétroliers et gaziers ont fait l’objet d’une décision finale d’investissement en 2023. Ils devraient déboucher sur une production de 8 milliards de barils équivalent pétrole (bep), selon l’édition annuelle du Global Oil and Gas Extraction Tracker, publiée par l’ONG étasunienne Global Energy Monitor jeudi 28 mars.
Les négociations pour mieux préparer le monde à une future pandémie entrent dans leur dernière ligne droite mais les écueils restent nombreux avant de s'assurer que la prochaine grande crise sanitaire sera combattue ensemble.
Alors qu'il s'applique déjà de façon provisoire depuis sept ans, les sénateurs français doivent se prononcer jeudi 21 mars sur une ratification définitive du Ceta, l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada. France 24 décrypte les enjeux de ce vote aux allures de test en pleine campagne pour les élections européennes et sur fond de crise agricole.
Les grandes compagnies pétrolières continuent de développer des projets difficilement compatibles avec l’accord sur le climat de Paris et aucune n’est sur la voie pour tenir la limite de 1,5°C de réchauffement fixée par la communauté internationale, selon un rapport publié mercredi par le groupe de réflexion Carbon Tracker.
Selon “Bloomberg”, les deux géants de la tech discutent “activement” de l’intégration de la suite de systèmes d’intelligence artificielle Gemini dans l’iPhone dès cette année.
L'Etat va accorder une aide de 149 millions d'euros pour financer l'installation d'un deuxième électrolyseur près du Havre afin de produire de l'hydrogène servant à décarboner l'industrie dans l'embouchure de la Seine, a annoncé le ministre de l'Industrie Roland Lescure lundi.
Il est détenu pour avoir dénoncé l'assaut de la Russie contre l'Ukraine.
Les 27 ont approuvé une sortie de l'Union européenne du TCE, le traité sur la charte de l'énergie, un texte qui menace la transition énergétique du continent.
Les ministres des pays membres de l’Union européenne ont acté ce jeudi 7 mars la sortie d’un traité jugé «incompatible avec les ambitions climatiques européennes».
La France et le Danemark ont signé lundi un accord bilatéral pour permettre à terme le transport et le stockage de CO2 issu de l'industrie française dans les sous-sols danois, a-t-on appris auprès du gouvernement français.
Dix pays ont signé une déclaration commune en faveur d’une 6G ouverte, sécurisée, interopérable et durable. Cette coopération internationale doit faire émerger des normes et spécifications communes. Déjà grandement bannie de la 5G, la Chine fait cavalier seul.
La plus haute juridiction des États-Unis a accepté de se saisir de la question de l’immunité pénale invoquée par Donald Trump pour éviter un procès sur sa tentative d’annulation des résultats de l’élection présidentielle de 2020. En fixant les débats à la fin du mois d’avril, les juges retardent un éventuel procès pénal de l’ex-président.
L'accord prévoit une aide financière et militaire.
Les États seront tenus d'élaborer d'ici 2028 des feuilles de routes détaillées pour y parvenir.
Des négociations se tiennent actuellement au Caire.
Cet outil, qui mesure la quantité de produits phytosanitaires épandus dans les champs, permet par ricochet de constater si le plan Ecophyto de réduction des pesticides suit correctement son cours. «Libé» fait le point.
La mairie de Lille a signé lundi deux conventions inédites avec les fournisseurs d'énergie Enedis et Dalkia afin de mieux concilier plantation d'arbres et réseaux souterrains, et faciliter l'adaptation de la ville face au dérèglement climatique.Selon Serge Martin, délégué territorial Enedis, la convention signée avec Enedis est "une première nationale à l'échelle d'une grande ville" Si l'expérimentation est un succès, elle sera généralisée à l'échelle de la métropole lilloise, a indiqué la mairie.
La température mondiale a été de 1,52 °C supérieure à la période 1850-1900 entre février 2023 et janvier 2024, pour la première fois. La hausse des températures doit cependant être mesurée sur une période plus longue pour être pertinente.
Les représentants des États membres de l'UE ont confirmé vendredi l'accord provisoire dégagé il y a trois semaines entre le Parlement et le Conseil révisant les objectifs en matière d'émissions de CO2 pour les nouveaux poids lourds, bus longue distance et autres véhicules utilitaires lourds, a annoncé la présidence belge du Conseil de l'UE.
L'Ukraine recevra des 27 pays membres de l'Union européenne 50 milliards d'euros, a annoncé jeudi le président du Conseil européen Charles Michel. Cette aide, 33 milliards de prêts et 17 milliards de dons, est incluse dans une rallonge au budget de l'UE jusqu'en 2027.
La remise en cause de certains accords de libre-échange de l'Union européenne figure en première ligne des revendications des syndicats agricoles français. Tous dénoncent une porte ouverte à "une concurrence déloyale", même si certains secteurs peuvent en réalité bénéficier de ces partenariats. Décryptage.
Le gouvernement fédéral n'est toujours pas parvenu à trouver un accord vendredi dans le dossier des avantages pour les voitures de société à moteur thermique, a-t-on appris de sources gouvernementales. Les écologistes francophones renâclent, se refusant à accorder un avantage à un mode de transport au détriment d'un autre.
Le chef de l'OMS est inquiet quant à l'avenir de l'accord de prévention des pandémies.
Le Premier ministre de Mongolie Luvsannamsrai Oyun-Erdene pense arriver "dans peu de temps" à un accord définitif avec le groupe français Orano en vue d'exploiter une vaste mine d'uranium dans ce pays, a-t-il indiqué dans un entretien à l'AFP à Davos.Un protocole d'accord pour ce projet d'exploitation de la mine de Zuuvch-Ovoo située dans le sud-ouest de la Mongolie avait été signé en octobre par le président français Emmanuel Macron et le président mongol Ukhnaa Khurelsukh en visite d'État en France. L'accord d'investissement était initialement attendu d'ici la fin de l'année.
Les eurodéputés ont entériné ce mercredi 17 janvier un accord visant à mieux protéger les consommateurs en interdisant les expressions vantant la vertu environnementale de produit si elles ne sont pas accompagnées de preuves détaillées.
Le déploiement de l'énergie solaire s'est accéléré en France en 2023, avec plus de trois gigawatts de capacités installées, soit 30% de plus que l'année précédente, a salué mardi le syndicat du solaire Enerplan, reprenant les chiffres de raccordement du réseau Enedis.Quelque 3.125 mégawatts (MW) de photovoltaïque, via plus de 200.000 installations, ont été raccordés l'an dernier par Enedis, qui couvre environ 95% du territoire métropolitain (d'autres opérateurs couvrant les régions de Strasbourg, Grenoble, Picardie notamment).
L’initiative « MCM Black Sea » vise à sécuriser la navigation dans les eaux de la mer Noire, dont l’exportation de céréales ukrainiennes le long des côtes roumaines et bulgares.
L'or noir est à la fois l'unique ressource à exporter et l'unique source de revenu pour financer le budget de l'État.
En offrant à l’Éthiopie un accès maritime sur son territoire, la République autoproclamée du Somaliland espère obtenir la reconnaissance officielle de son existence par son influent voisin. Un pari incertain mais audacieux pour cette région autonome, qui a déclaré son indépendance de la Somalie en 1991, mais n’est pour l’heure reconnue par aucun État.
Un accord "historique" a été signé entre le Somaliland et l'Éthiopie qui souhaite sécuriser son accès à la mer et "diversifier son accès aux ports maritimes", selon les autorités d'Addis Abeba. L'accord en question permet à l'Éthiopie d'acquérir une partie du port de Berbera (qui mène au canal de Suez), au bord de la mer Rouge.
Ce projet doit contribuer à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire pour la population gazaouie, qui fait face à un manque cruel de produits de première nécessité, et à un risque de famine.
L'Égypte a proposé un accord pour mettre un terme aux combats entre Israël et le Hamas et libérer plus d'otages, détenus par le groupe palestinien, a indiqué dimanche une télévision régionale.
EDF a confirmé pour la première fois officiellement que le raccordement du nouvel EPR de Flamanville 3 aura lieu mi-2024, sans pour autant le prendre en compte dans son estimation de production d'électricité nucléaire pour 2026 communiquée jeudi.Pour l'EPR de Flamanville 3, "le chargement du combustible est prévu en mars 2024" et "le premier couplage est prévu mi-2024", indique EDF sur sa page de messages réglementaires destinée aux acteurs du marché de l'électricité.
Quelle différence entre l'empreinte carbone et la comptabilité carbone du GIEC ? La comptabilité carbone du GIEC ne prend pas en compte les émissions importées. (émissions de consommation.) Quels arguments permettent d'affirmer que l'UE doit être neutre en carbone en 2033 ? Pour respecter les accords de Paris, on nous annonce qu'il faut être neutre en carbone en 2050, mais les émissions passées n'ont pas été prise en compte. Si on les prend en compte, il faut alors être neutre en 2033. Pourquoi le changement de comportement ne fait pas partie de la sobriété selon Saheb ? Car le changement de comportement ne se produit que grâce aux normes sociales que les politiques inventent. Si vous n'avez pas de politique de sobriété, vous n'aurez pas de normes sociales, et donc vous n'aurez pas de changement de comportement.
L’accord conclu mercredi entre le Parlement européen et les États membres sur une vaste réforme de la politique d’asile et de migration de l’UE suscite des réactions diverses chez les eurodéputés belges.
La COP 28 a récemment suscité l'inquiétude, mais a tout de même débouché sur un accord historique, malgré certaines zones d'ombre.
C’est un accord historique ! Voilà ce que l’on a pu lire ou entendre à la fin de la COP28 à Dubaï, reprenant ainsi les mots de son président Sultan Al-Jaber. Pourtant, comme souvent, la réalité est plus complexe. Il y a bien quelque chose d’inédit puisque c’est la toute première fois en 30 ans que le texte final d’une conférence internationale sur le climat appelle à une transition hors des énergies fossiles. Et c’est un signal très fort. Mais l’accord ne parle pas de sortie des énergies fossiles, le fameux “phase out”, demandé en vain par les activistes et une centaine d’États jusqu’aux dernières heures des négociations. Selon l’avis de nombreuses ONGs et scientifiques, l’accord est encourageant mais reste bien en dessous de ce qu’il faudrait pour préserver l’habitabilité de notre planète. Il présente de nombreuses limites, notamment le manque de moyens accordés aux pays les plus vulnérables pour faire face aux effets du dérèglement climatique et opérer leur transition mais aussi des paris technologiques ris
Un accord mentionnant la « transition hors des énergies fossiles » a été adopté à la COP28. Mais il n’inquiète guère les producteurs de pétrole, dont l’activité ne va pas être affectée à court terme.
Alors que l'accord conclu lors de la COP28 vise à abandonner progressivement les énergies fossiles, des experts pointent du doigt la faiblesse des mesures du texte.
Les occasions de se réjouir sont rares. Alors, ne boudons pas celle-ci. Hier, après deux semaines de réunions et une dernière nuit d’intenses négociations, près de 200 pays se sont mis d’accord sur un texte appelant à “transitionner hors des énergies fossiles”. C’est la toute première fois, dans le cadre du processus des Nations unies sur les changements climatiques, que les États reconnaissent collectivement la nécessité de renoncer au pétrole, au gaz et au charbon, dont la combustion représente l’une des principales sources d’émissions de gaz à effet de serre.
L'UE a conclu jeudi un accord pour réformer son marché de l'électricité, notamment afin de favoriser l'investissement dans les énergies décarbonées - y compris l'atome -, à la suite d'âpres débats sur l'encadrement du soutien public aux centrales nucléaires existantes.
A rebours de l'ovation suscitée à Dubaï, l'accord de compromis auquel est parvenue la COP28 reçoit un accueil très réservé dans certains pays d'Asie et d'Océanie parmi les plus vulnérables au changement climatique.L'accord, adopté mercredi par consensus et qualifié d'"étape historique" par le président américain Joe Biden, ouvre la voie à l'abandon progressif des combustibles fossiles, principaux responsables du réchauffement.
Ce 14 décembre, le Conseil, le Parlement et la Commission européens sont parvenus à un accord politique sur la directive relative au devoir de (...)
C'est un "des piliers de la création d'un système économique plus responsable", selon l'eurodéputé Pascal Canfin. Ce 14 décembre, un accord a été trouvé sur les contours du devoir de vigilance européen. Ce dernier obligera les grandes entreprises à recenser et prévenir les violations des droits humains et dommages environnementaux sur l'ensemble de leur chaîne de valeur sous peine d'une sanction financière de 5% de leur chiffre d'affaires. Un accord ambitieux qui comporte toutefois une zone d'ombre : le secteur financier en est exclu.
La présidence émiratie de la COP28 a présenté mercredi un nouveau projet d'accord qui devra être approuvé par près de 200 pays par consensus. Le texte appelle à "transitionner hors des énergies fossiles", "en accélérant l'action dans cette décennie cruciale" dans le but d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Cependant, il ne parle plus de "sortie" du pétrole, du gaz et du charbon, comme le réclamaient plus d'une centaine de pays.
Les pays du monde entier ont approuvé mercredi par consensus à la COP28 à Dubaï une décision appelant à une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles, pour la première fois dans l'histoire des conférences sur le climat de l'ONU. Dès l'ouverture de la séance plénière de clôture, les délégués ont adopté la décision préparée par les Émirats arabes unis, déclenchant une ovation debout et un tonnerre d'applaudissements des délégués. Il s'agit d'une décision "historique pour accélérer l'action climatique", a déclaré Sultan Al Jaber, président de la conférence de l'ONU et patron de la compagnie pétrolière émiratie, Adnoc.
L'accord a été validé en kern cette nuit, a confirmé David Clarinval au micro de LN24 ce mercredi matin.
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant notamment pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France et les Pays-Bas, les pays arabes et dans une moindre mesure l'Australie.L'ONU et les Samoa, qui s'exprimait au nom des petites îles, ont été plus mesurées, appelant à aller plus loin dans la transition énergétique.
Après deux semaines de pourparlers et une dernière nuit d’intenses négociations, les délégations de tous les pays du monde réunies à Dubaï se sont mises d’accord mercredi 13 décembre sur un texte appelant à “transitionner hors des énergies fossiles”. Une première.
Après les longues heures de négociations, place au casse-tête lié à la traduction de cette formulation clé de l’accord final.
Un accord a finalement été trouvé ce mercredi 13 décembre à la COP28 de Dubaï. Celui-ci vise à "abandonner progressivement les énergies fossiles", une première dans l'histoire des COP. Reste de nombreuses failles qu'il faudra combler.
La COP28 a évité l’échec, au terme d’une nuit blanche de négociation. L’accord mentionne la « transition hors des énergies fossiles ». Mais sans date ni obligation.
COP de fin. À Dubaï, pour la première fois de l’histoire, un texte de conférence mondiale sur le climat pointe clairement du doigt les énergies fossiles. Mais en laissant la porte ouverte à des technologies hasardeuses et faute de financements suffisants pour les pays du Sud, la COP28 aura encore ménagé les principaux contributeurs à la crise climatique : les pays occidentaux et leurs fournisseurs de charbon, de gaz et de pétrole.
Après trois décennies de tergiversations autour de la cause principale du réchauffement climatique, les négociations de l'ONU sur le climat, réunis à la COP28 de Dubaï, ont appelé le monde à "effectuer une transition hors" (transitioning away en anglais) des énergies fossiles.
Le groupe pétro-gazier TotalEnergies a salué mercredi l'accord trouvé à Dubaï à la COP28 qui trace la voie de l'abandon progressif des énergies fossiles, estimant qu'il conforte sa "stratégie de transition", a commenté le groupe auprès de l'AFP."TotalEnergies salue l'accord trouvé à Dubaï qui appelle à la +transition dans les systèmes énergétiques+ d'une manière +juste, ordonnée et équitable+", a indiqué le groupe en reprenant les termes pesés du texte de 21 pages approuvé mercredi par consensus.
Près de 200 pays sont parvenus à un consensus, mercredi, à la COP28, sur un texte final qui appelle à une "transition hors des énergies fossiles" pour lutter contre le réchauffement climatique. Un accord immédiatement salué par la communauté internationale, malgré "des lacunes".
Les pays du monde entier ont approuvé, ce mercredi 13 décembre lors de la COP28 de Dubaï, un accord mentionnant une «transition hors des énergies fossiles». Mais l’analyse du texte est très hétérogène en fonction des pays.
En première ligne contre le changement climatique, les représentants des îles pays n’étaient pas présentes lors de l’adoption du texte final voté au sommet onusien, qu’ils jugent insuffisant.
Suffisamment ambigu pour satisfaire tout le monde, l’accord adopté mercredi à Dubaï sur la «transition hors des énergies fossiles» est le résultat de la diplomatie hors pair du président émirati de la COP 28. En réalité, tout reste à faire.
Le groupe français Engie a confirmé mercredi son engagement à prolonger de dix ans, jusqu'en 2036, l'activité de deux réacteurs nucléaires en Belgique, dans le cadre d'une coentreprise à parts égales avec l'État belge, une configuration inédite. Un accord définitif a été signé, qui prévoit de "mettre en oeuvre les meilleurs efforts pour redémarrer les unités de Doel 4 et Tihange 3 dès novembre 2025", a déclaré Thierry Saegeman, patron d'Engie Belgique, lors d'une conférence de presse avec le Premier ministre belge Alexander De Croo.
Le projet de barrage hydroélectrique de Mphanda Nkuwa sur le Zambèze au Mozambique a franchi une nouvelle étape avec la signature annoncée mercredi d'accords entre le gouvernement mozambicain et le consortium choisi pour le projet, qui associe les groupes français EDF, TotalEnergies et japonais Sumitomo.Cette centrale au fil de l'eau, d'une capacité projetée de 1.500 MW, doit être implantée à environ 60 kilomètres de la ville de Tete (nord-ouest du Mozambique).
Après près de trois décennies de tergiversations autour de la cause principale du réchauffement climatique, les négociations de l'ONU sur le climat, à la COP28 de Dubaï, ont appelé le monde à "effectuer une transition hors" (transitioning away en anglais) des énergies fossiles.
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, les principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France, la Russie, l'Espagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, les pays arabes, l'Afrique du Sud et dans une moindre mesure l'Australie.
Clément Sénéchal, expert des enjeux climatiques et ancien porte-parole chez Greenpeace, fustige le manque d’ambition des résultats de l’accord de la COP 28 à Dubaï.
Après une nuit blanche et quelques heures de prolongation, les Parties sont finalement parvenues à un accord de compromis à Dubaï. Le texte d'accord prévoit une transition hors des énergies fossiles pour atteindre la neutralité carbone en 2050.
Israël et les États-Unis sont en désaccord concernant l'avenir de la bande de Gaza après la guerre en cours, a confié mardi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Malgré les appels de l’ONU, le compromis proposé lundi par la présidence émiratie ne mentionne que « la réduction de la consommation et de la production des énergies fossiles », au grand dam de nombreux défenseurs du climat.
Un pyromane n’acceptera jamais qu’on réduise progressivement son stock d’allumettes pourtant il faut le contraindre. Résumé d’une tempête qui a lieu en ce moment à la COP28 à Dubaï. Alors, voici la scène : la COP28, en pleine effervescence à Dubaï, entre dans son sprint final. Imaginez une course où au lieu de coureurs, on …
Jean-Marc Jancovici revient sur l'importance de la préservation de la biodiversité sur l'antenne de RTL.
La ministre de la transition énergétique française, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite « stupéfaite » et « en colère », tandis que son homologue espagnole a dénoncé une « position répugnante ».
L'Union européenne s'est accordée, vendredi 8 décembre, sur une législation inédite au niveau mondial pour réguler l'intelligence artificielle (IA), après trois jours de négociations intenses entre les États membres et le Parlement européen. Les colégislateurs de l'UE ont trouvé un "accord politique" sur un texte qui doit favoriser l'innovation en Europe, tout en limitant les possibles dérives de ces technologies très avancées. "Historique ! L'UE devient le premier continent à fixer des règles claires pour l'utilisation de l'IA", s'est félicité le commissaire européen Thierry Breton, à l'origine du projet présenté en avril 2021.
Le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a demandé "en urgence" à ses 23 pays membres ou associés de "rejeter proactivement" tout accord ciblant les énergies fossiles dans les négociations climatiques à la COP28 de Dubaï, dans un courrier consulté vendredi par l'AFP.
Le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a demandé "en urgence" à ses 23 pays membres ou associés de "rejeter proactivement" tout accord ciblant les énergies fossiles dans les négociations climatiques à la COP28 de Dubaï, selon son courrier consulté vendredi par l'AFP.
À la COP28, les négociations se poursuivent pour adopter une sortie ou une réduction des énergies fossiles. Les Émirats arabes unis, hôtes de la COP28, et les pays pétroliers défendent une version qui mise sur le captage et stockage de CO2 (CCS). Une technologie qui permet de capter le CO2 émis par une centrale à charbon ou une usine. Promise depuis quarante ans, elle peine toutefois à faire ses preuves. Qui plus est, elle s'avérerait bien plus coûteuse qu'un scénario basé sur les énergies renouvelables.
D'après une étude du Global Carbon Budget publiée mardi, l’action mondiale visant à réduire les combustibles fossiles n’est pas assez rapide pour empêcher un changement climatique dangereux.
Ce qui ne devait être qu'une simple formalité en ce premier jour de COP28 s'est transformé en signal fort. Ajoutée à la dernière minute à l'ordre du jour de la session plénière, la concrétisation du fonds sur les pertes et dommages a été adopté par les États. Ce fonds qui doit aider les pays les plus vulnérables à affronter les dégâts irréversibles du changement climatique doit être opérationnel dans l'année à venir. Une victoire pour les pays du Sud qui le réclamaient depuis trente ans.
Le PDG de TotalEnergies a signé lundi, à l'occasion de la COP28 à Dubaï, un accord d'investissement avec le Kazakhstan portant sur un projet géant éolien qui permettra d'alimenter en électricité un million d'habitants de ce pays. Ce contrat d'investissement d'1,4 milliard de dollars a été signé par le patron de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, et le ministre de l'Energie du Kazakhstan, Almassadam Satkaliev, en présence du président de ce pays, Kassym-Jomart Tokaïev.
Le dossier sur la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires en Belgique connaît un nouveau rebondissement.
Alors que plusieurs pays et ONG plaident pour que la fin de tous les combustibles fossiles soit inscrite dans l’accord final, les pays pétroliers misent sur les solutions de captage et de stockage de CO₂.
Ce vendredi, Marek Hudon co-président du Haut Comité pour une Transition Juste, était l’invité de Maxime Binet dans l’émission “Café sans filtre” sur LN24 et LN Radio. Marek Hudon a été interrogé sur la transition écologique des entreprises, mais aussi sur la COP28 à Dubaï, enjeu majeur pour le futur du climat.
Le monde doit réduire voire sortir des énergies fossiles, propose une première version publiée vendredi d'un projet d'accord qui va maintenant être débattu puis adopté par les négociateurs de près de 200 pays pendant la COP28 de Dubaï.Les pays doivent préparer une "réduction/sortie des énergies fossiles", selon les termes de ce document préparé par le Royaume-Uni et Singapour, qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici la fin de la COP, prévue officiellement le 12 décembre.
Les infos qu’il ne fallait pas louper ce vendredi 1er décembre, alors que les dirigeants des pays ont pris la parole chacun leur tour à la tribune du sommet et que plusieurs sujets majeurs ont été mis sur la table.
La 28e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte jeudi à Dubaï sur des appels à inclure les énergies fossiles, responsables du réchauffement planétaire, dans tout accord final, mais à des degrés divers par le président émirati et le chef de l'ONU Climat.Sultan Al Jaber, président de la COP28, a demandé aux délégués réunis lors d'une cérémonie d'ouverture de n'omettre "aucun sujet" dans les textes que négocieront pendant deux semaines les délégués de près de 200 pays.
EDF a annoncé mardi la signature de plusieurs accords de coopération industrielle dans le nucléaire avec des partenaires au Canada, en Inde et en République tchèque, autant de pays où le groupe français ambitionne de vendre des réacteurs.Ces signatures sont intervenues à l'occasion du salon du nucléaire civil, le World Nuclear Exhibition (WNE), organisé tous les deux ans près de Paris.
Parmi les 17 otages libérés samedi soir par le Hamas, 13 sont Israéliens.
Un accord sur la libération d’otages retenus dans la bande de Gaza en échange de celle de Palestiniens détenus dans des prisons israéliennes, ainsi que sur une trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, doit entrer en vigueur vendredi.
La Coalition Climat, représentant le secteur associatif environnemental, a salué le premier accord trouvé mercredi au Comité de concertation (Codeco) sur le Plan National Énergie Climat (PNEC). Elle souligne cependant qu’un “réel plan national coordonné” fait encore défaut. La mouture actuelle “ne respecte pas les objectifs fixés par l’Union européenne”, soutient la Coalition dans un communiqué envoyé jeudi.
Le gouvernement israélien a donné son feu vert mercredi à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza, premier signe tangible de répit après des semaines de guerre.
Le gouvernement israélien a approuvé tard mardi 21 novembre la signature d’un accord permettant la libération de 50 otages détenus depuis le 7 octobre au échange de quatre jours de cessez-le-feu et de 150 prisonniers palestiniens.
Benyamin Nétanyahou a annoncé la signature d’un accord avec le Hamas en vue de la libération de plusieurs otages israéliens. De nombreux chefs d’Etat internationaux ont félicité cet accord, tout en appelant à accélérer le processus de paix.
Parvenir à un accord final lors de la COP28 sera "une tâche ardue", a déclaré mardi le commissaire européen chargé du Climat, Wopke Hoekstra.
Un accord a été trouvé mercredi au Comité de concertation (Codeco) sur le Plan National Énergie Climat (PNEC), annonce en soirée le cabinet du ministre bruxellois de l'Environnement, Alain Maron, actuel président de la Commission nationale climat (CNC).
Le Parlement européen a voté ce mardi 21 novembre des nouvelles mesures de réduction drastique des émissions de CO2 émises par les nouveaux véhicules lourds, y compris les autobus, les camions et les remorques.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré mardi à son gouvernement que l'accord en cours de négociation avec le Hamas palestinien sur les otages retenus à Gaza depuis le 7 octobre était "la bonne décision" à prendre.
Un accord entre Israël et le Hamas semblait imminent ce mardi au soir. Des otages israéliens pourraient être libérés lors d’une trêve qui durerait quatre ou cinq jours, en échange de la libération de prisonniers palestiniens.
À Nairobi au Kenya, pays pétroliers et lobby de la pétrochimie ont entravé tout compromis pour un texte à la hauteur de la crise du plastique. Les ONG disent leur colère et leur déception.
D'après le Washington Post, les États-Unis, en tant que médiateurs du conflit, seraient parvenus à faire conclure un accord aux deux parties. La télévision israélienne parle elle aussi d'un accord, concernant les otages.
Le Parlement européen et les Etats membres sont parvenus jeudi à un accord sur un texte qui allonge la liste des crimes...
La Jordanie a averti jeudi qu'elle ne signerait pas un accord prévu avec Israël sur un échange d'énergie solaire contre de l'eau, en raison de la guerre dans la bande de Gaza, selon son ministre des Affaires étrangères, Ayman Safadi.
L'UE a trouvé mercredi un accord pour durcir les règles sur les rejets de méthane des puits d'hydrocarbures et mines de charbon, afin de réduire de 30% d'ici 2030 les émissions européennes de ce puissant gaz à effet de serre.
L’activité humaine contemporaine émet dans l’atmosphère des gaz à effet de serre en telle quantité que le climat en est modifié. L’humanité doit - nous devons - réduire drastiquement les émissions dès à présent afin de maintenir des conditions favorables à la vie sur Terre. La dépendance de toute notre économie aux énergies fossiles est la principale cause de ces émissions. Pour réaliser des actes aussi fondamentaux que manger, se loger, se vêtir, se déplacer, nous brûlons généralement des combustibles fossiles. Se déplacer en avion est aujourd’hui un moyen très efficace de rejoindre le lointain : ce mode de transport permet un élargissement des horizons. C’est en revanche aussi une des manières les plus efficaces d’émettre une quantité importante de gaz à effet de serre dans un temps court1 . L’usage de l’avion de manière régulière est par ailleurs réservé à une faible part de la population mondiale. Même au sein d’un pays occidental comme la France, la « démocratisation » annoncée n’a pas vraiment eu lieu2
L’exploitant français devrait pouvoir revendre 70 euros le MWh produit par ses réacteurs nucléaires. Mieux que le prix actuel (42 euros) mais loin de ce qu’espérait l’électricien (100 euros).
Le Parlement européen et les Etats membres se sont entendus jeudi 9 novembre au soir sur une proposition de texte moins ambitieuse que la version initiale de la Commission mais qui concernera bien tous les écosystèmes.
QatarEnergy a annoncé samedi la signature d'un nouveau contrat de fourniture de gaz naturel liquéfié (GNL) avec Sinopec, le deuxième d'une durée de 27 ans avec la compagnie chinoise.L'accord porte sur la livraison de trois millions de tonnes de GNL par an à Sinopec, qui a également été associée à la deuxième phase du projet de développement du plus champ gazier au monde, a indiqué la compagnie nationale du Qatar dans un communiqué.
La concrétisation d'un fonds pour compenser les dégâts climatiques, revendication incontournable des pays en développement, s'impose à Abou Dhabi comme la question la plus urgente à résoudre d'ici la COP28, avant l'âpre débat attendu sur la fin des énergies fossiles.Dans les couloirs feutrés de l'Emirates Palace, fastueux complexe hôtelier en bord de mer, quelque 70 ministres sont réunis jusqu'à mardi soir pour un savant ballet diplomatique à huis clos.
La concrétisation d'un fonds pour compenser les dégâts climatiques, revendication incontournable des pays en développement, s'est imposée mardi à Abou Dhabi comme la question la plus urgente à résoudre d'ici la COP28, avant l'âpre débat attendu sur la fin des énergies fossiles.
La COP28 s'ouvre dans exactement un mois aux Émirats arabes unis. Huit ans après l'adoption de l'Accord de Paris, l'heure est au bilan. Si l'on sait que le monde est toujours sur la mauvaise trajectoire, les États devront être à la hauteur et accroître leurs ambitions pour rectifier le tir. C'est l'un des principaux objectifs du sommet qui se tiendra à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
Combien de CO2 l'humanité peut-elle encore émettre si elle veut tenir les objectifs de l'accord de Paris? Une nouvelle étude montre qu'il reste sans doute moins de temps que prévu pour limiter les émissions et le réchauffement, tout en soulignant les incertitudes entourant cette question.
Le Qatar a signé un accord d'approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL) d'une durée de 27 ans avec l'italien Eni, a annoncé lundi QatarEnergy. "Des filiales de QatarEnergy et d'Eni ont signé un accord de vente et d'achat permettant de fournir jusqu'à un million de tonnes par an de GNL" à l'Italie, a affirmé le géant gazier de l'émirat du Golfe dans un communiqué, en précisant que les livraisons débuteront en 2026 pour une durée de 27 ans.
Pays du Nord et du Sud peinent toujours à se mettre d'accord sur les modalités d'établissement d'un fonds pour les "pertes et dommages" climatiques, à quelques semaine de la COP28, dont le président a estimé vendredi qu'une absence de progrès sur cette question ne serait "pas acceptable".Un accord de principe avait été trouvé l'an dernier à la COP27 en Egypte sur la création d'un fonds pour compenser les "pertes et dommages" des nations du Sud vulnérables face au changement climatique.
Des manifestants perturbaient mardi le premier jour d'un évènement rassemblant à Londres de hauts dirigeants de l'industrie pétro-gazière, la militante écologiste Greta Thunberg dénonçant les accords à "portes closes" entre le secteur et les responsables politiques.
Israël poursuit dimanche ses préparatifs en vue d’une offensive terrestre dans le nord de la bande de Gaza, territoire palestinien assiégé qu’elle bombarde sans relâche depuis l’attaque sans précédent lancée le 7 octobre par le Hamas sur son sol.
Moscou cherche à renforcer ses liens diplomatiques et sécuritaires avec l’Afrique depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, faisant concurrence, dans certains pays à la France.
Les Vingt-Sept ont échoué à s’entendre sur la proposition de la Commission de reconduire pour dix ans l’autorisation du glyphosate, la France s’étant notamment abstenue.
Le Qatar et la compagnie française TotalEnergies ont signé deux accords d'approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL) d'une durée de 27 ans, a annoncé mercredi QatarEnergy.
Les températures mondiales continuent d'écraser les records: après un été inédit et un mois de septembre plus surprenant encore, 2023 est désormais l'année la plus chaude jamais mesurée sur les neuf premiers mois, s'approchant d'une anomalie de 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle.
Dix-sept pays de l'Union européenne ont des ambitions en termes d'installations d'énergie éolienne bien en deçà des objectifs de l'accord de Paris, a indiqué jeudi l'organisation environnementale WWF dans son dernier rapport sur l'énergie éolienne au sein de l'UE. La Belgique, pour sa part, dévoile des ambitions plus élevées que la trajectoire prévue dans l'accord de Paris.
Les températures mondiales continuent d'écraser les records : après un été inédit et un mois de septembre plus surprenant encore, 2023 est désormais l'année la plus chaude jamais mesurée sur les neuf premiers mois, s'approchant d'une anomalie de 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle.
Les Etats membres de l’UE et les eurodéputés ont annoncé ce jeudi 5 octobre un accord pour accélérer la réduction de ces gaz climaticides utilisés dans les climatiseurs et les pompes à chaleur, en vue de leur disparition d’ici à 2050.
A huit semaines de la COP28 sur le climat à Dubaï, les pays du monde ont encore des "vues divergentes" sur les moyens d'atteindre les objectifs de l'accord de Paris de 2015, même s'ils s'accordent sur la nécessité de faire plus, constate l'ONU mercredi.
La COP29 sur le climat, qui doit théoriquement se tenir l'an prochain dans un pays d'Europe de l'Est, aura lieu en Allemagne si ces derniers ne parviennent pas à se mettre d'accord, a souligné lundi l'ONU-Climat.
Cette feuille de route appelle « à la prévention du commerce illégal et du trafic de produits chimiques et des déchets, à la mise en œuvre de cadres légaux nationaux et à la sortie d’ici 2035 des pesticides hautement dangereux dans l’agriculture ».
La France a signé mercredi deux accords bilatéraux avec le Canada et l'Australie pour "sécuriser" ses approvisionnements en métaux critiques, indispensables pour la transition énergétique et la réduction de ses émissions de CO2, a annoncé le ministère français de la Transition énergétique.Ces deux accords "visent à développer les filières des minéraux critiques y compris des projets d'extraction, de traitement et de recyclage et à favoriser les coopérations", a indiqué le ministère dans un communiqué.
Eurodéputés et Etats membres ont décidé dans la nuit de mardi à mercredi 20 septembre de bannir les affirmations environnementales «génériques», vagues et trompeuses des produits de consommation. Le texte doit encore être validé.
Plus de 300 scientifiques, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel, signent une tribune pour rappeler que continuer d’investir dans les énergies fossiles nous empêchera d’atteindre les objectifs fixés par l’accord de Paris d’un réchauffement de 1,5 °C ou de 2 °C.
Le gouvernement rwandais a signé mardi un accord avec une start-up germano-canadienne pour construire un réacteur nucléaire civil "expérimental", afin de réduire sa dépendance aux énergies fossiles. Le réacteur sera prêt à être testé en 2026, selon la start-up qui va le construire, Dual Fluid Energy.
Le G20 de Delhi était le premier grand rendez-vous en amont de la COP28, et il se solde par un échec. Pourtant, l'occasion était belle de se saisir du premier bilan de l'action climatique, publiée la veille de l'ouverture du sommet, et ainsi donner l'élan tant attendu pour une action climatique d'envergure. Au lieu de cela, les lignes de fracture entre les pays ne font que s'amplifier, signant un recul inquiétant.
C’est ONUbilan. L’ONU a publié vendredi son évaluation de huit années de lutte contre le réchauffement climatique, depuis l’adoption de l’Accord de Paris en 2015. Ce compte rendu cinglant, largement inspiré des conclusions du Giec, servira de base à la 28ème conférence mondiale (COP28) sur le climat à Dubaï en novembre.
Signé en 2015, l’accord de Paris prévoyait un ensemble d’objectifs climatiques, dont le plus ambitieux était de limiter le réchauffement à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle
Profondément divisé sur le pétrole, le G20 a échoué à appeler à une sortie des énergies fossiles samedi, mais soutient pour la première fois un triplement des renouvelables d'ici 2030: une "lueur d'espoir" pour les uns, un "strict minimum" pour les autres à trois mois de la COP28.
Un premier bilan de la mise en œuvre de l'accord de Paris de 2015, publié vendredi par l'ONU à 83 jours de la COP28, avertit le monde qu'il "n'est pas sur la trajectoire pour atteindre les objectifs de long terme" du texte. Selon ce document, il faut faire "beaucoup plus, maintenant, sur tous les fronts" en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
Profondément divisé sur le pétrole, le G20 a échoué à appeler à une sortie des énergies fossiles samedi, mais soutient pour la première fois un triplement des renouvelables d'ici 2030: une "lueur d'espoir" pour les uns, un "strict minimum" pour les autres à trois mois de la COP28.
Les pays du monde entier doivent faire "beaucoup plus, maintenant, sur tous les fronts" en matière de lutte contre le changement climatique, selon un premier bilan de la mise en oeuvre de l'accord de Paris de 2015, publié vendredi par l'ONU à 83 jours de la COP28.
Le monde doit sortir des énergies fossiles polluantes, atteindre le pic de ses émissions de CO2 d'ici 2025 et faire "beaucoup plus, maintenant, sur tous les fronts" pour affronter la crise climatique, selon un rapport sous l'égide de l'ONU Climat qui sera au coeur de la COP28 de Dubaï dans trois mois.
Le «Global Stocktake», premier point d’étape des engagements pris par les Etats dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat en 2015, est publié ce vendredi 8 septembre.
Malgré leurs engagements climat, les pays du G20 ont accordé environ 1 400 milliards de dollars de financements publics aux combustibles fossiles, l’an passé. La faute à la crise de l’énergie ? Pas que, puisqu’un tiers est allé soutenir la production.
f global warming reaches or exceeds two degrees Celsius by 2100, University of Western Ontario's Joshua Pearce says it is likely that mainly richer humans will be responsible for the death of roughly one billion mainly poorer humans over the next century. The oil and gas industry, which includes many of the most profitable and powerful businesses in the world, is directly and indirectly responsible for more than 40% of carbon emissions—impacting the lives of billions of people, many living in the world's most remote and low-resourced communities. A new study proposes aggressive energy policies that would enable immediate and substantive decreases to carbon emissions and recommends a heightened level of government, corporate and citizen action to accelerate the decarbonization of the global economy, aiming to minimize the number of projected human deaths.
Les ministres de l'Environnement du G20 sont mis au défi de parvenir vendredi à Madras en Inde à des accords pour faire face au changement climatique, après l'échec des ministres de l'Energie à s'entendre sur un calendrier de réduction du recours aux énergies fossiles.
Les ministres de l’Environnement du G20 ont échoué vendredi à trouver un accord sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour faire face au changement climatique, une semaine après l’échec sur les énergies fossiles.
Les ministres de l'Environnement du G20 ont échoué vendredi à trouver un accord sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour faire face au changement climatique, une semaine après l'échec sur les énergies fossiles."Nous n'avons pas pu atteindre un accord sur un plafonnement des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2025", a déclaré à l'AFP le ministre français de la Transition écologique Christophe Béchu, avant d'ajouter: "Je suis très décu".Les discussions avec la Chine, l'Arabie saoudite, et la Russie ont été "compliquées", a-t-il précisé.
Les patrons de l'ONU Climat et de la COP28 ont appelé jeudi le G20 à donner un "signal clair" pour "accélérer la décarbonation" de l'économie mondiale, dans une rare déclaration commune.Celle-ci a été publiée à la veille du sommet des ministres de l'Environnement du G20 en Inde.Une semaine plus tôt, les ministres de l'Energie du G20, réunis en Inde le 22 juillet, s'étaient quittés sans parvenir à un accord sur un calendrier de réduction des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon).
Les ministres de l'Energie des pays du G20, réunis en Inde samedi, n'ont pas réussi à s'accorder sur un calendrier permettant de réduire progressivement le recours aux énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon).Leur déclaration finale publiée à la fin de la rencontre à Goa ne mentionne même pas le charbon, pourtant l'un des gros contributeurs au réchauffement climatique.Mais le charbon est aussi l'une des principales sources d'énergie de beaucoup d'économies en développement dont l'Inde, pays le plus peuplé au monde, ou la Chine, deuxième économie mondiale.
Le charbon est l’une des principales sources d’énergie de beaucoup d’économies en développement dont l’Inde, le pays le plus peuplé au monde, ou la Chine, la deuxième économie mondiale.
Un an après son entrée en vigueur, cet accord crucial pour la sécurité alimentaire mondiale n’a pas été renouvelé. La décision de Moscou va obliger l’Ukraine à trouver des solutions alternatives pour exporter son blé et autres céréales.
Le projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, aux nombreux effets néfastes sur l’environnement, pourrait être accéléré en marge d’un sommet en Belgique, les 17 et 18 juillet.
L'Irak a signé lundi avec TotalEnergies les accords d'un mégaprojet de dix milliards de dollars visant notamment à exploiter le gaz torché sur des champs pétroliers du sud et à produire de l'énergie solaire, pour pallier aux manquements d'un réseau électrique défaillant. Après les tensions et de longues négociations ayant accompagné ce mégaprojet dévoilé en 2021, le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné et le ministre irakien du Pétrole Hayan Abdel-Ghani ont paraphé l'accord lors d'une cérémonie organisée au ministère du Pétrole à Bagdad.
Touché-coulé ! À quelques mois de la COP28 sur le climat, les pays membres de l'Organisation maritime internationale (OMI) ont échoué vendredi 7 juillet à s'entendre sur un accord suffisamment ambitieux pour respecter le scénario 1,5°C. Une nouvelle occasion manquée alors que la fenêtre de tir pour agir avant 2030 se referme.
Un accord pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du fret maritime, secteur très polluant, a été conclu par les pays membres de l'Organisation maritime internationale (OMI), mais il est jugé décevant par les écologistes.
Après plusieurs mois de négociation, le gouvernement fédéral et Engie sont parvenus à un accord sur le nucléaire. La prolongation de deux réacteurs, Doel 4 et Tihange 3, pour dix ans est actée. Les conditions en sont fixées.
Dans une réaction commune, Greenpeace, Canopea et Bond Beter Leefmilieu qualifient l'accord signé par Engie et le gouvernement fédéral, pour prolonger de 10 ans les réacteurs nucléaires de Tihange 3 et Doel 4, de déséquilibré.
Une issue semble avoir été trouvée sur l’épineux dossier du nucléaire belge.
Alors que l’UE encourage les États membres à ratifier une nouvelle série d’accords de commerce, notamment à l’occasion du sommet UE-CELAC de mi juillet 2023, l’Institut Veblen examine dans cette note le degré d’alignement de ces accords avec les engagements internationaux en matière de lutte contre le changement climatique et de protection de l’environnement. L’Institut formule plusieurs propositions concrètes pour avancer dans ce domaine.
Les ministres de l'Environnement des 27 États membres de l'UE ont trouvé mardi à Luxembourg une approche commune.
Un projet européen de régulation de l'intelligence artificielle (IA) a été adopté mercredi par les eurodéputés. Cet accord ouvre la voie à une négociation avec les États membres pour finaliser ce texte qui doit limiter les risques des systèmes de type ChatGPT.
Avec le Mercosur, l’Europe va « puiser dans les pays du Sud les matières premières nécessaires pour maintenir quoi qu’il en coûte nos modes de vie », résume l’économiste Maxime Combes dans cette tribune.
Les représentants de près de 200 pays sont réunis jusqu'au 15 juin à Bonn, en Allemagne, pour préparer la COP28. La prochaine conférence mondiale sur le climat, qui se tiendra à Dubaï en décembre, est particulièrement attendue car elle doit dresser le premier bilan mondial de l’action climatique, tel que prévu dans l’Accord de Paris. Où en sont les pays à quelques mois de l'échéance ?
Après des claquements de portes et d’interminables palabres, les gouvernements belges semblent sur le point de trouver un accord à propos du règlement européen sur la restauration de la nature.
Après plusieurs années de négociations, le Parlement européen et les Etats membres ont finalement trouvé un compromis ce mercredi 31 mai pour mieux réguler la pêche dans les eaux de l’UE.
Trois États de l’Ouest américain, l’Arizona, la Californie et le Nevada, ont accepté de réduire leur consommation d’eau en provenance du fleuve de 13 %.
La fédération d’associations environnementales Canopea et l’organisme Dryade ont introduit mardi un recours en annulation auprès du Conseil d’État concernant le renouvellement du permis unique accordé par le gouvernement wallon à l’aéroport de Liège.
La compagnie gazière émiratie ADNOC Gas a annoncé lundi un accord d'au moins un milliard de dollars avec le français TotalEnergies pour l'approvisionner en gaz naturel liquéfié, les pays européens cherchant à diversifier leurs fournisseurs afin de se passer de la Russie.Cet accord, valable pour trois ans, pèse entre 1 et 1,2 milliard de dollars (entre 900 millions et 1 milliard d'euros), a affirmé dans un communiqué ADNOC Gas, filiale du géant pétrolier émirati Abu Dhabi National Oil Company (ADNOC).
Besoin en investissement, en travailleurs, conséquences sur la croissance et l’inflation : une équipe pluridisciplinaire a modélisé les conséquences sur l’économie réelle de la transition énergétique.
Eurodéputés et Etats membres de l'UE se sont mis d'accord dans la nuit de mardi à mercredi pour réduire les émissions polluantes du transport aérien en imposant un taux minimum de carburants "verts" pour les avions au départ du continent.Le texte, volet de l'ambitieux plan climat européen, prévoit que les carburants disponibles dans les aéroports de l'UE compteront en 2025 dans leur composition au moins 2% de "carburants aériens durables" (SAF), puis 6% en 2030, avec une augmentation progressive jusqu'à 70% d'ici 2050, précise un communiqué du Parlement européen.
Le 11 janvier, sur ordre du procureur général salvadorien, la police a arrêté cinq éminents Défenseurs de l'Eau : Antonio Pacheco, Saúl Agustín Rivas Ortega, Miguel Ángel Gámez, Alejandro Laínez García et Pedro Antonio Rivas Laínez. Ils font partie des leaders de la campagne historique qui a conduit à l'interdiction de l'exploitation minière au Salvador en 2017 au nom de la protection de l'eau. Le 20 janvier, une première déclaration internationale demandait au gouvernement salvadorien d'abandonner les charges retenues et de les libérer de prison, dans l'attente de leur procès. Avec des dizaines d'autres organisations internationales, SystExt a apporté son soutien à une nouvelle déclaration demandant au gouvernement canadien et à l'ambassade du Canada au Salvador de tout mettre en œuvre pour que soit honorés les Accord de paix du Salvador de 1992 et pour obtenir la libération des Défenseurs de l'Eau de Santa Marta.
L’ONG Reclaim Finance a passé au crible les engagements des neuf principales entreprises européennes et américaines, dont TotalEnergies, Shell, ou Chevron, qui affirment vouloir atteindre la neutralité carbone en 2050.
L'Union européenne (UE) espère trouver "aussi rapidement que possible" un accord avec les Etats-Unis concernant les matériaux critiques, nécessaires à la transition énergétique, a déclaré jeudi à Washington Valdis Dombrovskis, le commissaire européen au Commerce, assurant que les deux rives de l'Atlantique travaillaient en ce sens.
abs_empty
Les États de l'Union européenne et eurodéputés se sont accordés jeudi pour quasiment doubler la part des renouvelables dans la consommation énergétique d'ici 2030, volet-clé de l'ambitieux plan climat européen.Le texte consacre comme "verte" la biomasse (bois brûlé pour produire de l'énergie), au grand dam d'ONG environnementales inquiètes de l'impact sur les forêts, et tient compte du rôle du nucléaire pour produire de l'hydrogène décarboné, pomme de discorde entre les Vingt-Sept.
Les Etats-Unis et le Japon ont signé mardi un accord visant à renforcer "les chaînes d'approvisionnement pour les minéraux critiques et les batteries pour véhicules électriques" et renforcer les échanges entre les deux pays concernant ces produits essentiels à la transition énergétique et jusqu'ici dominés par la Chine.
Après "dix ans de déni", le gouvernement australien a conclu lundi un accord décisif sur le climat qui va contraindre les plus gros pollueurs du pays à réduire leurs émissions. En vertu de cet accord, les 215 installations les plus polluantes d'Australie, telles que les mines de charbon et les centrales à gaz, devront réduire leurs émissions nettes de près de 5% par an jusqu'en 2030.
Les Etats membres se sont enfin mis d’accord sur le premier traité international destiné à lutter contre les menaces qui pèsent sur des écosystèmes vitaux pour l’humanité. Mais il sera formellement adopté à une date ultérieure.
Le Secrétaire général de l’ONU a félicité les pays membres de l'ONU d’avoir finalisé un texte « décisif » visant à assurer la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique marine dans les eaux internationales.
La communauté internationale fait un pas vers des poursuites contre Vladimir Poutine.
L'accord doit encore être validé par le Conseil et le Parlement européen avant d'entrer en vigueur.
Les Etats-Unis ont qualifié la décision russe de « très décevante et irresponsable ». Le traité signé en 2010 est le dernier accord bilatéral du genre liant Moscou et Washington.
Malgré l'opposition du PPE, principale formation au Parlement européen, le texte a été adopté par 340 voix pour, 279 voix contre et 21 abstentions.
Le gouvernement belge et Engie ont annoncé lundi la signature d'un accord qui doit concrétiser la prolongation pour dix ans, à compter de novembre 2026, de deux des sept réacteurs nucléaires exploités en Belgique par le groupe français.Les deux parties négociaient âprement depuis des mois les conditions de cette prolongation décidée en mars 2022 par la Belgique pour garantir son approvisionnement en énergie au-delà de 2025, sur fond d'incertitudes liés à la guerre en Ukraine.
Le 19 décembre 2022, les ministres de près de 200 pays ont réussi à aboutir à un accord mondial sur la biodiversité à la COP15 de Montréal. Ils ont adopté un nouveau cadre mondial visant à enrayer le déclin de la biodiversité d'ici à 2030. Parmi les objectifs phares, il y a la préservation de 30% des terres et des mers, une hausse des financements Nord-Sud ou encore la réduction des pesticides. Voici dans le détail les 23 cibles adoptées.
Après deux semaines de négociations, la 15e conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique s’est terminée ce lundi à Montréal avec l’adoption d’un nouveau cadre mondial pour la biodiversité à l’horizon 2030...
Après deux semaines de négociations, les 196 parties de la Convention sur la diversité biologique (CBD) sont parvenues à un accord, lundi matin, à l’issue de la 15ème conférence mondiale (COP15) sur la biodiversité. Le défi était de taille : fixer un cadre international pour la décennie actuelle, capable d’enrayer, et même d’inverser, l’effondrement du vivant.
Les pays du monde entier se sont engagés à protéger 30 % de la planète d’ici 2030 et à débloquer 30 milliards de dollars d’aide annuelle pour les pays en développement.