Veille documentaire
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
Le principal gestionnaire des centrales nucléaires belges Engie et le gouvernement fédéral ont réalisé vendredi le "closing" de leur accord concernant la prolongation pour dix ans des réacteurs Tihange 3 et Doel 4, ainsi que le transfert de responsabilité lié aux déchets nucléaires.
En République démocratique du Congo, les combats entre les forces gouvernementales et les rebelles M23 soutenus par le Rwanda se poursuivent dans les provinces du Sud et du Nord Kivu. Le gouvernement congolais pourrait proposer un accord minier avec les États-Unis, dans l'espoir d'obtenir un soutien diplomatique.
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Les autorités congolaises espèrent conclure un accord avec l’administration Trump sur les ressources minières du pays, comptant sur le soutien américain dans leur lutte contre les rebelles du M23 et les forces rwandaises qui mènent une offensive dans l’est de la RD Congo. Des discussions préparatoires ont débuté, selon Kinshasa et Washington, bien que les contours du projet demeurent très flous.
L’administration autonome kurde, soutenue par les Etats-Unis, contrôle de vastes territoires dans le nord et l’est de la Syrie, riches en blé, pétrole et gaz. Ce sont des ressources cruciales pour les nouvelles autorités de Damas qui cherchent à unifier un pays divisé par treize ans de guerre civile.
Un compromis a été trouvé, lundi 10 mars, entre le président syrien par intérim, Ahmed Al-Charaa, et le chef des Forces démocratiques syriennes, Mazloum Abdi, pour intégrer au sein de l’Etat les institutions autonomes kurdes du nord-est du pays.
Sous l’impulsion des Etats-Unis et d’autres pays occidentaux, un accord a été trouvé lundi 10 mars par les dirigeants kurdes du nord-est syrien et le président provisoire Ahmed Al-Charaa. Ses modalités restent à préciser mais il éloigne la menace d’affrontements communautaires.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié lundi d'"illégale" la décision des États-Unis de mettre fin à une dérogation aux sanctions imposées à Téhéran qui avait permis à l'Irak d'acheter de l'électricité à l'Iran.Des exemptions depuis 2018Les importations de gaz et d'électricité en provenance de l'Iran voisin représentent un tiers des besoins énergétiques de l'Irak, pays aux immenses richesses pétrolières mais ravagé par des décennies de conflits et confronté à des délestages quotidiens.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Des informations corroborées par différentes sources affirment que des investisseurs américains voudraient racheter Nord Stream 2.
Dans un paysage lunaire d'excavations jaunâtres et grises, d'énormes machines se déplacent. Bienvenue dans une mine ukrainienne, qui espère l'arrivée d'investisseurs étrangers à la faveur d'un accord sur les ressources du pays voulu par le président américain Donald Trump. "L'Ukraine est très riche en ressources minières. Et si on ne les exploite pas, l'Ukraine va simplement perdre des revenus qu'elle pourrait obtenir", se lamente Dmytro Golik, directeur de cette entreprise située dans la région de Jytomyr, dans le centre-ouest de l'Ukraine.
Les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l’Europe" à 800 milliards d’euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine. Mais ils ne sont que 26 à avoir approuvé un texte ad hoc sur la stratégie de soutien à l’Ukraine, que le dirigeant hongrois Viktor Orban rejette.
Deux jours après son altercation avec Donald Trump et J.D. Vance à la Maison Blanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est redit prêt, dimanche, à signer l'accord sur les minerais négocié avec les États-Unis.
Le président ukrainien, qui était à Londres avec ses partisans occidentaux après la réunion catastrophique de vendredi à Washington, a également rappelé qu’il n’était pas opposé à un départ dans le cas d’une adhésion de l’Ukraine à l’Otan.
Le retard des négociations au sein du Giec va fragiliser le prochain bilan mondial climatique qui aura lieu en 2028.
Au dernier jour des prolongations du sommet onusien, quelque 150 pays sont parvenus à des concessions mutuelles pour réformer le financement de la sauvegarde de la nature. Mais la question d'un nouveau fonds n'a pas été tranchée.
Exceptionnellement réunis en Italie cette semaine, les représentant·es de 196 États ont effacé l’échec de la COP16 sur la biodiversité d’octobre dernier en Colombie. Pays développés et en développement ont trouvé un compromis encourageant sur le financement de la protection de la nature.
Quatre mois après la brutale clôture de la COP16 en Colombie, au cours de laquelle aucun accord financier n’avait été trouvé, les négociations ont débouché sur un compromis lors d'une seconde session à Rome.