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Global
Un phénomène aussi spectaculaire que méconnu a frappé la côte andalouse le 17 août 2025. Les habitants de Motril, Salobreña et Torrenueva Costa (sud de l’Espagne) ont vu le ciel s’assombrir brièvement, avant que des vents violents et un air brûlant ne s’abattent sans prévenir sur la côte. En quelques minutes, les températures ont grimpé à 40,1 °C, des rafales ont soufflé à 87 km/h, et l’humidité a chuté de façon drastique. Au large, certains témoins déclarent avoir vu une sorte de tornade marine, probablement un vortex de chaleur (the watchers).
La France a traversé une vague de chaleur exceptionnelle. Le GIEC et Jean Jouzel préviennent que les canicules s’intensifieront dans les prochaines décennies, et que nous décidons maintenant …
L'agrochimie autrement dit la pétrochimie et ses vassaux, ne se sont jamais sentis autant menacés qu'en ce moment. En effet, il devient de plus en plus difficile de cacher l'empoisonnement global et massif par les pesticides. Les maladies explosent dans tous les sens et surtout à tous les âges. Sans parler de l'effondrement de la fertilité et de l'intelligence.
Climate sensitivity is substantially higher than IPCC’s best estimate (3°C for doubled CO2), a conclusion we reach with greater than 99 percent confidence. We also show that global climate forcing by aerosols became stronger (increasingly negative) during 1970-2005, unlike IPCC’s best estimate of aerosol forcing. High confidence in these conclusions is based on a broad analysis approach. IPCC’s underestimates of climate sensitivity and aerosol cooling follow from their disproportionate emphasis on global climate modeling, an approach that will not yield timely, reliable, policy advice.
An epic analysis of 5,000 years of civilisation argues that a global collapse is coming unless inequality is vanquished
Lancée en avril 2025, l’organisation russe intitulée Global Fact-checking network (GFCN) soutient vouloir lutter contre la désinformation. Mais parmi la soixantaine d'experts membres du réseau, plusieurs sont des relais réguliers de désinformation en ligne. Décryptage.
À l’échelle mondiale, nous venons d’épuiser notre quota de ressources planétaires pour l’année 2025, alerte ce mercredi l’ONG Global footprint network, qui actualise chaque année la date de ce «dépassement». Cette fois, le couperet est tombé un jour plus tôt que l’an dernier, soit la date la plus précoce jamais annoncée par l’ONG.
Il y a 250 millions d’années, la Terre a connu la plus grande extinction de masse de son histoire : la crise Permien-Trias (PTME). Environ 90 % des espèces marines et 89 % des tétrapodes terrestres ont disparu. Un volcanisme cataclysmique dans en Sibérie, a provoqué ce changement par le relâchement d’énormes quantités de CO₂, de méthane et d’autres composés toxiques dans l’atmosphère. Ensuite, un super-effet de serre a régné sur la planète pendant près de 5 millions d’années, bien après la fin du volcanisme actif.
2024 was the hottest year on record [1], with global temperatures exceeding 1.5 °C above preindustrial climate conditions for the first time and records broken across large parts of Earth’s surface. Among the widespread impacts of exceptional heat, rising food prices are beginning to play a prominent role in public perception, now the second most frequently cited impact of climate change experienced globally, following only extreme heat itself [2]. Recent econometric analysis confirms that abnormally high temperatures directly cause higher food prices, as impacts on agricultural production [3] translate into supply shortages and food price inflation [4, 5]. These analyses track changes in overall price aggregates which are typically slow-moving, but specific food goods can also experience much stronger short-term price spikes in response to extreme heat.
Une enquête de l’ONG britannique révèle que plus de neuf activistes sur dix ont été victimes d’attaques sur les réseaux sociaux en lien avec leur engagement en faveur du climat ou de l’environnement.
Est-ce déjà la fin de l'hydrogène dans le secteur automobile ? Stellantis vient de sabrer son programme d'utilitaires tandis que Renault a mis en liquidation début 2025 son usine d'utilitaires à hydrogène. Si certains constructeurs comme Toyota, continuent d'y croire, l'hydrogène vacille.
En juin 2025, la température moyenne mondiale a été de +1,03 °C au-dessus de la moyenne 1951‑1980. Cela fait de juin 2025 le troisième juin le plus chaud jamais enregistré, derrière juin 2024 et juin 2023 .
Malgré le ralentissement des émissions globales de gaz à effet de serre (GES), les voyants du climat restent dans le rouge, nous rappelle le rapport Indicators of Global Climate Change 2024 récemment publié. Ce rapport permet également d’identifier trois leviers d’action à mettre en œuvre pour stabiliser le stock atmosphérique de GES à l’origine du réchauffement global.
The startup Gigablue announced with fanfare this year that it reached a historic milestone: selling 200,000 carbon credits to fund what it describes as a groundbreaking technology in the fight against climate change . But outside scientists frustrated by the lack of information released by the company say serious questions remain about whether Gigablue’s technology works as the company describes. Their questions showcase tensions in an industry built on little regulation and big promises — and a tantalizing chance to profit.
Comment visualiser concrètement l’évolution des températures depuis 1880 ? Comment rendre accessibles les données scientifiques de la NASA ? C’est ce qui m’a motivé à créer NASA GISTEMP Viewer, une application web qui permet de voir les données sur une sphère en 3D.
Between 80% and 89% of the world’s people want their governments to do more about climate change. This fact is the central tenet of the 89% Project for climate journalism. Timed to coincide with Earth Day and Earth Week, the project launched in April, 2025, and will culminate in another week of focused stories in October, just before the next COP meeting in Brazil.
The climate crisis has entered a decisive phase. Delaying climate measures increases the likelihood of crossing tipping points. Political shifts are weakening international cooperation when unity is vital. Yet, the Planetary Boundaries offer a path to a stable and sustainable future.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Iran’s parliament approved a measure to close the vital global trade route, through which more than a fifth of the world’s oil supply passes through daily
Christophe Cassou, climatologue et auteur du GIEC dans le groupe 1, est invité sur le plateau de franceinfo suite à une étude qu'il a sorti et pour parler des vagues de chaleur actuelles. Il y explique l'évolution des températures globales et leurs conséquences. Ça fout les boules, mais qu'est-ce que ça motive.