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Dix ans après l'adoption de l'accord de Paris, la diplomatie climatique se trouve à l'heure des bilans et des questions, dans un monde qui continue de se réchauffer et reste divisé par des fractures géopolitiques et économiques. Pour la présidence brésilienne de la COP30 (10-21 novembre), organisée à Belem, un nouveau chapitre s'ouvre: celui de la mise en œuvre des promesses formalisées depuis 2015 dans le cadre de négociations onusiennes fondées sur le consensus. A Paris, 196 pays s'étaient alors engagés à maintenir le réchauffement climatique "bien en dessous" de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C.
Autrefois mouton noir de l’action climatique, la Chine a pris les rênes de la transition verte. Face à la baisse de la demande chinoise en énergies fossiles, des experts entrevoient leur possible déclin mondial d’ici 2030. La Chine, nouvel héros climatique ?
Après le sommet sur le climat du 24 septembre à l’ONU, la diplomate Ilana Seid, ambassadrice des Palaos auprès des Nations unies, rappelle que les petites îles risquent la disparition en cas de dépassement du seuil de + 1,5 °C de réchauffement.
Près de 200 Etats avaient jusqu’au lundi 10 février pour fournir à l’ONU leur stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Alors que la date limite est désormais dépassée, l’UE et la Chine n’ont toujours pas rendu leurs travaux.
La très grande majorité des pays signataires de l’accord de Paris adopté en 2015 ont laissé passer la date limite du 10 février à laquelle ils devaient publier leur nouveau plan d’action en ce qui a trait aux défis du changement climatique. Parmi les mauvais élèves, l’Union européenne.
Le Brésil organisera en novembre, à Belem, la prochaine conférence mondiale sur le climat, quelques mois après l’annonce par les États-Unis de leur retrait. Un défi à la fois sur le plan des négociations et de l’organisation.
L’ONU a confirmé avoir reçu, lundi 27 janvier, notification des Etats-Unis de leur retrait du pacte mondial de lutte contre le réchauffement climatique. Le départ américain sera effectif dans un an, en janvier 2026.
Les Etats-Unis ont notifié lundi à l'ONU leur décision de se retirer de l'accord de Paris sur le climat, a annoncé mardi le porte-parole du secrétaire général des Nations unies, précisant que le retrait sera effectif le 27 janvier 2026.
Donald Trump a enclenché lundi un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, une marche arrière toute dans la lutte contre le dérèglement climatique qui met en péril les efforts mondiaux pour le freiner.Le républicain, climatosceptique notoire, a tenu parole en signant dès son premier jour de retour au pouvoir un décret présidentiel puis une lettre aux Nations unies en ce sens.
Un classement qui examine les efforts des pays, par rapport aux promesses de l’Accord de Paris, place la Belgique en bas des résultats. Notre pays se situe à la 19e place sur 23, très loin de l’Autriche, l’Allemagne ou la Suisse qui occupent le haut du podium. C’est notamment la complexité de notre système politique qui nous dessert.
Darren Woods, depuis la COP29 de Bakou où il assiste pour la deuxième fois aux rencontres des Nations unies sur le climat, explique au “Wall Street Journal” qu’un renoncement des États-Unis à ses engagements climatiques serait mauvais pour le business.
La 29e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte, lundi, en Azerbaïdjan, avec pour principal enjeu de trouver un compromis sur les montants d'aide financière à destination des pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique.
Les ambitions de l'accord de Paris sont "en grand danger", a alerté l'ONU lundi, à l'ouverture de la conférence climatique de l'ONU à Bakou (COP29), avec l'année 2024 quasiment assurée de devenir l'année la plus chaude jamais enregistrée.
Les pays du monde entier ont jusqu'au 10 février 2025 pour soumettre leurs nouvelles feuilles de routes climatiques, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les États-Unis qui pourraient en sortir sous Donald Trump l'an prochain. Mais quelles sont les objectifs et obligations de chacun ?
Les pays du monde entier ont jusqu'en février 2025 pour déposer leurs nouvelles feuilles de route climatiques à l'ONU, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les Etats-Unis qui pourraient en sortir sous la présidence de Donald Trump l'an prochain.- A quoi oblige l'accord de Paris?
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
Aucune des grandes compagnies pétrogazières occidentales n’a de politique climat alignée avec l’Accord de Paris. C’est le constat (sans surprise) du groupe de recherche Oil Change International, qui a examiné les feuilles de route climatiques des huit plus grands producteurs internationaux de pétrole et de gaz basés aux États-Unis et en Europe (BP, Chevron, ConocoPhillips, Eni, Equinor, ExxonMobil, Shell et TotalEnergies). Il publie ses résultats dans la nouvelle édition de son rapport Big (…)
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Au moins vingt développements de champs pétroliers et gaziers ont fait l’objet d’une décision finale d’investissement en 2023. Ils devraient déboucher sur une production de 8 milliards de barils équivalent pétrole (bep), selon l’édition annuelle du Global Oil and Gas Extraction Tracker, publiée par l’ONG étasunienne Global Energy Monitor jeudi 28 mars.
Les grandes compagnies pétrolières continuent de développer des projets difficilement compatibles avec l’accord sur le climat de Paris et aucune n’est sur la voie pour tenir la limite de 1,5°C de réchauffement fixée par la communauté internationale, selon un rapport publié mercredi par le groupe de réflexion Carbon Tracker.