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2025

L'Australie et la Turquie ont réussi mercredi à trouver un compromis au sujet de l'organisation de la prochaine COP. Selon un accord qui doit encore être entériné, en novembre 2026, les dizaines de milliers de participants de la conférence climatique de l’ONU vont prendre la direction d’Antalya. La traditionnelle conférence pré-COP aura elle lieu dans le Pacifique, l'Australie réclamant la présidence des négociations.
Afin d’éviter un blocage, le premier ministre australien, Anthony Albanese, qui avait rejeté lundi une offre de co-organisation, affirme que son pays « ne chercher[a] pas à opposer [son] veto » si le choix se porte sur Ankara.
La Turquie est en lice pour accueillir la COP31 en 2026 et elle est prête à la diriger seule si aucun consensus n'est trouvé sur un modèle de coprésidence, a déclaré dimanche à l'AFP une source diplomatique turque.
La justice britannique a jugé responsable vendredi le géant minier australien BHP de la rupture dévastatrice d'un barrage minier au Brésil en 2015, une décision très attendue qui ouvre la voie à des dizaines de milliards de livres de compensations.
Dans un jugement rendu vendredi 14 novembre, la justice britannique a rendu le géant minier australien responsable de la rupture dévastatrice d’un barrage minier au Brésil en 2015. La décision, très attendue, ouvre la voie à des dizaines de milliards de livres de compensations.
Grâce à ce projet, mais aussi à son partenariat signé avec les Etats-Unis, ce grand pays producteur de métaux critiques cherche à développer une capacité souveraine de traitement des minerais.
Samedi 18 octobre, des mineurs australiens ont fait une découverte qui marquera quiconque réalise ce qu’elle implique. Au milieu de l’outback, à 30 kilomètres de toute civilisation, un objet massif de 1,5 mètre de diamètre fumait encore, partiellement en flammes. Ce détail change tout : normalement, les débris spatiaux ne brûlent plus quand ils touchent le sol. Et ce n’est que le début d’une histoire bien plus inquiétante.
Selon une récente étude, les forêts tropicales d’Australie sont les premières au monde à ne plus pouvoir assurer leur rôle de puits de carbone. Evidemment, ce phénomène inquiétant est en étroit lien avec l’actuel dérèglement climatique. De plus, l’étude révèle que d’autres forêts tropicales pourraient subir le même sort à l’avenir.
Les forêts tropicales humides australiennes sont désormais les premières à passer du statut de puits de carbone à celui de source d’émissions, selon une analyse s’étendant sur plusieurs décennies. Ce basculement serait lié à des températures toujours plus extrêmes et à des épisodes de sécheresse plus intenses, entraînant une hausse notable de la mortalité des arbres. Ces observations pourraient annoncer la trajectoire que suivront les forêts tropicales du monde au cours des prochaines décennies.
Décimées par les événements climatiques extrêmes, ces zones boisées ne peuvent plus jouer leur rôle de «puit de carbone», alerte une étude publiée mercredi dans la revue «Nature». D’autres forêts tropicales pourraient être touchées à l’avenir.
Intervenue à la veille du discours d’Emmanuel Macron devant l’Assemblée générale de l’ONU, la décision de Londres, allié historique d’Israël, revêt une portée particulière : c’est le ministre des affaires étrangères britanniques, Lord Balfour, qui avait favorisé, en 1917, « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Après le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et le Portugal, la France s’apprête à reconnaître officiellement l’Etat de Palestine ce lundi 22 septembre à l’Assemblée générale des Nations unies.
Le Royaume-Uni, l'Australie et le Canada ont officiellement reconnu dimanche l'État de Palestine. Une reconnaissance qui intervient avant un sommet coprésidé par la France et l'Arabie saoudite portant sur l'avenir de la solution à deux États, à la veille de l'Assemblée générale de l'ONU.
Canberra se fixe une cible comprise entre 62 % et 70 % de baisse d’ici à 2035 par rapport aux niveaux de 2005. Le pays est candidat à l’organisation de la COP31 en 2026.
L'Australie s'est engagée jeudi à réduire d'ici 2035 ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% par rapport aux niveaux de 2005, après un rapport établissant que le changement climatique menace les conditions de vie de plus d'un million de personnes dans le pays. "Nous écoutons les scientifiques et nous agissons dans l'intérêt de l'Australie", a déclaré le Premier ministre Anthony Albanese lors de la présentation de cet objectif. Les engagements du pays sont supérieurs à ceux du Canada et de la Nouvelle-Zélande, mais inférieurs à ceux du Royaume-Uni, qui comptent parmi les plus ambitieux au monde. L'objectif précédent de l'Australie était de réduire ses émissions de 43% pour 2030, par rapport aux niveaux de 2005.
L'Australie a dévoilé jeudi un nouvel objectif de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% d'ici 2035 par rapport à 2005, un objectif qui n'est toutefois pas jugé assez ambitieux par les défenseurs de l'environnement.
Montée des eaux, vagues de chaleur, cyclones, maladies: le changement climatique aura des effets "en cascade, combinés et simultanés" sur la vie des australiens, avertit un rapport publié lundi, avant l'annonce des objectifs de réduction des émissions du pays cette semaine.
Une étude destinée au gouvernement établit une série de risques sanitaires, économiques et environnementaux inédits alors que le pays doit dévoiler, dans la semaine, ses prochains objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
L'Etat le plus peuplé d'Australie a annoncé dimanche interdire l'exploitation forestière sur de vastes zones de la côte est pour créer des refuges pour les koalas et tenter d'enrayer le déclin de cette espèce emblématique du pays, désormais menacée d'extinction.
Surfeurs intoxiqués, faune sans vie, flore dégradée… Depuis quelques mois, la prolifération de Karenia mikimotoi, invisible à l’œil nu, perturbe les plages du sud du pays. Une catastrophe écologique sans précédent et un désastre pour les industries locales, essentiellement portées sur la pêche.




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