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Royaume-Uni
2025
Depuis plusieurs mois, TikTok réduit ses effectifs de modérateurs en assurant que la technologie fonctionne, ce que contestent de nombreux professionnels du secteur.
Comme la France, plusieurs pays s’apprêtent à reconnaître la Palestine à la fin de l’été. «Libération» fait le point sur les Etats qui ont déjà annoncé leur intention de le faire, et ceux qui l’ont déjà fait par le passé.
Face à une sécheresse inédite, cinq régions doivent composer avec des restrictions d’eau inédites et des récoltes menacées. Les niveaux des réservoirs n’atteignaient ces derniers jours que 67,7 % de leur capacité.
Après des décennies d’inertie, le gouvernement britannique donne un coup d’accélérateur à ses projets nucléaires. Il mise à la fois sur de grandes centrales et des petits réacteurs modulaires.
Dans le processus de reconnaissance de l'État palestinien, c'est à nouveau la logique du "deux poids, deux mesures" qui prévaut.
Au fond de la mer du Nord, une révolution énergétique prend forme. Des milliers de mètres sous la surface, un câble électrique titanesque s’étend progressivement entre deux nations, promettant de transformer à jamais la façon dont l’Europe gère son électricité.
La France et 14 nations occidentales ont lancé un "appel collectif" aux autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a indiqué, mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Un appel lancé à l'issue d'une conférence ministérielle à l'ONU pour une solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien.
Mardi 29 juillet, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, en septembre. D’autres Etats comme le Canada, l’Australie et le Portugal pourraient suivre. Une « dynamique » dont Paris se félicite.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déclaré que le Royaume-Uni reconnaîtra en septembre l’État de la Palestine… à moins que le gouvernement israélien de Benjamin Netanyahou ne prenne des mesures substantielles pour mettre fin à la "situation épouvantable" dans la bande de Gaza et réponde à d’autres conditions. Israël a directement rejeté l'annonce britannique.
C'est ce qu'a annoncé mardi le Premier ministre britannique.
Le gouvernement britannique a annoncé mardi sa "décision finale d'investissement" dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l'est de l'Angleterre, qui coûtera environ 38 milliards de livres (presque 45 milliards d'euros) aux côtés d'investisseurs privés dont l'énergéticien public français EDF. Cette future centrale est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique et le gouvernement britannique "fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d'or au nucléaire", a assuré le ministre de l'Energie Ed Miliband dans un communiqué.
"La guerre à Gaza doit cesser immédiatement", écrivent les signataires.
Ces pétroliers font partie d'une "flotte responsable du transport illicite de marchandises d'une valeur de 24 milliards de dollars depuis le début de l'année 2024", indique le ministère britannique des Affaires étrangères dans un communiqué. Deux sociétés sont également visées : Intershipping Services LLC, accusée d'avoir "enregistré des navires de la flotte fantôme sous pavillon gabonais", et Litasco Middle East DMCC, liée à la compagnie pétrolière russe Lukoil, "pour son rôle dans le transport d'importants volumes de pétrole russe sur des navires de la flotte fantôme".
A l’occasion de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Londres, les deux puissances atomiques d’Europe créent un groupe de pilotage conjoint, ouvrant clairement la voie à la planification d’opérations en commun. L’objectif affiché est de dissuader Moscou de toute escalade.
A l’occasion de la visite d’Etat à Londres d’Emmanuel Macron, le président français et le premier ministre britannique, Keir Starmer, entérineront, jeudi, cette évolution majeure de leur doctrine. Un « groupe de supervision nucléaire », coprésidé par les deux dirigeants, va être créé.
L'Elysée y a consacré sa première annonce lors de la visite d'Etat d'Emmanuel Macron au Royaume-Uni: l'énergéticien public français EDF détiendra 12,5% de la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, que Paris érige en symbole de sa collaboration avec Londres sur la relance de la filière. Cette annonce conjointe avec EDF marque "une nouvelle étape" dans ce projet à la mise en oeuvre laborieuse, dans laquelle l'entreprise publique française investira "environ 1,1 milliard de livres" (1,3 milliard d'euros), a indiqué l'Elysée dans un communiqué.
Et si l’on pouvait détecter les maladies d’un enfant avant même qu’il ne tombe malade ? C’est exactement le pari du Service national de santé britannique (NHS), qui envisage de séquencer l’ADN de chaque nouveau-né dans les dix prochaines années. L’idée ? Passer d’un système de santé qui réagit à un système qui anticipe. Une révolution est en marche dans les couloirs de la médecine moderne. Et elle commence… au berceau.
Les travaillistes veulent simplifier les contraintes environnementales sur les infrastructures et le bâtiment. Les défenseurs de l’environnement s’inquiètent des conséquences pour les rares sites naturels remarquables d’Angleterre.
Durant la Guerre Froide il y a près d’une demi-siècle, le gouvernement britannique distribuait aux civils un livret assez spécial. Celui-ci contenait des mesures à prendre afin de se prémunir en cas de guerre nucléaire. Au menu : nécessaire de survie, protection du logement et attitude à adopter durant l’attaque.
Le Royaume-Uni est parvenu à réduire ses émissions de CO2 de moitié (50,4%) depuis 1990, mais doit accélérer s'il veut atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, selon le rapport de l'organisme chargé de conseiller le gouvernement sur sa politique climatique. Les émissions de dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre, ont baissé de 2,5% en 2024 par rapport à 2023, et de 50,4% depuis 1990, selon ce rapport du Climate Change Committee (CCC).