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Nétanyahou
2025
L’extrême droite rejette l’accord, qui prévoit la libération de 2 000 prisonniers palestiniens, mais ne souhaite pas, à ce stade, quitter la coalition.
L’accord validé ce jeudi 9 octobre relance les fractures internes du gouvernement israélien. Benyamin Nétanyahou est désormais coincé entre l’aile radicale qui crie à la trahison, et Washington qui impose son tempo.
Plus de 400 militants propalestiniens à bord de 41 navires d'une flottille d'aide pour la bande de Gaza ont été arrêtés par les forces navales israéliennes, a déclaré jeudi un responsable israélien.
Le premier ministre israélien a insisté sur les limites qu’il a fixées au texte proposé par le président américain. Dans un pays déchiré par vingt-trois mois de guerre, l’accord a été accueilli positivement par l’opposition et les familles des otages du Hamas.
Frappes israéliennes sur le Qatar : Donald Trump contraint Benyamin Nétanyahou à faire son mea culpa
- Benjamin Barthe
Le premier ministre de l’Etat hébreu a présenté ses excuses à l’émirat pour la frappe du 9 septembre, visant une réunion du Hamas à Doha. Le geste devrait permettre à la monarchie de reprendre ses efforts de médiation entre Israël et le mouvement islamiste, au moment où le président américain propose un plan de sortie de crise.
Donald Trump a évoqué vendredi 26 septembre un « deal » qui permettrait la libération des otages israéliens et la paix à Gaza. En coulisse, une poignée d’Etats, dont la France et des pays arabes, tentent de convaincre le président américain d’être plus ferme avec le premier ministre israélien.
Le Premier ministre israélien, qui s’apprêtait à prononcer un discours à la tribune des Nations unies, a suscité une vague de désapprobation menant au départ de plusieurs dizaines de diplomates.
La plupart des délégués des pays membres de l’ONU ont bruyamment quitté la salle, vendredi 26 septembre, au début du discours du premier ministre israélien. Mais le dirigeant s’adressait avant tout aux Etats-Unis et à son opinion publique.
Dans la nuit de lundi à mardi, Israël a lancé son offensive terrestre dans la ville de Gaza, causant la mort de plusieurs dizaines de personnes et forçant la population à fuir à nouveau. Au même moment, le rapport d’une commission de l’ONU dénonçait un «génocide» en cours.
Pour Nitzan Perelman, docteure en sociologie politique et cofondatrice du collectif de recherches "Yani", le Premier ministre israélien n’est pas l’otage des deux ministres d’extrême droite de son gouvernement. La politique qu'elle qualifie de génocidaire menée dans la bande de Gaza est planifiée et voulue par Benjamin Netanyahou selon la chercheuse.
Jusqu’où ira le gouvernement israélien dans sa stratégie de destruction et de prise de contrôle des territoires palestiniens, au mépris du droit international et humanitaire ? Alors que le gouvernement Netanyahou a lancé son opération de contrôle total de Gaza, que la mort et la désolation se sont installées dans l’enclave palestinienne, qu’un vaste plan de colonisation de la Cisjordanie a été lancé, le leader d’un petit parti d’opposition, Benny Gantz, a proposé à Benjamin Netanyahou de former une coalition alternative avec l’objectif de sauver les otages israéliens, sans les partis d’extrême-droite qui imposent leur diktat à Israël. Deux ministres sont issus de ces partis prônant le suprémacisme juif, Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich. Qui sont-ils ? Sont-ils les seuls à plonger Israël dans le chaos ?
La Première ministre danoise Mette Frederiksen a estimé ce samedi dans une interview au quotidien danois Jyllands-Posten que son homologue israélien Benyamin Nétanyahou constituait un «problème en soi». Elle a par ailleurs affirmé vouloir utiliser son rôle à la présidence tournante de l’Union européenne (du 1er juillet au 31 décembre 2025) pour accroître la pression sur Israël.
Christopher Luxon a rappelé ce mercredi 13 août la situation «effroyable» sur le territoire palestinien. Wellington a annoncé il y a deux jours envisager de reconnaître un Etat palestinien d’ici septembre.
La décision du premier ministre israélien de passer outre l’opposition de la haute hiérarchie militaire, qui l’a mis en garde contre les lourdes conséquences d’une occupation, marque une grave rupture.
Dix-neuf spécialistes du droit international et de philosophie juridique soulignent, dans un courrier adressé au premier ministre de l’Etat hébreu, que le droit de recourir à la force en état de légitime défense n’« est pas illimité ».
Plusieurs milliers d’hommes ont manifesté, jeudi, répondant à l’appel de rabbins de cette mouvance qui prônent la désobéissance religieuse et rejettent la mobilisation militaire. La coalition du premier ministre est fragilisée.
Le vote a été aussitôt invalidé par la Cour suprême israélienne, en conflit larvé avec le Premier ministre depuis plusieurs années, qui a jugé que la procédure était «inappropriée».
Pressions, menaces, sanctions : les Etats-Unis, leur allié israélien et quelques pays européens ont multiplié, depuis le printemps 2024, les manœuvres visant à empêcher l’inculpation de Benyamin Nétanyahou par la CPI.
Aux Etats-Unis, en Israël, en Hongrie et dans plusieurs autres pays, une figure politique gagne du terrain : le dirigeant illibéral. Nous avons analysé les rhétoriques communes des principaux responsables politiques concernés.
Face à des feux dévastateurs, principalement à l’ouest de la ville, le Premier ministre israélien évoque une «situation d’urgence nationale». Emmanuel Macron a affiché sa solidarité avec l’Etat hébreu. «Nous affrontons probablement le plus grand incendie en Israël depuis une décennie», a déclaré mercredi 30 avril lors d’un point presse le commandant israélien des pompiers, Eyal Caspi.