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2025
De violents affrontements à la frontière, le week-end dernier, pourraient présager de combats plus intenses dans les mois à venir. Le Pakistan craint d'être pris en étau alors que les relations entre son frère ennemi, l'Inde, et l'Afghanistan se réchauffent.
Le premier ministre pakistanais a condamné les « provocations » de l’Afghanistan, promettant « une réponse forte et efficace ». Selon Kaboul, l’armée pakistanaise avait bombardé des cibles dans la capitale afghane et dans le sud-est du pays, jeudi.
L’accord de défense mutuelle stratégique signé le 17 septembre entre Riyad et Islamabad, qui détient l’arme nucléaire, répond à la préoccupation des Saoudiens quant à la fiabilité des garanties de sécurité américaines face à l’émergence d’Israël comme puissance hégémonique régionale.
Les deux pays ont signé récemment un accord inattendu de défense mutuelle, quelques jours après une frappe israélienne contre des dirigeants du Hamas au Qatar voisin, qui a provoqué une onde de choc dans les monarchies du Golfe.
Au Pakistan, les inondations ont contraint au déplacement de 3,8 millions de personnes, 4 000 villages sont sous les eaux et 43 personnes ont péri. L’Inde, elle, compte déjà une quarantaine de morts et 350 000 personnes affectées. Avec 74 % de précipitations en plus de la moyenne normale, plus de 150 000 hectares agricoles ont été ravagés.
Ces derniers jours, trois des fleuves du Pendjab, le grenier à blé du pays, où vivent près de la moitié des 255 millions de Pakistanais, sont sortis de leur lit à cause des pluies de mousson.
Les pluies violentes qui s'abattaient toujours samedi sur le Pendjab, au Pakistan, où plus de 1,5 million de personnes se trouvent dans les zones susceptibles d'être submergées ou déjà sous les eaux, ont forcé l'évacuation de 480 000 habitants.
Les catastrophes se succèdent depuis la fin de juin dans les régions montagneuses du nord des deux pays. Des pluies torrentielles ont entraîné une série de crues soudaines et de coulées de boue et de roche. Des villages entiers ont été rayés de la carte.
Dix personnes sont mortes dans la nuit de mardi à mercredi à Karachi, mégalopole de plus de 20 millions d’habitants, où l’eau reflue désormais. Dans le Nord, les autorités estiment que l’épisode de pluies torrentielles va continuer jusqu’à samedi.
Des villages entiers restent coupés du monde alors que les secours pakistanais peinent à accéder aux zones les plus touchées par les inondations meurtrières. […] Alors que les opérations se poursuivent pour sortir des dizaines de corps encore ensevelis, au moins 393 personnes sont mortes depuis jeudi dans des pluies de mousson torrentielles au Pakistan, ont annoncé mardi 19 août les autorités.
Alors que la mousson s’intensifie, la peur d’épidémies et de nouvelles crues grandit parmi les survivants, déjà privés d’eau potable et de routes d’accès.
Au moins 20 personnes ont été emportées lundi par des pluies torrentielles dans le nord du Pakistan, selon des responsables locaux, ce qui vient gonfler le bilan meurtrier d'une saison de mousson inhabituellement intense.
De nouvelles pluies torrentielles ont frappé, lundi, la région montagneuse du Khyber-Pakhtunkhwa, à la frontière afghane. En cinq jours, la mousson a fait plus de 350 morts et des centaines de disparus. Les autorités redoutent une aggravation de la situation dans les prochaines semaines.
Secouristes et habitants fouillent les décombres depuis trois jours après des moussons ayant fait près de 350 morts, a annoncé l’autorité provinciale de gestion des catastrophes.
Ces deux derniers jours, les pluies diluviennes les plus meurtrières ont eu lieu dans différents districts de la province montagneuse du Khyber Pakhtunkhwa. Les secours tentent de recouvrer les corps encore ensevelis dans les décombres.
Ravagé par les précipitations vendredi 15 août, le nord-ouest du pays affronte des pluies toujours plus intenses lors de la mousson. La presse locale pointe le rôle du changement climatique et appelle les autorités à agir.
Au moins 50 personnes ont été tuées en 24 heures dans le nord du Pakistan après que leurs maisons se soient effondrées ou que leurs véhicules aient été emportés par des pluies torrentielles, selon un nouveau bilan diffusé vendredi par les autorités.
Déjà ravagé par les inondations en 2022, le Pakistan fait face depuis juin à une mousson dantesque. Tout comme l’Inde, où les inondations ont emporté 60 personnes jeudi 14 août. […] Les pluies torrentielles qui s’abattent sur le nord du Pakistan ont fait au moins 200 morts en 24 heures, selon le dernier bilan annoncé ce vendredi 15 août par les autorités, ce qui porte à plus de 500 le nombre de morts, dont de nombreux enfants, depuis le début de la mousson fin juin.
De nombreuses victimes ont aussi péri dans l’effondrement de leur maison ou ont été emportées par les crues soudaines, tandis que cette saison de la mousson, qui a commencé plus tôt que les autres années, est qualifiée d’« inhabituelle » par les autorités.
La mousson a débuté dès juin cette année, entraînant un lourd bilan humain «habituellement observé en août». 104 enfants comptent parmi les victimes.