Documentation
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
washing
2025
Récemment, en parcourant l’actualité, j’ai été frappée par un article annonçant que le pétrole zéro carbone serait bientôt une réalité. Rien que ce slogan suffit à provoquer l’incrédulité. Comment cette ressource carbonée fossile, dont l’usage principal est lié à l’énergie et qui génère annuellement des milliards de tonnes de dioxyde de carbone, pourrait-elle être présentée comme totalement exempte d’impact climatique ? Cette surprise n’aurait pourtant pas dû être totale. Les discours contemporains en lien avec l’énergie regorgent d’expressions analogues. Toutefois, ces formulations séduisantes, habilement façonnées et largement relayées dans l’espace médiatique, ne sont pas sans risque. Elles esquissent le mirage d’un avenir énergétique affranchi de contraintes et de conséquences environnementales.
Les Etats-Unis ont menacé vendredi de sanctions tout pays qui voterait en faveur d'une taxe carbone sur le transport maritime, dans le cadre de l'Organisation maritime internationale (OMI), une agence de l'ONU, dénonçant une mesure "néocoloniale". "Nous nous battrons avec acharnement pour protéger nos intérêts économiques en imposant des coûts aux pays qui soutiennent le NZF", cette taxe carbone, ont indiqué le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio et ses homologues à l'Energie et aux Transports dans un communiqué.
La participation du médiatique expert climat dans des vidéos valorisant les solutions «durables» du groupe industriel français lui vaut d’être accusé de «science washing».
La participation du médiatique expert climat dans des vidéos valorisant les solutions "durables" du groupe industriel français lui vaut d'être accusé de "science washing".
En mars dernier, je constatais une évolution des discours écologiques : enfin, en 2025, le pouvoir d'achat intégrait le débat (voir ce post : https://lnkd.in/dP3C7NzF). […] ❓ J’interpelais alors certains acteurs sur la difficulté à énoncer que la contrainte environnementale (l'impossible développement infini dans un monde fini) allait nécessairement impacter la production de richesse
Le ministre de la Défense américain, Pete Hegseth, réunit mardi à Washington des centaines de généraux et amiraux américains venus du monde entier. Une initiative sans précédent qui interroge sur les motivations réelles.
Le chercheur François Gemenne apparait dans des vidéos tournées par le géant français des matériaux de construction Saint-Gobain. Un exemple de «science washing», selon plusieurs observateurs. Autrement dit, l’entreprise aurait noué ce partenariat rémunéré avec le scientifique pour acheter sa crédibilité.
Des frappes en profondeur de l’Ukraine contre la Russie avec des missiles longue portée ne sont pas à exclure, a affirmé dimanche l’émissaire américain pour l’Ukraine Keith Kellogg, sur la chaîne Fox News.
Ce matin, l'excellente chronique de Camille Crosnier sur France Inter (lien en com') me rappelle que je n'ai pas rêvé en voyant le professeur François Gemenne à Dubaï et Abu Dabi vanter les mérites de la croissance verte, de l'air climatisé sans CO2 et autres délires cornucopiens... Le tout comme c'est indiqué en dessous dans une vidéo sponsorisée par Saint Gobain. Tant qu'à faire, le groupe du CAC s'est payé un scientifique pour 6 épisodes, car François va aussi aux États-Unis, en Chine... Cette série de posts sponsorisés, c'est un peu le cauchemar absolu d'Amélie Deloche.
Que ce soient les cosmétiques, l'alimentation, le tourisme et bien d'autres, de plus en plus de secteurs ont recours à des scientifiques pour donner de la crédibilité à leurs projets ou produits. Un "science washing" qui sert les intérêts privés, au détriment de l'intérêt général.
Donald Trump a signé lundi un décret pour déployer la Garde nationale et le FBI à Memphis, dans le Tennessee, sur le modèle de ce qui a été réalisé à Washington D.C. pour faire face selon lui à une flambée de criminalité. Le président américain a l'intention de mettre en place ensuite un système semblable dans la ville de Chicago.
Londres et Washington vont signer un accord pour accélérer les délais d'autorisation et de validation des projets nucléaires entre les deux pays pendant la visite de Donald Trump cette semaine au Royaume-Uni, a annoncé lundi le gouvernement britannique. Cet accord "permettra aux entreprises de construire plus vite de nouvelles centrales nucléaires, par exemple en réduisant la durée moyenne d'obtention d'une licence de trois ou quatre ans à environ deux", est-il expliqué dans le communiqué.
Des dirigeants européens se rendront cette semaine aux États-Unis pour discuter de la guerre en Ukraine, a annoncé Donald Trump.
La ville de Washington a attaqué en justice Donald Trump et son administration jeudi contre le déploiement de forces fédérales dans la capitale américaine, décrit comme une "occupation militaire forcée subie qui dépasse largement les pouvoirs du président".
Entre sa future salle de bal à la Maison Blanche et ses projets d'embellissement de la ville de Washington, Donald Trump, qui se rêve en président-bâtisseur, a lancé des chantiers d'une envergure inédite.
En ordonnant, lundi 25 août, la création d’une unité spéciale dans chacun des 50 Etats pour assurer l’ordre public, le président républicain cherche à banaliser la présence des militaires dans les rues et à fédéraliser la politique de sécurité publique.
Depuis plusieurs semaines, le président américain a ordonné le déploiement massif de la Garde nationale dans des bastions démocrates, sous prétexte de lutte contre la criminalité. Washington, Los Angeles, bientôt Baltimore et Chicago : la stratégie choque et interroge. Est-ce vraiment une réponse sécuritaire, ou une opération politique pensée pour affaiblir ses adversaires ?
La Garde nationale américaine, mobilisée à Washington, a commencé à porter des armes dimanche dans la capitale, où plus de 2200 effectifs ont été déployés pour lutter contre le crime à la demande de Donald Trump, a annoncé l’armée.
Après avoir gelé l'USAID, l’administration Trump préfère miser désormais sur le commerce avec le Mali, le Burkina et le Niger, souhaitant notamment un accès des entreprises américaines aux mines de lithium et d'or, en échange d’un soutien sécuritaire dans la lutte antijihadiste.
La directrice du renseignement national américain, Tulsi Gabbard, est accusée de ne pas vouloir partager les informations recueillies sur les négociations sur l’Ukraine avec les alliés les plus proches de Washington. Une position qui avantage Moscou et risque de mettre à mal une institution historique du monde du renseignement : l’alliance des “Five Eyes”.