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Catastrophes
2025
Le comté de Kerr, où 135 personnes ont trouvé la mort le 4 juillet, n’avait pas de système d’alerte, les contribuables ayant refusé de le financer. Convoqués en session extraordinaire à partir du 21 juillet par le gouverneur républicain, les parlementaires doivent examiner une refonte de la gestion des catastrophes naturelles.
Deux ans après le Black Summer, cet été au cours duquel l’Australie a vu ses forêts se transformer en brasier, d’autres méga-feux ravageurs se sont succédés : en Californie, en Amazonie, en Sibérie, en Inde, ou encore en Grèce, des millions d’hectares sont partis en fumée, au point de devenir une scène presque banale. Jacques Chirac, président français entre 1995 et 2002, avait proclamé à la fin de son mandat au sommet de la Terre de Johannesburg « notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Il ne savait sûrement pas à quel point l’avenir allait lui donner raison. Pourquoi l’inaction est-elle encore de mise ?
Le nombre de catastrophes naturelles a été multiplié par quatre en quelques années. Et la facture augmente pour les assureurs et le régime "cat nat", dont les indemnisations ont encore dépassé les 2 milliards d’euros en 2024. Face au risque d’inassurabilité des habitations dans certaines régions, les propositions de réforme du système affluent, notamment celle d’une sécurité sociale climatique.
Quand on évoque les catastrophes climatiques à venir, on pense souvent à la montée des eaux, aux incendies de forêt ou à l’effondrement de la biodiversité. Mais il existe un danger plus discret, plus insidieux — et peut-être bien plus proche de nous que nous ne l’imaginons : les champignons pathogènes. Une nouvelle étude alerte sur la menace que ces micro-organismes, souvent négligés, pourraient représenter dans un monde de plus en plus chaud et humide.
Le nombre de déplacés a bondi de 50 % en six ans, selon l’Observatoire des situations de déplacement interne et le Conseil norvégien pour les réfugiés. En cause, les guerres et les catastrophes naturelles.
L'administration de Donald Trump va cesser d'alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA), selon une annonce.
Créé en 1980, ce fichier permettait de répertorier les événements climatiques extrêmes dépassant le milliard de dollars de dégâts. […] L’administration de Donald Trump va cesser d’alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, selon une annonce faite jeudi 8 mai. Il s’agit d’une nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
Malgré son climatonégationnisme, le parti d’extrême droite Vox a bondi dans les sondages après les graves inondations d’octobre. Ses discours anti-écologistes influencent désormais le gouvernement régional.
Les températures de la Planète augmenteront pendant les prochaines décennies. Les catastrophes climatiques s’aggraveront au cours de cette période. A 2°C, il y aura beaucoup plus d’inondations et des vagues de chaleur plus fortes. Nous les subirons de plein fouet, probablement au cours des vingt prochaines années (James E.Hansen).
Christophe Cassou, climatologue : "Les petits renoncements sont le terreau des grandes catastrophes"
- France24,
Des milliers de personnes se sont mobilisées partout dans le monde, en soutien aux scientifiques américains. C'est le mouvement Stand up for science. Les conséquences de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump ont été immédiates sur leurs recherches et font craindre le pire. Comment expliquer ce déni d'une certaine science ? C'est l'éclairage de notre invité, “Au coeur de l’info”, le climatologue Christophe Cassou. Il est aussi directeur de recherche du CNRS, co-auteur du dernier rapport du GIEC.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
EPA sortie de l’auberge. Mercredi, Donald Trump a dit vouloir réduire de 65% les effectifs de l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA). Une menace qui s’inscrit dans le projet du président de supprimer les normes protectrices du climat et de la santé humaine.
Une étude inédite de l’Alliance brésilienne pour la culture océanique a constaté que, entre 1991 et 2023, le nombre annuel moyen de catastrophes naturelles liées au climat s’était accru de 460 % dans le pays. Chaque augmentation de 0,1 °C de la température moyenne de l’air dans le monde a entraîné 360 événements supplémentaires au Brésil.
Donald Trump s'est rendu vendredi dans des zones sinistrées de Californie et de Caroline du Nord, en utilisant son premier déplacement présidentiel pour transformer l'aide fédérale aux catastrophes naturelles en objet de marchandage politique.
Ouragans en Europe, vagues de chaleur en Arctique, ou pluies diluviennes dans le désert : le changement climatique est en train de bouleverser la géographie et l'ampleur des catastrophes naturelles. D'où cette question, à quoi vont ressembler les catastrophes climatiques de demain ? Pour y répondre, nous recevons Davide Faranda, climatologue et physicien de formation, directeur de recherche CNRS, ses recherches portent sur les liens entre les évènements climatiques extrêmes et le changement climatique. Il s'intéresse particulièrement aux catastrophes naturelles et à leur lien avec le changement climatique. Davide Faranda revient sur le danger des catastrophes climatiques avec cette question : le pire est-il à venir ? Les évènements climatiques extrêmes, au-delà d'un seuil de réchauffement, vont-ils nous empêcher de nous adapter ? Interview réalisée par Maxime Thuillez à l'Académie du climat
2024
Alors que la priorité de l’Etat devrait être de lutter contre les causes du changement climatiques, il se retrouve contraint de payer pour réparer les conséquences d’événements de plus en plus intenses et fréquents.
Les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles et climatiques ont atteint les 300 milliards d'euros en 2024.
Les pertes économiques engendrées par les catastrophes naturelles devraient se monter à 310 milliards de dollars...
La catastrophe climatique qui a ravagé la région de Valence, en Espagne, devrait faire l’objet d’un débat citoyen qui permettrait de corriger quelques idées fausses sur le rôle des services publics et les coûts économiques, plaide Dominique Méda dans sa chronique.
Catastrophes naturelles liées au réchauffement climatique, guerres… une vaste campagne de sensibilisation va être lancée en Belgique dès 2025.
Le Conseil des ministres, sur proposition du ministère espagnol du Travail, a approuvé jeudi un décret-loi royal contenant des mesures en matière de travail et de prévention des risques liés au changement climatique et aux catastrophes. Il prévoit notamment un "congé payé climatique".
Près d’un mois après les inondations meurtrières dans le sud-est du pays, le gouvernement espagnol a adopté, ce jeudi 28 novembre, l’idée d’un «congé payé climatique» de quatre jours pour éviter aux salariés tout déplacement risqué.
Comme le souligne le 6ème rapport d’évaluation du GIEC, les risques climatiques tendent à se multiplier et à s’aggraver, ce qui rend leur gestion de plus en plus complexe. En France, les récents épisodes cévenols et méditerranéens illustrent cette réalité, avec des coûts estimés à plusieurs millions d'euros.
Insurance costs are rising quickly across much of the country. Hurricanes are part of the reason, but it’s the other perils common across the Midwest and Great Plains that complicate costs.
La faillite des assureurs révélée au grand jour. Le changement climatique à l’origine de l’intensification et de la multiplication des catastrophes naturelles n’est plus assurable : les dégâts sont trop élevés, il faudrait mettre la clé sous la porte ou augmenter massivement les tarifs.
Le nombre de pays confrontés à des risques climatiques extrêmes devrait passer de trois actuellement à 65 en 2040, met en garde le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.
La catastrophe meurtrière survenue en Espagne est l’une des plus importantes de ces dernières années en Europe. Mais nous avons tendance à oublier que des phénomènes météo encore plus dévastateurs se sont produits récemment, et très souvent sur le Vieux Continent.
Selon les projections d'un rapport, dans 25 ans le taux de résiliation d'assurance sera sensiblement plus élevé dans certains départements, dont le Loiret. Un scénario imputable aux effets du dérèglement climatique.
Alors que les alertes climatiques se multiplient dans le pays, causant des morts, des sinistrés, des déplacés et des maladies par milliers, l’Etat n’a toujours pas proposé de Plan national d’adaptation au changement climatique.
Le coût moyen des pertes assurées engendrées par les événements climatiques devrait désormais dépasser les 150 milliards de dollars pour les prochaines années, selon les projections de Verisk. A plus de 100 milliards de dollars sur les cinq dernières années, il mettait déjà le secteur de l’assurance à la peine, avec de plus en plus de zones presque inassurables.
Yorik Baunay, géographe, a créé Catnat.net, une carte mondiale qui recense tous les événements climatiques, météorologiques et géologiques. Un outil utile aux collectivités, aux assurances ou au grand public.
Près d’une semaine après le passage du typhon Yagi sur le nord du Vietnam, les pouvoirs publics et la population sont sur le pied de guerre pour secourir les sinistrés et entreprendre des réparations. Jeudi 12 septembre, un bilan officiel fait état de 197 morts et de 128 disparus.
La civilisation indutrielle entraîne des catastrophes écologiques et climatiques rendant la planète invivable. Il ne s’agit plus de juste "redistribuer les richesses" et "taxer les riches", mais de changer rapidement et complètement de modèle de société pour que la biosphère (et tous les êtres qui lui sont liés, dont les humains) puisse tenir le coup.
Feux de forêt, ouragans et autres catastrophes naturelles: le risque climatique occupe une place de plus en plus importante dans la fixation des prix sur les marchés pétroliers, à l'heure où le monde peine encore à se défaire des énergies fossiles. L'un des derniers phénomènes climatiques extrêmes en date, l'ouragan Béryl a tiré la sonnette d'alarme sur les marchés en dopant les prix du brut à l'approche de son passage par le Texas début juillet.
Les climatologues sont particulièrement inquiets. Cette petite tache ne devrait pas être là en 2024. "Les modèles climatiques prévoyaient ce phénomène pour l’année 2100, sans certitude qu’il arrive, mais sûrement pas pour aujourd’hui", explique-t-il. Cette tache bleue représente un endroit où la température diminue. Le réchauffement climatique n'a pas comme seule conséquence un réchauffement global de la planète. Certaines zones deviennent aussi plus froides, avec un dérèglement complet des saisons.
Le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles est dans le rouge en raison du changement climatique.
L’État du Vermont a fait passer une loi, le 30 mai, pour réclamer de l’argent aux entreprises d’énergies fossiles, responsables de catastrophes climatiques. Une loi historique, pas si simple à mettre en place. Atlanta (États-Unis), correspondance Les groupes d’énergies fossiles devront payer. Du moins c’est ce qu’espère l’État du Vermont, dans le nord-est des États-Unis. La loi « Climate Superfund Act », première de ce genre dans le pays, est entrée en vigueur le 30 mai — d’autres États comme celui de New (...)
Dans un rapport publié ce mercredi 8 mai, l’Organisation météorologique mondiale recense 67 événements extrêmes qui ont touché l’Amérique latine et les Caraïbes en 2023 et nuit à leur production agricole.
Google présente une IA générative capable de prédire les futures catastrophes climatiques en un temps record. Le système peut générer 256 prévisions en trois minutes, d'une qualité comparable à celles du système de prévision opérationnel américain (GEFS).