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Les cours du pétrole sont des plus volatils. Après un pic avoisinant les 140 dollars il y a dix jours, le baril de Brent est redescendu sous la barre des 100 dollars pour remonter, depuis deux jours, en raison d’une résurgence du Covid-19 en Chine. Peut-on prédire un choc pétrolier sur l’économie mondiale ?
Les cours du pétrole ont plongé mercredi, lestés par une ouverture diplomatique du président ukrainien Volodymyr Zelensky ainsi que par le signal donné par les Émirats arabes unis, désormais favorables à une augmentation de la production. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai a lâché 13,15%, pour finir à 111,14 dollars, tandis que le West Texas Intermediate (WTI) américain, pour livraison en avril, a lui cédé 12,12%, à 108,70 dollars.
Les prix du pétrole continuent leur flambée, le baril de Brent dépassant les 110 dollars pour la première fois depuis 2014, poussés par la guerre en Ukraine et les craintes pour l'approvisionnement mondial. Le prix du baril de brent de la mer du Nord pour livraison en mai atteignait 110,87 dollars vers 03H00 GMT en Asie.
Le prix du baril de pétrole brut WTI a bondi de plus de 6% lundi et le Brent de plus de 5%, les opérateurs s'inquiétant de plus en plus d'une crise énergétique après les nouvelles sanctions occidentales à l'encontre de Moscou en raison de son invasion de l'Ukraine.
Les prix du pétrole se sont enflammés jeudi avant de s'apaiser un peu, l'attaque aérienne et terrestre de l'armée russe contre l'Ukraine ayant brièvement propulsé le baril de WTI américain à plus de 100 dollars, et celui de Brent à plus de 105 dollars, une première depuis 2014. Le cours du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, référence de l'or noir en Europe, qui s'envolait de 8,78% à 105,34 dollars en matinée, a clôturé en hausse de 2,27% à 99,08 dollars.
Le baril de Brent a grimpé jusqu'à 100,04 dollars après l'annonce de l'opération militaire russe en Ukraine. Les cours du gaz, eux, bondissaient de plus de 30 %.
Les cours du pétrole s'envolaient ce mardi, embrasés par la décision du président russe de reconnaître l'indépendance des territoires séparatistes ukrainiens, le prix du Brent frôlant la barre symbolique des 100 dollars le baril.
Comme le reste du secteur, Equinor a bénéficié de la nette augmentation du prix du baril de Brent, qui a augmenté de 70% sur un an pour dépasser les 70 dollars, et surtout de l'envolée du prix du gaz qui a quadruplé en Europe.
Les cours du pétrole grimpaient légèrement jeudi, toujours galvanisés par la crise Ukraine-Russie, après avoir dépassé de nouveaux records la veille, dont la barre symbolique des 90 dollars le baril pour le Brent.
Depuis la première fois depuis 2014, le prix du baril de Brent est passé sur la barre des 90$, pour être précis à 90,39$ à Londres. A New York, il est grimpé sur les 88$. Il est à noter que l’année dernière, à la même époque, il ne fallait que 55 billets de 1 dollar pour acquérir les 159 litres d’un baril. Imaginez, un litre de pétrole moins cher qu’un litre de Coca-Cola.
Après avoir atteint un niveau jamais vu depuis plus de sept ans, le prix du Brent pourrait poursuivre sa hausse, même si les analystes divergent. Une augmentation qui s’ajoute aux difficultés dans les secteurs du gaz ou des composants électroniques.
Le Brent a atteint peu avant 9H00 GMT 85,10 dollars, une première depuis le 10 octobre 2018.
Y aurait-il du gaz dans le pétrole? En tout cas, des signes de nervosités ont été repérés notamment avec une poussée sur les 80$ au plus depuis 3 ans. Au final, il termine à $78,52 à Brent à Londres ($73,03 fin août) et le WTI à New York à $74.97 contre (68,74 fin août).
L'avenir des majors pétrolières passera-t-il par moins de pétrole? La pandémie du nouveau coronavirus a profondément chamboulé de nombreux secteurs d'activité. Prenons l'exemple de l'énergie. Les mesures de confinement établies pendant les 1er et 2e trimestres ont gelé la demande mondiale de pétrole. Ce qui a provoqué un effondrement des prix pétroliers.


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brent

mars 2022

Les cours du pétrole sont des plus volatils. Après un pic avoisinant les 140 dollars il y a dix jours, le baril de Brent est redescendu sous la barre des 100 dollars pour remonter, depuis deux jours, en raison d’une résurgence du Covid-19 en Chine. Peut-on prédire un choc pétrolier sur l’économie mondiale ?
Les cours du pétrole ont plongé mercredi, lestés par une ouverture diplomatique du président ukrainien Volodymyr Zelensky ainsi que par le signal donné par les Émirats arabes unis, désormais favorables à une augmentation de la production. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai a lâché 13,15%, pour finir à 111,14 dollars, tandis que le West Texas Intermediate (WTI) américain, pour livraison en avril, a lui cédé 12,12%, à 108,70 dollars.
Les prix du pétrole continuent leur flambée, le baril de Brent dépassant les 110 dollars pour la première fois depuis 2014, poussés par la guerre en Ukraine et les craintes pour l'approvisionnement mondial. Le prix du baril de brent de la mer du Nord pour livraison en mai atteignait 110,87 dollars vers 03H00 GMT en Asie.

février 2022

Le prix du baril de pétrole brut WTI a bondi de plus de 6% lundi et le Brent de plus de 5%, les opérateurs s'inquiétant de plus en plus d'une crise énergétique après les nouvelles sanctions occidentales à l'encontre de Moscou en raison de son invasion de l'Ukraine.
Les prix du pétrole se sont enflammés jeudi avant de s'apaiser un peu, l'attaque aérienne et terrestre de l'armée russe contre l'Ukraine ayant brièvement propulsé le baril de WTI américain à plus de 100 dollars, et celui de Brent à plus de 105 dollars, une première depuis 2014. Le cours du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, référence de l'or noir en Europe, qui s'envolait de 8,78% à 105,34 dollars en matinée, a clôturé en hausse de 2,27% à 99,08 dollars.
Le baril de Brent a grimpé jusqu'à 100,04 dollars après l'annonce de l'opération militaire russe en Ukraine. Les cours du gaz, eux, bondissaient de plus de 30 %.
Les cours du pétrole s'envolaient ce mardi, embrasés par la décision du président russe de reconnaître l'indépendance des territoires séparatistes ukrainiens, le prix du Brent frôlant la barre symbolique des 100 dollars le baril.
Comme le reste du secteur, Equinor a bénéficié de la nette augmentation du prix du baril de Brent, qui a augmenté de 70% sur un an pour dépasser les 70 dollars, et surtout de l'envolée du prix du gaz qui a quadruplé en Europe.

janvier 2022

Les cours du pétrole grimpaient légèrement jeudi, toujours galvanisés par la crise Ukraine-Russie, après avoir dépassé de nouveaux records la veille, dont la barre symbolique des 90 dollars le baril pour le Brent.
Depuis la première fois depuis 2014, le prix du baril de Brent est passé sur la barre des 90$, pour être précis à 90,39$ à Londres. A New York, il est grimpé sur les 88$. Il est à noter que l’année dernière, à la même époque, il ne fallait que 55 billets de 1 dollar pour acquérir les 159 litres d’un baril. Imaginez, un litre de pétrole moins cher qu’un litre de Coca-Cola.
Après avoir atteint un niveau jamais vu depuis plus de sept ans, le prix du Brent pourrait poursuivre sa hausse, même si les analystes divergent. Une augmentation qui s’ajoute aux difficultés dans les secteurs du gaz ou des composants électroniques.

octobre 2021

Le Brent a atteint peu avant 9H00 GMT 85,10 dollars, une première depuis le 10 octobre 2018.
Y aurait-il du gaz dans le pétrole? En tout cas, des signes de nervosités ont été repérés notamment avec une poussée sur les 80$ au plus depuis 3 ans. Au final, il termine à $78,52 à Brent à Londres ($73,03 fin août) et le WTI à New York à $74.97 contre (68,74 fin août).

octobre 2020

L'avenir des majors pétrolières passera-t-il par moins de pétrole? La pandémie du nouveau coronavirus a profondément chamboulé de nombreux secteurs d'activité. Prenons l'exemple de l'énergie. Les mesures de confinement établies pendant les 1er et 2e trimestres ont gelé la demande mondiale de pétrole. Ce qui a provoqué un effondrement des prix pétroliers.