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- AFP
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- Novethic
Une étude publiée le 20 octobre par l’institut australien IEEFA spécialiste de l’analyse économique et financière du secteur de l’énergie, a passé au crible les politiques de 50 investisseurs de poids qui excluent les sables bitumineux et le forage gazier en Arctique. Leurs conclusions : un exode des flux financiers hors des énergies fossiles a commencé.
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L'avenir des majors pétrolières passera-t-il par moins de pétrole? La pandémie du nouveau coronavirus a profondément chamboulé de nombreux secteurs d'activité. Prenons l'exemple de l'énergie. Les mesures de confinement établies pendant les 1er et 2e trimestres ont gelé la demande mondiale de pétrole. Ce qui a provoqué un effondrement des prix pétroliers.
Le pétrole est non-renouvelable à l’échelle humaine. Sa production, au départ nulle, augmente (c’est la phase que l’on vit depuis 150 ans), pour atteindre un maximum appelé " pic pétrolier ". Elle décline enfin sous l’action de contraintes naturelles et humaines. C’est pourquoi on extraira encore du pétrole peut-être pendant 150 ans, mais de moins en moins chaque année, et à des coûts croissants.
- AFP
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Fin mars, le prix du pétrole tombait sous la barre des 20 dollars le baril. Aujourd’hui, il remonte doucement la pente. Mais ce qui compte, c'est que la demande restera structurellement sous pression pour plusieurs raisons.
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- Novethic
Le pétrole de schiste américain n’est pas mort, loin s’en faut. Mais il n’est plus la machine à cash qu’il fût. Les faillites à répétition, accentuées par la crise du Covid-19, le prouvent. On voit aussi désormais les parapétroliers tourner le dos à la fracturation hydraulique en Amérique du Nord. Après Baker Hughes, c’est désormais l’un des plus grands acteurs au monde du secteur, Schlumberger, qui vend ses activités sur le continent nord-américain.
La demande mondiale ayant chuté d'environ 29 millions de barils par jour par rapport à l'année dernière, il semble que cette pandémie pourrait retarder le pic de production de pétrole tant que durera la pandémie et la dépression qui s'ensuivra, puisque la consommation de pétrole est bien moindre. En outre, les stocks se remplissent, si bien que de nombreux producteurs de pétrole sont contraints de fermer des puits, faute de demande ou d'endroit pour les mettre en place.
l'histoire enseigne que les décisions cruciales etdisruptives sont prises lors de crises majeures ou suite à une guerre. L'apathiemondiale actuelle, dans les domaines énergétiques et environnementaux, nesemble pas déroger à cette règle.Depuis le choc pétrolier de 1973, aucune refonte sérieuse d'une utilisationjudicieuse du pétrole n'a été initiée.
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Alors que Glencore «gèle» sa production de charbon, le déclin des énergies fossiles est déjà en marche, selon le président du groupe de réflexion The Shift Project. Faute d’énergie alternative efficiente, il faudra se préparer à vivre plus modestement
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Suivre les questions énergétiques mondiales, c'est une rencontre sans fin avec de nouveaux engouements. Il y a cinquante ans, les médias ignoraient le pétrole brut (un baril valait à peine plus d'un dollar). Au lieu de cela, les services publics occidentaux étaient préoccupés par la croissance annuelle à deux chiffres de la demande d'électricité qui devait durer indéfiniment, et beaucoup d'entre eux ont décidé que seul le développement à grande échelle de la fission nucléaire, pour finalement se transformer en une adoption généralisée des surgénérateurs rapides, pourrait assurer l'avenir de l'électricité.
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Une étude publiée le 20 octobre par l’institut australien IEEFA spécialiste de l’analyse économique et financière du secteur de l’énergie, a passé au crible les politiques de 50 investisseurs de poids qui excluent les sables bitumineux et le forage gazier en Arctique. Leurs conclusions : un exode des flux financiers hors des énergies fossiles a commencé.
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L'avenir des majors pétrolières passera-t-il par moins de pétrole? La pandémie du nouveau coronavirus a profondément chamboulé de nombreux secteurs d'activité. Prenons l'exemple de l'énergie. Les mesures de confinement établies pendant les 1er et 2e trimestres ont gelé la demande mondiale de pétrole. Ce qui a provoqué un effondrement des prix pétroliers.
Le pétrole est non-renouvelable à l’échelle humaine. Sa production, au départ nulle, augmente (c’est la phase que l’on vit depuis 150 ans), pour atteindre un maximum appelé " pic pétrolier ". Elle décline enfin sous l’action de contraintes naturelles et humaines. C’est pourquoi on extraira encore du pétrole peut-être pendant 150 ans, mais de moins en moins chaque année, et à des coûts croissants.
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Fin mars, le prix du pétrole tombait sous la barre des 20 dollars le baril. Aujourd’hui, il remonte doucement la pente. Mais ce qui compte, c'est que la demande restera structurellement sous pression pour plusieurs raisons.
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Le pétrole de schiste américain n’est pas mort, loin s’en faut. Mais il n’est plus la machine à cash qu’il fût. Les faillites à répétition, accentuées par la crise du Covid-19, le prouvent. On voit aussi désormais les parapétroliers tourner le dos à la fracturation hydraulique en Amérique du Nord. Après Baker Hughes, c’est désormais l’un des plus grands acteurs au monde du secteur, Schlumberger, qui vend ses activités sur le continent nord-américain.
La demande mondiale ayant chuté d'environ 29 millions de barils par jour par rapport à l'année dernière, il semble que cette pandémie pourrait retarder le pic de production de pétrole tant que durera la pandémie et la dépression qui s'ensuivra, puisque la consommation de pétrole est bien moindre. En outre, les stocks se remplissent, si bien que de nombreux producteurs de pétrole sont contraints de fermer des puits, faute de demande ou d'endroit pour les mettre en place.
l'histoire enseigne que les décisions cruciales etdisruptives sont prises lors de crises majeures ou suite à une guerre. L'apathiemondiale actuelle, dans les domaines énergétiques et environnementaux, nesemble pas déroger à cette règle.Depuis le choc pétrolier de 1973, aucune refonte sérieuse d'une utilisationjudicieuse du pétrole n'a été initiée.
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Alors que Glencore «gèle» sa production de charbon, le déclin des énergies fossiles est déjà en marche, selon le président du groupe de réflexion The Shift Project. Faute d’énergie alternative efficiente, il faudra se préparer à vivre plus modestement
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Suivre les questions énergétiques mondiales, c'est une rencontre sans fin avec de nouveaux engouements. Il y a cinquante ans, les médias ignoraient le pétrole brut (un baril valait à peine plus d'un dollar). Au lieu de cela, les services publics occidentaux étaient préoccupés par la croissance annuelle à deux chiffres de la demande d'électricité qui devait durer indéfiniment, et beaucoup d'entre eux ont décidé que seul le développement à grande échelle de la fission nucléaire, pour finalement se transformer en une adoption généralisée des surgénérateurs rapides, pourrait assurer l'avenir de l'électricité.
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