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Le plus grand désastre industriel de l’histoire a commencé en Inde en décembre 1984. Il a fait au moins 20 000 morts et des milliers de malades. Les pollueurs étasuniens, eux, sont toujours impunis.
Bangalore, mégapole du sud de l’Inde, vit la pire sécheresse de son histoire. La bétonisation des sols prépare depuis des décennies ce scénario catastrophe. Face aux pénuries, le gouvernement dégaine des mesures d’urgence.
Transports, fêtes, hiver... Chaque année en novembre, New Delhi est confrontée à des niveaux de pollution majeurs. Face à ce cocktail toxique, les différents acteurs se renvoient la balle.
Des inondations meurtrières ont jeté des centaines de milliers d’habitants sur les routes dans l’Assam, État du nord-est de l’Inde. La vallée du Brahmapoutre semble de plus en plus inhabitable.
La vague de chaleur qui frappe le pays depuis mars dévaste les récoltes et paralyse les grandes villes. Conséquence directe du changement climatique, de telles canicules vont devenir la norme en Inde, alertent les experts.
Nouvelle illustration du changement climatique : le mois de mars qui s'achève en Inde est le plus chaud enregistré depuis 122 ans. Des températures records ont été enregistrées jusque dans l’Himalaya alors que les pluies se sont faites particulièrement rares.
Dans l’Assam, au nord-est de l’Inde, les champs sont noyés, les villages engloutis par des crues imprévisibles. Les agriculteurs n’arrivent plus à cultiver et la jeunesse se désespère. En cause : le changement climatique, mais aussi une décennie de constructions pléthoriques — barrages, digues, routes...
Des tonnes de plastique se sont échouées après l’incendie d’un navire à proximité de Colombo, au Sri Lanka. Les autorités maritimes n’ont pas réussi à empêcher de couler le porte-conteneurs, qui contient 350 tonnes de carburant. Le risque ? Une marée noire dévastatrice.