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Une femme a perdu la vie en Ecosse dans des inondations causées par la tempête Babet. Des centaines de maisons ont dû être évacuées dans cette partie du Royaume-Uni et des milliers d'autres ont été privées de courant.
La province de l’Est canadien a reçu en moins de vingt-quatre heures quelque 250 millimètres de pluie, soit l’équivalent de trois mois de précipitations.
La province située dans l’est du pays est frappée depuis vendredi soir par d’énormes précipitations, équivalentes à trois mois de pluie. Quatre personnes, dont deux enfants, sont recherchées après avoir disparues dans un véhicule submergé.
Avant même l’arrivée de l’été, l’Écosse s’inquiète de la santé du Loch Ness, le lac le plus profond du pays et le deuxième plus étendu, également célèbre pour son monstre légendaire.
Un deuxième groupe de chasse écossais a annoncé mettre fin à la pratique estimant que les restrictions en vigueur ne sont pas réalisables
Le réensauvagement est un mouvement en faveur de la restauration des écosystèmes naturels dans les espaces urbains et ruraux. L’objectif principal est de favoriser la biodiversité et d’améliorer la qualité de l’environnement en créant des habitats pour les espèces sauvages et en réduisant l’impact des activités humaines sur l’écosystème. Le réensauvagement peut également avoir des avantages pour les communautés locales, en améliorant la qualité de l’air et de l’eau, en offrant des espaces de loisirs et en favorisant la santé et le bien-être des personnes.
Dans une « ferme verticale », en Écosse, des chercheurs sont parvenus à accélérer la croissance des arbres, jusqu’à six fois plus vite qu’en extérieur. Une innovation qui permettrait de planter 24 millions d’arbres, instruments d’une neutralité carbone.
Dans cette "ferme verticale" en intérieur, les arbres, dopés par des diodes LED violettes ou vertes, poussent six fois plus vite que s'ils étaient plantés en extérieur. Une telle avancée est susceptible de bouleverser le secteur et aider le Royaume-Uni d'atteindre ses objectifs, fixés à 2050, en terme de neutralité carbone, selon l'organisme Forestry and Land Scotland, qui gère la forêt écossaise.
A Aberdeen, dans le nord-est de l'Ecosse, les éoliennes au large, les travaux d'extension du port et les bus à hydrogène témoignent de la transition climatique. Mais la capitale britannique de l'énergie vit et respire encore au rythme de l'industrie pétrolière. Ici, quand vous évoquez la transition énergétique, on vous répond "boom des renouvelables", mais en aucun cas on évoque une baisse du forage d'hydrocarbures. Du moins tant qu'il y en aura dans les champs vieillissants de la mer du Nord. Il y a seulement quelques mois, le Royaume-Uni, qui vise la neutralité carbone en 2050, accueillait à Glasgow la conférence internationale pour le climat COP 26 et le Premier ministre britannique Boris Johnson assurait vouloir faire du pays l'Arabie saoudite de l'éolien. Mais depuis, les prix de l'énergie se sont envolés, particulièrement avec l'offensive russe en Ukraine, et la flambée du coût de la vie est devenue la principale préoccupation des Britanniques.
La température des eaux des lochs – lacs et fjords – et réservoirs écossais augmente rapidement, selon une étude publiée mardi, qui laisse augurer une aggravation de la tendance si rien n’est fait. Entre 2015 et 2019, 97% des étendues d’eau sous surveillance ont connu une augmentation de leur température, la plupart (88%) entre 0,25 et 1,0°C par an sur la période, selon le rapport du Centre d’expertise des eaux (CREW). Un petit nombre d’entre elles ont augmenté de 1 à 1,3°C par an sur la période.
Les autorités écossaises ont accordé des concessions à 17 projets éoliens en mer, dont ceux des britanniques BP, SSE et Shell, à l'issue de méga-enchères qui permettront de rapporter près de 700 millions de livres.
Les pays africains producteurs de gaz et de pétrole, ainsi que ceux où de récentes découvertes de ces énergies fossiles suscitent des espoirs de développement, n'entendent pas pour l'instant y renoncer en dépit des recommandations de la dernière conférence climat de Glasgow en Ecosse, la COP26.
A l’issue du dixième jour des discussions de la 26e Conférence des parties (COP) pour le climat des Nations unies, la Chine et les Etats-Unis ont conclu une « déclaration conjointe sur le renforcement de l’action climatique », a annoncé l’émissaire pour le climat chinois, Xie Zhenhua, mercredi 10 novembre. « Les deux parties reconnaissent l’écart existant entre les efforts actuels et les objectifs de l’accord de Paris, donc nous renforcerons conjointement l’action climatique », a-t-il ainsi déclaré devant la presse depuis Glasgow, en Ecosse.
A 10.000 km de son Brésil natal, le chef du peuple kaingang plante un jeune chêne dans la forêt communautaire de Kilfinan, un projet visant à reboiser les Highlands écossais et à apprendre des peuples autochtones d'autres continents, en profitant de la COP26.
Ils veulent des actes, et pas du « bla-bla-bla ». Accusant les dirigeants mondiaux de faire des promesses creuses, les jeunes sont dans la rue, vendredi 5 novembre, à Glasgow (Ecosse) pour pousser les gouvernements à agir, à la fin de la première semaine de la COP26.
Deux épais brouillards qui ne vont pas plaider en faveur des engagements de la Chine et de l’Inde à Glasgow. Parmi les plus mauvais élèves dans la lutte contre le changement climatique, les deux grandes puissances voient leur capitale en proie à deux importants épisodes de pollution, en pleine COP 26 sur le climat en Ecosse.
Depuis son entrée dans l'Union en 2007, la Bulgarie a maintes fois tenté de repousser l'échéance mais face à l'urgence climatique, en débat actuellement à la COP26 de Glasgow (Ecosse), les mineurs ne se font guère d'illusions.
La fondation responsable des normes comptables internationales IFRS Foundation travaille sur de nouvelles normes de reporting des mesures durables. Le but est notamment de lutter contre le greenwashing, qui consiste à se donner une fausse image écologique. Une nouvelle instance a été créée en interne à cet effet, qui démarrera ses travaux début 2022, a annoncé la fondation mercredi à la conférence sur le climat (COP26) qui se tient à Glasgow, en Ecosse.
Le changement climatique est devenu le premier facteur responsable des feux de forêts qui ravagent régulièrement l'Ouest des Etats-Unis, et les activités humaines en sont très majoritairement la cause, indique une étude publiée lundi au moment où la conférence COP26 sur le climat s'est ouverte en Ecosse.
- France3
A l’occasion de la 26e conférence des Nations unies sur le climat, qui se tient du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow (Ecosse), France 3 Hauts-de-France a proposé au chercheur François Gemenne de répondre à dix questions sur le réchauffement climatique.
- Afp
Le Vénézuélien Gregorio Diaz Mirabal, qui représente 3,5 millions d'autochtones en Amérique du sud, a insisté samedi sur la nécessité de préserver 80% de l'Amazonie, à la veille de l'ouverture à Glasgow (Ecosse) de la COP26, la conférence de l'ONU sur le climat.
Les dirigeants des grandes économies de la planète, réunis en G20 à Rome, ont réussi à s'entendre dimanche sur des engagements pour le climat un peu plus ambitieux que ceux de l'accord de Paris, au moment où s'ouvre la COP26 en Ecosse.
Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a proposé vendredi "un traité international de non-prolifération des énergies fossiles" pour être "à la hauteur du défi climatique", à deux jours de l'ouverture de la COP26 à Glasgow (Ecosse).
L'Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole brut au monde, vise la neutralité carbone d'ici 2060, a annoncé samedi le prince héritier Mohammed ben Salmane, quelques jours avant le début de la COP 26 en Ecosse. "J'annonce aujourd'hui l'objectif zéro émission de l'Arabie saoudite d'ici 2060 grâce à une stratégie d'économie circulaire du carbone", a déclaré Mohammed ben Salmane dans une déclaration enregistrée au forum "Saudi Green Initiative" à Ryad.
Dans un entretien exclusif à l'AFP, dans le village de la jungle équatorienne d'Union Base (centre), à cinq heures de route de Quito, le chef de l'Organe de coordination des organisations autochtones du bassin de l'Amazone (Coica) appelle les pays développés présents à la COP26, la prochaine conférence sur le climat à Glasgow (Ecosse), à collaborer avec les peuples autochtones pour sauvegarder les 8,4 millions de km2 de l'Amazonie.
Grâce aux sources d’énergie renouvelables, au stockage de carbone, à l’hydrogène, « nous pensons que nous pouvons parvenir à une production d’énergie totalement propre d’ici à 2035 », a déclaré aux télévisions britanniques le premier ministre, qui accueillera dans un mois la COP 26 à Glasgow (Ecosse).
A quelques semaines du début de la conférence COP26 à Glasgow (Ecosse), la thématique du changement climatique s’invite à la tribune des Nations unies (ONU), à l’occasion de l’Assemblée générale de l’organisation, qui se tient à New York pendant une semaine.
Six semaines. Il ne reste que six semaines avant la COP26 prévue en Ecosse. L’ONU alerte et publie un nouveau rapport sur un réchauffement climatique. On y apprend que les engagements déposés par les États signataires de l'accord de Paris mènent le monde vers un réchauffement "catastrophique" de 2,7 °C, très loin de l'objectif de 1,5 °C espéré pour limiter les retombées destructrices du réchauffement climatique.
- Belga
Face à la faible vaccination des pays pauvres contre le Covid-19, les ONG climat ont réclamé mardi le report de la conférence climat de l’ONU COP 26, estimant "impossible" la tenue d’une réunion "juste et inclusive" à Glasgow (Ecosse) en novembre.
Al enkele decennia experimenteert Schotland met grootschalige verwilderingsprojecten. Door “rewilding” of 'opnieuw verwilderen' worden enorme landgoederen daarbij teruggegeven aan de natuur. Het moet een cruciaal thema worden op de klimaattop die eind november in het Schotse Glasgow doorgaat. ‘Niets doen en alleen observeren, dat is het dapperste om te doen bij natuurbehoud.’