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Depuis l'arrivée de cette maladie bovine en France début juin, le gouvernement et les syndicats agricoles majoritaires défendent une stratégie d'abattage systématique des troupeaux contaminés pour éradiquer le virus. À l'inverse, la Coordination rurale et la Confédération paysanne appellent à euthanasier uniquement les animaux malades et à étendre la vaccination. Vert fait le tour de la question.
La ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, a défendu ce vendredi la stratégie sanitaire du gouvernement. En réaction, le syndicat agricole classé à gauche organise la mobilisation.
Confédération paysanne et la Coordination rurale ont dénoncé à l’unisson ce mercredi 3 décembre la consigne sanitaire d’abattre l’ensemble d’un troupeau en cas de détection d’un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC).
Alors que l’automne touche à sa fin et que les feuilles roussissent dans les bocages, un vent d’inquiétude souffle sur les campagnes françaises. Depuis quelques semaines, un mot circule de ferme en ferme, éveille la prudence et bouleverse les habitudes : alerte nationale. Face à une menace invisible mais bien réelle, les éleveurs de volailles, canards, poules pondeuses, mais aussi dindes et gibiers à plume, voient leur quotidien bousculé. Derrière les grilles des exploitations, la vie a brusquement changé de rythme. Quels événements ont conduit à cette situation inédite ? Quelles conséquences pour le monde rural, dont la quiétude semble désormais fragile ? Plongée dans le quotidien chamboulé d’un secteur essentiel, à l’heure où la vigilance devient la règle.
La grippe aviaire de type H5 a été détectée dans un élevage de volailles à Gembloux, dans la province de Namur, après la découverte d'un autre foyer dans le Limbourg, indique dimanche l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca). Pour éviter la propagation du virus, les volailles seront abattues.
Un habitant de l'Etat de Washington est mort après avoir contracté une forme rare de grippe aviaire auparavant détectée uniquement sur des animaux, ont annoncé les autorités sanitaires de l'Etat, ce qui porte à deux le nombre de morts du virus aux Etats-Unis cette année.
Dans l’État de Washington, un patient hospitalisé vient de contracter une forme de grippe aviaire jusqu’ici totalement inconnue chez l’humain. Cette découverte, annoncée le 14 novembre par les autorités sanitaires américaines, marque un tournant inédit dans l’épidémie qui touche les élevages depuis plusieurs années. Mais faut-il vraiment s’inquiéter de ce nouveau venu dans la famille des virus grippaux ?
Alors que la grippe aviaire a tué des milliers de grues cendrées depuis un mois, les autorités craignent pour les volailles. Des ornithologues soupçonnent, au contraire, les élevages industriels d’être la cause de cette hécatombe.
Une personne a été infectée par le virus de la grippe aviaire de sous-type H5N5 aux États-Unis.
En Géorgie du Sud, les éléphants de mer sont confrontés à la propagation du virus qui entraîne avec lui des dizaines de milliers de phoques.
Lors de leur migration vers le Sud, 300 000 échassiers font halte chaque automne sur la réserve naturelle très prisée. Mais le virus H5N1 fait des ravages inédits, menace les élevages alentour et a conduit à des mesures d’urgence.
Malgré les mesures de protection et de confinement, puis l’obligation, depuis 2023, de vacciner les animaux, la profession reste inquiète sur la persistance du virus, qui décime les populations de canards d’élevage. Cela, en pleine période de production du foie gras.
Le ministère de l'agriculture a décidé de suspendre l'exportation de bovins français du 18 octobre au 4 novembre afin d'endiguer l'épidémie de dermatose nodulaire contagieuse. Apparue sur le territoire français fin juin, cette maladie animale divise le monde agricole quant aux moyens de lutte à mettre en œuvre pour stopper sa progression.
Depuis le début de septembre, 31 foyers ont été détectés dans des élevages outre-Rhin, contraints à l’abattage et la maladie virale se répand à toute vitesse. L’épidémie a démarré cette année «exceptionnellement tôt».
L’abattage d’environ 130.000 canards et poulets a été ordonné dans des élevages près de Berlin en Allemagne, en proie à une augmentation des cas de grippe aviaire, ont annoncé dimanche les autorités régionales.
La dynamique de l’infection conduit les autorités à passer au plus haut échelon d’alerte, entraînant notamment le confinement de volailles, selon un arrêté paru ce mardi au Journal officiel.
Face à la recrudescence des cas de DNC, Annie Genevard, la ministre de l’Agriculture, a décidé, ce vendredi 17 octobre, de fermer le marché à l’export des veaux, vaches et bœufs.
Tous les oiseaux de l’exploitation vont être abattus. Des zones de protection de 3 km et de surveillance de 10 km ont été instaurées par la préfecture. Tout transport d’oiseaux et de volailles y est interdit.
L'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) a détecté le virus de la fièvre catarrhale ovine de sérotype 8 (FCO8) chez de jeunes bovins dans des exploitations agricoles des provinces de Liège et de Namur, a-t-elle annoncé lundi.
Des centaines de soldats sont déployées. Alors que le feu continue de progresser, l’origine de l’incendie reste inconnue et les autorités redoutent des conséquences durables pour la faune et les communautés locales.
Découvert jeudi dans un élevage de vaches laitières, à Saint-Laurent-de-Chamousset, près de Lyon, ce nouveau foyer se situe en dehors de la zone réglementée, qui s’étendait jusqu’ici sur l’Ain, l’Isère, la Savoie et la Haute-Savoie.
Plusieurs foyers ont été détectés ces derniers jours en Andalousie, conduisant notamment la ville de Séville a prendre des mesures ce jeudi 11 septembre.
Après quinze jours sans cas, la découverte d’un nouveau foyer de DNC dans ce département relance l’inquiétude quant à une éventuelle propagation de cette maladie virale et contagieuse.
La maladie virale et contagieuse a entraîné l’élimination de centaines de bovins en Savoie et Haute-Savoie cet été. Elle s’est rapidement propagée après qu’un premier cas a été détecté le 29 juin. […] Deux mois après l’apparition de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) dans des troupeaux bovins en Savoie, le ministère de l’Agriculture a maintenu sa stratégie combinant la vaccination et l’abattage total des foyers – bien que celle-ci ait de nouveau été contestée lors du parlement sanitaire réuni ce jeudi 28 août. Le conseil national d’orientation de la politique sanitaire animale et végétale, instance de consultation composée des syndicats agricoles, vétérinaires et scientifiques spécialistes, surnommé le parlement sanitaire, s’était réuni sous la présidence de la ministre Annie Genevard.
Purpose Animal emissions account for nearly 60% of total greenhouse gas emissions from the livestock sector. To estimate these emissions, the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) developed a dedicated module within the Global Livestock Environmental Assessment Model (GLEAM). Although previous studies have explored selected inputs for specific animals and emission types, a comprehensive analysis of all 92 inputs (parameters and emission factors) had not been conducted. This study aimed to identify the most influential inputs affecting ruminant emissions in GLEAM.
La maladie virale, dont 76 foyers avaient été découverts en Savoie et en Haute-Savoie depuis son apparition en France, au mois de juin, continue de se diffuser malgré une importante campagne de vaccination.
Affublés de cornes, des lapins "zombies" ont été aperçus aux États-Unis. Selon certains internautes, ces symptômes spectaculaires auraient été causés par un nouveau virus inquiétant. En réalité, les animaux ont été infectés par un virus courant découvert dans les années 30.
Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour eux En 2050, nos canicules pourraient être fatales pour plus de 10 000 chiens chaque été en France, et il est grand temps d’en parler ⬇️ La vague de chaleur que nous venons de vivre aura déjà coûté la vie à des milliers d’animaux. Et les chiens, même blottis dans nos foyers, font partie des plus vulnérables J’ai encore en tête l’image de mon labrador, elle s’appelait Tryo 🐕️ (comme le groupe oui, j’ai pas choisi !). Dès que la température augmentait, elle suffoquait, la langue tirée, la respiration frénétique. En un mot : elle souffrait beaucoup. 👉 Elle luttait pour sa survie, parce qu’un chien, ça ne transpire pas. Ils régulent leur température quasi exclusivement par la respiration, alors, quand la température grimpe, ils halètent, parfois jusqu’à l’épuisement. Après la canicule de 2022, le Royal Veterinary College a recensé des centaines de cas de “coup de chaud” chez les chiens en Angleterre. Verdict glaçant : un taux dramatique de 26% de mortalité. Dit a
Dans le parc régional de Brière (Loire-Atlantique), des milliers d’oiseaux de toutes espèces meurent du botulisme, une maladie qui les paralyse jusqu’à la mort. Des chasseurs s’organisent pour ramasser les cadavres et contenir la bactérie.
En Savoie, dans le Calvados ou dans les Pyrénées-Orientales : les interdictions de se baigner en eau douce se multiplient depuis quelques semaines. En cause, les cyanobactéries, favorisées par les fortes chaleurs et rejets agricoles, qui peuvent être toxiques pour l’humain et les chiens.