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Les émissions de gaz à effet de serre du secteur aérien – 2000-2024 - Les émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'aviation attirent plus l'attention que celles d'autres secteurs. Par exemple, on les évoque beaucoup plus souvent que celles du transport maritime (croisières en mer comprises), alors même que les émissions de CO2 des soutes maritimes internationales apparaissent plus importantes que celles de l'aviation, comme le montre le graphique ci-après. Celui-ci montre aussi que, jusqu'en 2019 (avant la crise Covid), l'écart tendait à décroitre mais le choc récessif de 2020 et après a été plus important pour le secteur aérien
2024 fut une année charnière pour le développement du secteur aérien. Depuis 2022, de nombreux d’acteurs se sont mobilisés autour du renouvellement des permis d’exploitation des 3 principaux aéroports du pays. En effet, ces permis d’exploitation arrivaient à échéance et les procédures de renouvellement pour les vingt prochaines années ont mobilisé de nombreux acteurs aux intérêts divergents.
Selon une étude de Transport & Environnement, les compagnies aériennes ont retrouvé leur niveau d'émissions de CO2 d'avant la crise du Covid. Près de 70 % de la pollution des avions échappent au marché carbone de l'UE.
Au-delà de Ryanair, c’est tout le transport aérien qui prédit une année 2025 de tous les records. Selon l’IATA, les compagnies aériennes du monde entier devraient transporter 5,2 milliards de passagers : ce sera la première fois de leur histoire que les compagnies franchiront le seuil symbolique des 5 milliards de passagers, rapportaient nos confrères du Monde.
Où se situe la planète bleue au niveau du réchauffement climatique, et vers quelle trajectoire s’oriente-t-on ? Planter massivement des arbres, est-ce une vraie solution globale pour gagner du temps ? L’avion reste-t-il incompatible avec les enjeux liés au climat ? Dans ce nouveau podcast de l'Echo touristique, Jean-François Rial, PDG de Voyageurs du Monde, pousse dans ses retranchements le président du Shift Project. Notamment sur le fameux quota de quatre vols par vie, qui fait toujours débat.
Ça en jet. Cette semaine, lors du Forum économique mondial de Davos, les jets privés ont afflué en Suisse. L’occasion d’un portrait-robot de ce secteur si particulier des transports aériens, entre positionnement de luxe et énorme empreinte carbone pour une poignée d’élus.
Le New-York times et le Premier ministre polonais Donald Tusk confirment que la Russie a planifié des actes de terrorisme aérien en Europe et en Amérique.
Pour faire face à la hausse de ses émissions, l'aérien s’apprête à augmenter la part des carburants alternatifs pour faire voler ses avions. Une stratégie dont les résultats pourraient être affaiblis si le trafic n’est pas maîtrisé.
Le gouvernement de droite a annoncé ce mardi vouloir revenir sur la taxe sur le transport aérien mise en place par la gauche en 2018. Les ONG de défense de l’environnement critiquent cette décision.
Les avions commerciaux récents sont conçus pour voler à des altitudes supérieures à douze kilomètres, où l’air se fait plus rare. Cela permet de réduire la traînée aérodynamique et, par conséquent, la consommation de carburant, diminuant ainsi les émissions de carbone par passager-kilomètre. Cependant, selon une étude menée par des chercheurs de l’Imperial College de Londres, cette stratégie d’efficacité énergétique a un effet secondaire inattendu : la formation accrue de traînées de condensation persistantes qui piègent la chaleur dans l’atmosphère.
Des activistes pour le climat du groupe Last Generation ont mené des actions coordonnées dans plusieurs aéroports allemands. Ces manifestations ont entraîné la suspension des vols dans au moins deux d’entre eux, ont indiqué le groupe et la police.
Prix élevés, demande trop faible, incertitudes : la production de carburants aériens durables en Europe traverse une zone de turbulences.
C’est donc ça, le monde d’après ? Pour la première fois depuis la pandémie de Covid-19, la fréquentation des aéroports européens a dépassé au premier semestre les niveaux de 2019, a annoncé ACI Europe, leur principale association, le 31 juillet. En raison d’une hausse de 9 % du nombre de voyageurs sur un an entre janvier et juin, le trafic sur ces plateformes a été supérieur de 0,4 % aux volumes de la même période il y a cinq ans, a précisé ACI Europe. Son directeur, Olivier Jankovec, a estimé que « le (...)
Une dizaine de militants du collectif "Doe Deurne Dicht" ont bloqué l’entrée du terminal des jets privés de l’aéroport d’Anvers samedi pour dénoncer l’impact de ces derniers sur le climat.
Selon une étude britannique, bien que les déplacements internationaux ne représentent que 0,4 % des voyages, ils sont responsables de 59,1 % des émissions de CO2. Des résultats clairs qui donnent un aperçu des impacts positifs qui pourraient être obtenus par un simple changement de comportement.
Depuis leurs débuts au XIXe siècle, les transports motorisés se sont pas cachés d'être polluants, dans un environnement qui l'était souvent déjà copieusement, mais différemment, par d'autres sources. Leur déploiement a été justifié par divers progrès, dont souvent celui d'être bientôt propres, en termes sanitaires mais aussi récemment du point de vue du changement climatique. Ce souhait est par exemple aujourd'hui incarné par la voiture électrique ou l'avion à hydrogène. S'agit-il d'une nouvelle fable ou d'un réel changement de paradigme ?
Voici la proposition électorale du jour. Découvrez la position des partis à ce sujet.
Joshua Dean, un employé d’un fournisseur du géant de l’aéronautique dans la tourmente après plusieurs problèmes de sécurité sur ses appareils, est décédé lundi 30 avril. Il avait déposé plainte au sujet de ces failles.
Yann Woodcock, la trentaine, assure avoir démissionné de son poste de pilote chez Swiss, une compagnie aérienne, pour des raisons écologiques. Dans une lettre postée sur les réseaux sociaux, il explique sa décision.
[Enquête 2/2] Les secteurs aérien et maritime usent de l’argument de l’hydrogène « vert » pour justifier leurs ambitions de croissance. Au risque d’une « cannibalisation » de l’électricité disponible.
Les chemtrails n’existent pas. Les traînées blanches laissées par le passage des avions ne répandent pas de produits chimiques mais participent, en revanche, à accentuer l’effet de serre du transport aérien. Depuis maintenant plusieurs décennies, la théorie des « chemtrails » revient régulièrement dans l’actualité, au gré de l’émergence de rumeurs virales répandues par divers médias ou réseaux sociaux. Ces derniers jours, une vidéo massivement partagée prétendait démontrer l’existence d’une commande à (...)
Les principales compagnies aériennes européennes ont appelé mercredi à s'inspirer des mesures prises aux Etats-Unis pour stimuler la production de carburants d'origine non fossile sur le Vieux continent, à quelques mois d'échéances électorales.Au nom de la lutte contre le changement climatique, l'Union européenne a imposé l'an passé des obligations graduelles d'incorporation de carburant d'aviation durable (sustainable aviation fuel, SAF) dans le kérosène pour les avions au départ de l'UE.
L’avion qui a retrouvé 94,1 % de son trafic passagers pré-Covid en 2023, doit notamment ses bons résultats aux liaisons intérieures et à la fin des restrictions de mouvement en Chine.
Produire du carburant à partir de bois, pour des avions et des bateaux... Ce projet menace la forêt des Pyrénées. Des opposants s’organisent.
Ryanair a vu ses coûts s'envoler lors de son troisième trimestre décalé, pesant sur son bénéfice et conduisant la compagnie aérienne irlandaise à revoir à la baisse sa prévision de résultat annuel pour 2023/2024.Le bénéfice net part du groupe a chuté de 93% à 14,8 millions d'euros sur le trimestre, malgré une hausse du chiffre d'affaires de 17% à 2,7 milliards d'euros.Le résultat a pâti d'une envolée des coûts du kérosène mais aussi d'une hausse des salaires, frais d'aéroports, entre autres, souligne la compagnie à bas coûts lundi dans un communiqué.
Laurent Jossart s'est exprimé après que les activistes ont quitté le lieu après presque une journée d'occupation.
Le mouvement de désobéissance civile "Code Rouge" bloquait depuis hier soir le site du géant chinois de l’e-commerce Alibaba à l’aéroport de Liège. Selon les organisateurs de cette action, ils étaient 600 activistes à vouloir passer la nuit, qui fut agitée. Les activistes du climat ont commencé à quitter le site de l'aéroport vers 13h ce dimanche.
Le député flamand Chris Steenwegen (Groen) a été interpellé lors de l'action d'occupation organisée par le mouvement Code Rouge à l'aéroport de Deurne (Anvers), a annoncé samedi soir Jeremie Vaneeckhout, le coprésident du parti.
"Fin mai, au micro de Léa Salamé l'ingénieur avait proposé de limiter le nombre de vols en avion à quatre par personne dans toute une vie pour lutter contre le réchauffement climatique. Une phrase qui avait fait beaucoup parler et qu'il a développée ce dimanche 24 septembre dans Le Grand Jury RTL, Le Figaro, M6 : "Si on est raccord avec les engagements que nous avons pris, et si on est parfaitement équitable, à ce moment, la possibilité physique de voler, qui reste compatible avec les accords de Paris, c'est 4 vols par personne et par vie", a affirmé Jean-Marc Jancovici. Si son calcul ne prend pas en compte l'aspect social ou financier, et s'applique donc à l'échelle mondiale pour toute la population, l'enseignant a rappelé qu'il y a encore un demi-siècle, ce raisonnement était tout à fait appliqué, l'avion comme transport n'étant pas encore une pratique si démocratisée."