Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
corrosion

avril 2024

De la corrosion a été retrouvée à l’intérieur des réservoirs utilisés pour entreposer l’eau radioactive traitée dans la centrale nucléaire fermée de Fukushima Daiichi, a indiqué l’exploitant de la centrale, Tepco.

mars 2024

De la corrosion, phénomène qui avait immobilisé une partie du parc nucléaire français l'hiver dernier, a été décelée sur le réacteur de Blayais 4 (Gironde), a indiqué jeudi EDF, confirmant une information du Parisien mais soulignant que cela n'affectait pas sa prévision de production nucléaire pour cette année.
Le site de Donges, deuxième raffinerie de France, est "entièrement à l'arrêt depuis plus d'une semaine" pour "corrosion et des fuites", a annoncé vendredi à l'AFP un représentant de la CGT de cette raffinerie de TotalEnergies, située près de Saint-Nazaire."Il s'agit d'un arrêt technique" imposé depuis le 20 février par la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (Dreal), a déclaré Fabien Privé Saint-Lanne, secrétaire général de la CGT au sein de la raffinerie.

avril 2023

Le calendrier présenté par EDF pour contrôler les soudures à risque de fissures dans ses réacteurs nucléaires, présenté mi-mars, a été jugé "approprié" par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), selon des communiqués des deux entités.

janvier 2023

Le labo des tuyaux : le Laboratoire intégré d'expertises de Chinon (Lidec) d'EDF inspecte la tuyauterie des centrales nucléaires sous toutes les soudures, le plaçant en première ligne dans la crise de la corrosion sous contrainte qui touche le parc français. Au sein de la centrale de Chinon (Indre-et-Loire), le Lidec --laboratoire unique en France-- s'étend sur plusieurs bâtiments gris où bourdonnent des souffleries. Ses missions: surveiller les cuves des réacteurs, optimiser les programmes de maintenance et vérifier les pièces livrées par les fournisseurs.

novembre 2022

Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle), à l'arrêt pour des contrôles, va devoir subir des réparations en raison de possibles défauts sur des soudures attribués au phénomène de corrosion sous contrainte, a indiqué vendredi l'autorité de sûreté nucléaire (ASN). L'ASN précise ainsi les raisons de la prolongation de l'arrêt de ce réacteur, annoncée jeudi soir par EDF, avec Cattenom 3, Penly 2 et Chooz B1. Cattenom 1, qui devait initialement être relancé le 17 novembre prochain, a vu sa reprise décalée au 26 février 2023, selon EDF.

septembre 2022

Utilisé depuis l’Antiquité, le béton a imposé sa suprématie dans la construction au xxe siècle, grâce à l’incorporation de l’acier qui a permis de créer le béton armé. Économique, abondant, il a permis une expansion matérielle sans précédent. Mais les effondrements de grandes structures en béton armé révèlent le caractère périssable de cette « pierre artificielle », tandis que son hégémonie continue d’engendrer pollution, corruption et uniformisation du monde.

août 2022

EDF annonce ce jeudi que l’activité de trois réacteurs de la centrale de Cattenom et d’un de celle de Penly seront stoppés au moins jusqu’à début novembre.

juillet 2022

La France a échappé à un scénario noir pour son approvisionnement en électricité, déjà très tendu pour l'hiver prochain, le gendarme du nucléaire ayant validé mercredi la stratégie d'EDF pour faire face aux problèmes de corrosions affectant certains réacteurs. EDF prévoit de contrôler l'ensemble de ses réacteurs d'ici à 2025 par ultrasons pour rechercher d'éventuelles traces de ce problème qui a conduit à l'arrêt de 12 réacteurs sur 56.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a validé mercredi la stratégie de contrôle d'EDF concernant les problèmes de corrosion rencontrés sur certains réacteurs de son parc français. EDF prévoit de contrôler l'ensemble de ses réacteurs d'ici à 2025 par ultrasons pour rechercher d'éventuelles traces de ce problème qui a conduit à l'arrêt de 12 réacteurs sur 56.
Entre maintenance et canicule, la centrale du Tarn-et-Garonne fonctionne a minima: un réacteur est arrêté pour inspection corrosion, l’autre tourne au ralenti depuis que le fleuve qui assure son refroidissement a dépassé les 28 degrés. Une illustration des problèmes inédits que rencontre le parc nucléaire d’EDF.

mai 2022

Depuis l’annonce de problèmes de corrosion sur certains réacteurs, EDF affirme avoir été prise au dépourvu par ce phénomène présenté comme « inédit ». Il a en réalité déjà touché à plusieurs reprises l’entreprise française depuis 40 ans.
Le nucléaire est l'un des axes privilégié par Emmanuel Macron sur le plan énergétique. Le président réélu a opéré une volte-face sur le sujet. Alors qu'il souhaitait fermer une douzaine de réacteurs d'ici 2035, au début de son premier quinquennat, il vise désormais la construction de six nouveaux EPR au moins. Mais la filière multiplie les déboires.
Les résultats d'EDF seront finalement encore plus mauvais que prévu cette année, en raison des problèmes de corrosion sur son parc nucléaire qui ont contraint à mettre à l'arrêt 12 réacteurs. Le producteur d'électricité estime désormais que la baisse de sa production nucléaire prévue en 2022 lui coûtera 18,5 milliards d'euros d'Ebitda (excédent brut d'exploitation), au lieu de 16 milliards comme annoncé en mars, selon un communiqué publié jeudi.
Le mystère entourant les problèmes de corrosion sur une partie des réacteurs nucléaires français commence peut-être à s'éclaircir: il pourrait être lié à la conception des réacteurs les plus récents et ainsi épargner relativement les anciens, plus nombreux, selon le gendarme du secteur, qui reste prudent à ce stade. Le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), Bernard Doroszczuk, est revenu lors d'une audition devant des parlementaires sur ce dossier crucial, qui a pesé sur les finances d'EDF et fait craindre pour la sécurité d'approvisionnement électrique du pays.
Les réacteurs nucléaires de 900 MW, qui sont les plus anciens et les plus nombreux du parc français, sont "peu voire pas" concernés par le phénomène de corrosion qui affecte des réacteurs plus récents, ce qui pourrait s'expliquer par des différences de conception, a indiqué mardi le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). "À ce stade, au titre de la corrosion sous contrainte, EDF a procédé à la mise à l'arrêt ou à la prolongation d'arrêts programmés de 12 réacteurs pour expertise approfondie et le cas échéant réparation", a souligné Bernard Doroszczuk lors d'une audition devant des parlementaires.

avril 2022

Ce 21 avril 2022, l’ASN a annoncé que le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Cattenom, en Moselle, avait été arrêté en mars 2022 à la demande du Luxembourg voisin, pour vérifier qu’il n’était pas touché par le soucis de corrosion sous contrainte et les risques de fissures sur le système de sécurité du circuit primaire qu’il provoque. Ce défaut générique a déjà provoqué la fermeture de 11 réacteurs du parc nucléaire d’EDF, la plupart des deux dernières générations (de 1450 MW et 1300 MW), et pourrait toucher également les réacteurs plus anciens (900 MW).
Des fissures sur des tuyauteries, en particulier sur le système d’injection de sécurité, ont été détectées sur plusieurs réacteurs. Les investigations se poursuivent alors que, mercredi 20 avril, en fin de journée, à peine 30 réacteurs sur 56 étaient en fonctionnement.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) disposera "courant mai" du résultat d'expertises permettant de conclure ou non à un problème de corrosion sur un réacteur d'EDF appartenant à la famille la plus répandue dans le parc français, a-t-elle indiqué mercredi. EDF a identifié pour l'instant ces phénomènes de corrosion sur des systèmes de sécurité de cinq réacteurs parmi les 56 du parc, conduisant à des arrêts prolongés et des tensions sur l'approvisionnement électrique de la France. Ce problème est à ce stade avéré dans les familles de réacteurs les plus puissants et les plus récents du parc (1.450 et 1.300 mégawatts), qui sont aussi moins nombreux. Si le défaut était confirmé sur un réacteur de 900 MW, ce serait donc l'ensemble des familles du parc français qui serait atteint.
Le Luxembourg a réclamé jeudi des explications à l'Autorité de sûreté nucléaire française après l'arrêt d'un réacteur de la centrale de Cattenom, localisée non loin de sa frontière, et la découverte, selon la presse spécialisée, de "fissures de corrosion". Les ministres luxembourgeois Carole Dieschbourg (Environnement) et Claude Turmes (Energie) ont écrit au régulateur français pour "exiger au plus vite tous les détails et les résultats des analyses effectuées par EDF", l'exploitant de la centrale, a indiqué dans un communiqué le gouvernement du Grand-Duché. Les deux ministres ont réagi à un article du site d'informations Montel, spécialisé dans l'énergie, qui a rapporté la détection de "fissures au niveau des soudures du circuit d'injection de sécurité" sur le réacteur numéro 3 de Cattenom, "en arrêt forcé depuis le 26 mars", précise le communiqué.

février 2022

EDF a apporté des éléments tendant à montrer "la tenue" des tuyaux concernés par des fissures de corrosion sur des systèmes de sécurité de certains réacteurs nucléaires, a indiqué jeudi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui demande cependant plus d'investigations pour faire le tour des circuits.
Le problème de corrosion sous contrainte que rencontre EDF n'a pas de précédent, dans aucune autre centrale nucléaire dans le monde. Le groupe va élargir ses contrôles à « l'ensemble des circuits auxiliaires du circuit primaire » de ses réacteurs.
EDF a comme prévu abaissé vendredi sa prévision de production nucléaire en France pour l'année prochaine, après l'avoir déjà fait pour 2022, en raison des problèmes de corrosion et d'un programme de maintenance chargé.
EDF a annoncé mardi l'arrêt prochain de trois réacteurs nucléaires supplémentaires pour des "contrôles" à la suite des problèmes de corrosion sur des systèmes de sécurité rencontrés sur d'autres unités. Les réacteurs de Chinon 3, Cattenom 3 et Bugey 4 seront arrêtés au cours des prochains mois, selon des données publiées sur le site d'EDF.

janvier 2022

Les problèmes de corrosion sur des systèmes de sécurité de réacteurs nucléaires d'EDF représentent un "événement sérieux", a jugé mercredi le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui n'exclut pas des arrêts supplémentaires.
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ! EDF le géant électrique français accumule les revers comme un aimant une boite d’aiguilles. Du côté des bonnes nouvelles, on note en vrac: l’EPR de Flamanville accuse un nouveau retard de 12 mois pendant que la facture va atteindre les €12,7 milliards. La centrale de 3,5 milliards devait entrer en fonction en 2012. A cause de révisions et de problèmes, 10 réacteurs sur 56 sont à l’arrêt. Ca tombe mal, janvier et février sont les mois les plus gourmands en électricité. Des problèmes de corrosion ont été découverts dans une série de 5 réacteurs. On ne sait pas si d’autres unités sont touchés.
EDF passe en revue jusqu'à la fin du mois l'ensemble du parc nucléaire français à la recherche de nouveaux problèmes de corrosion, a indiqué vendredi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui ne sait pas à ce stade si de nouveaux arrêts de réacteurs seront nécessaires en cas de soupçons.
Un réacteur nucléaire de la centrale de Penly (Seine-Maritime) est également concerné par un problème de corrosion sur un système de sécurité déjà détecté sur quatre autres réacteurs EDF actuellement à l'arrêt, a indiqué à l'AFP l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).

décembre 2021

Quatre réacteurs ont été mis à l’arrêt par EDF, à la centrale de Civaux et celle de Chooz, en raison d’une défaillance sur une pièce essentielle en cas d’accident. De nombreuses incertitudes persistent sur les conséquences de cette découverte.

août 2021

A highly corrosive bacterium which can eat through iron and steel at a rate of knots may have reached the Dutch side of the Ghent to Terneuzen canal, scientists have warned. The MIC (microbiologically induced corrosion) bacteria were discovered by researchers from the maritime institute at Antwerp and the universities of Ghent and Leuven.