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décroissance luap
Moins ! , Kohei Saito, Jean-Christophe Helary : Il fait de plus en plus chaud, on n’arrête pas de travailler, tout est transformé en marchandise. En quête de survie et de liberté, un jeune philosophe japonais, né en 1987, lit les carnets d’un vieux philosophe allemand, mort en 1883. Il y découvre une pensée qui aurait tout pour sauver le monde entier et la partage dans le livre que vous tenez entre vos mains. Rien de plus, tout au moins. S’appuyant sur les carnets tardifs inédits de Marx et voyant dans le pacte vert le nouvel opium des masses, Kohei Saito déconstruit le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés, et prône une société fondée sur les communs. Radical et urgent, cet essai fixe un objectif politique et civilisation...
À l’heure où les constats scientifiques s’accumulent depuis un demi-siècle (!) pour attester de ce que d’aucuns nomment un écocide en cours, l’échec du développement durable est patent : ontologiquement arrimé au maintien de l’illimitisme et de la croissance économique, pétri d’une foi technoscientifique et néolibérale, il ne produit qu’un aménagement marginal du système, n’en déplaise aux pratiques foisonnantes de greenwashing. Cet ouvrage aborde la décroissance, l’un des courants de pensée, d’action et d’expérimentation les plus avancés sur les questions de la mutation sociétale. Théorisée dès les années 1970 dans le sillage d’une pensée écologiste naissante et d’une critique fondamentale du modèle économique dominant, cette approche réaffirme depuis les années 2000 l’urgence de sortir du modèle de développement occidental. Cheminant notamment avec la pensée d’Edgar Morin et de l’École de Palo Alto, l’ouvrage questionne d’abord le sens et la portée de la décroissance initiale pour analyser ensuite les singu
Arthur Keller et Aurélien Barrau à La Grande Tribune (Polytechnique, CentraleSupélec, ESSEC, HEC...)
- Aurelien barrau,Arthur KellerConférence à deux voix, juin 2022. Écologie, progrès et décroissance.
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Atteindre la neutralité carbone en 2050 ne sera possible qu’à condition que le monde réussisse à décorréler l’évolution du produit intérieur brut des émissions de CO₂. Si l’Union européenne peut y parvenir, nombre d’Etats en sont encore loin.
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Développez des connaissances dans l'ensemble des domaines paysan ! Découvrez les 5 manuscrits gratuitement :
Atteindre le zéro carbone en 2050 est un virage de société qui ressemble à une épingle à cheveux au milieu d'une autoroute triple pistes à l'heure de pointe ! En reprenant simplement les grands chiffres de notre consommation d'énergie et les grands enjeux climatiques de notre époque, on prend conscience de la profondeur de l'ornière dans laquelle nous nous sommes enfoncés. Face à cela, a technologie seule ne va de loin pas nous sauver. Pour la simple et bonne raison que nous n'avons pas les potentiels énergétiques renouvelables pour maintenir nos modes de vie tels qu'ils sont.
La transition énergétique est sur toutes les lèvres… mais ne risque-t-elle pas de créer encore plus de dégâts ? Rencontre-événement avec deux spécialistes de la question : l’essayiste Vincent Mignerot qui vient de faire paraître « L’énergie du déni » (Rue de l’échiquier) et l’économiste Hélène Tordjman, autrice de « La croissance verte contre la nature » (La Découverte).
Les plus éminents climatologues et biologistes du monde entier estiment que nous nous dirigeons vers l’effondrement de la civilisation, et qu’il est peut-être déjà trop tard pour changer de cap.
Documentaire inquiétant et réaliste sur un effondrement imminent, l'état de nos ressources, on ne parle pas de l'avenir de la terre, mais bien de celle de notre civilisation. Notre système économique repose sur la croissance infinie, dans un monde finit ou les ressources sont limitées, la solution résiderait-elle dans la décroissance, l'auto-production et l'autosuffisance ? Il y'aura un effondrement, c'est certain et INÉVITABLE, les économistes, banquiers, politiques, autonomistes, prepper's et suvivalistes le savent et s'y préparent, mais ou en sommes nous ?
Leçon inaugurale de Jean-Marc Jancovici à Sciences Po
A l’occasion de la conférence «Post-Growth» qui se tiendra à Bruxelles à partir de mardi, un groupe d’universitaires de toute l’Europe appelle à revenir sur le dogme de la croissance, devenu incompatible avec la contrainte écologique et le bien-être des peuples.
Parce que la fin du monde méritait bien un documentaire de 42 minutes.
Le terme post-croissance désigne l’entrée dans une ère que nous ne parvenons pas encore à nommer, si ce n’est par référence à celle que nous quittons. Les symptômes qui signent la fin d’une époque sont clairs et sans appel : la poursuite de la croissance économique ne constitue plus un projet de société crédible. Toutefois, y renoncer pose aux économistes (théoriciens et praticiens) des défis majeurs qui exigent de reprendre à leur racine, sous un éclairage transdisciplinaire, les questions dont ils traitent couramment. ..
- ZDF
En 1972, quatre jeunes scientifiques du MIT (Massachussets Institute of Technologie) rédigent à la demande du Club de Rome un rapport qu'ils intitulent The Limits to Growth. Celui-ci va choquer le monde et devenir un best-seller international. Pour la première fois, leur recherche établit les conséquences dramatiques sur le plan écologique d'une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini.
Dans cette vidéo, Sébastien Ménecier présente l'équation proposée par l'économiste Y. Kaya. Cette équation met en avant différents facteurs permettant d'appréhender l'impact des activités humaines sur l'environnement. Elle est appliquée à la problématique du changement climatique.
Depuis les débuts de l’époque industrielle, il y a deux cents ans, les activités humaines ont profondément modifié les cycles de la nature, d’où le terme d’Anthropocène pour qualifier la période contemporaine. Alors que les stocks de combustible s’épuisent, la dissipation exubérante d’énergie liée aux économies fondées sur la croissance touche à sa fin.
En 1972, quatre jeunes scientifiques du MIT rédigent à la demande du Club de Rome un rapport qu’ils intitulent The Limits to Growth. Celui-ci va choquer le monde et devenir un best-seller international. Pour la première fois, leur recherche établit les conséquences dramatiques sur le plan écologique d’une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini. Leur analyse repose sur le modèle « World3 », qui permet une simulation informatique des interactions entre population, croissance industrielle, production alimentaire et limites des écosystèmes terrestres.
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Moins ! , Kohei Saito, Jean-Christophe Helary : Il fait de plus en plus chaud, on n’arrête pas de travailler, tout est transformé en marchandise. En quête de survie et de liberté, un jeune philosophe japonais, né en 1987, lit les carnets d’un vieux philosophe allemand, mort en 1883. Il y découvre une pensée qui aurait tout pour sauver le monde entier et la partage dans le livre que vous tenez entre vos mains. Rien de plus, tout au moins. S’appuyant sur les carnets tardifs inédits de Marx et voyant dans le pacte vert le nouvel opium des masses, Kohei Saito déconstruit le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés, et prône une société fondée sur les communs. Radical et urgent, cet essai fixe un objectif politique et civilisation...
À l’heure où les constats scientifiques s’accumulent depuis un demi-siècle (!) pour attester de ce que d’aucuns nomment un écocide en cours, l’échec du développement durable est patent : ontologiquement arrimé au maintien de l’illimitisme et de la croissance économique, pétri d’une foi technoscientifique et néolibérale, il ne produit qu’un aménagement marginal du système, n’en déplaise aux pratiques foisonnantes de greenwashing. Cet ouvrage aborde la décroissance, l’un des courants de pensée, d’action et d’expérimentation les plus avancés sur les questions de la mutation sociétale. Théorisée dès les années 1970 dans le sillage d’une pensée écologiste naissante et d’une critique fondamentale du modèle économique dominant, cette approche réaffirme depuis les années 2000 l’urgence de sortir du modèle de développement occidental. Cheminant notamment avec la pensée d’Edgar Morin et de l’École de Palo Alto, l’ouvrage questionne d’abord le sens et la portée de la décroissance initiale pour analyser ensuite les singu
Arthur Keller et Aurélien Barrau à La Grande Tribune (Polytechnique, CentraleSupélec, ESSEC, HEC...)
- Aurelien barrau,Arthur Keller
Conférence à deux voix, juin 2022. Écologie, progrès et décroissance.
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Atteindre la neutralité carbone en 2050 ne sera possible qu’à condition que le monde réussisse à décorréler l’évolution du produit intérieur brut des émissions de CO₂. Si l’Union européenne peut y parvenir, nombre d’Etats en sont encore loin.
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Développez des connaissances dans l'ensemble des domaines paysan ! Découvrez les 5 manuscrits gratuitement :
Atteindre le zéro carbone en 2050 est un virage de société qui ressemble à une épingle à cheveux au milieu d'une autoroute triple pistes à l'heure de pointe ! En reprenant simplement les grands chiffres de notre consommation d'énergie et les grands enjeux climatiques de notre époque, on prend conscience de la profondeur de l'ornière dans laquelle nous nous sommes enfoncés. Face à cela, a technologie seule ne va de loin pas nous sauver. Pour la simple et bonne raison que nous n'avons pas les potentiels énergétiques renouvelables pour maintenir nos modes de vie tels qu'ils sont.
La transition énergétique est sur toutes les lèvres… mais ne risque-t-elle pas de créer encore plus de dégâts ? Rencontre-événement avec deux spécialistes de la question : l’essayiste Vincent Mignerot qui vient de faire paraître « L’énergie du déni » (Rue de l’échiquier) et l’économiste Hélène Tordjman, autrice de « La croissance verte contre la nature » (La Découverte).
Les plus éminents climatologues et biologistes du monde entier estiment que nous nous dirigeons vers l’effondrement de la civilisation, et qu’il est peut-être déjà trop tard pour changer de cap.
Documentaire inquiétant et réaliste sur un effondrement imminent, l'état de nos ressources, on ne parle pas de l'avenir de la terre, mais bien de celle de notre civilisation. Notre système économique repose sur la croissance infinie, dans un monde finit ou les ressources sont limitées, la solution résiderait-elle dans la décroissance, l'auto-production et l'autosuffisance ? Il y'aura un effondrement, c'est certain et INÉVITABLE, les économistes, banquiers, politiques, autonomistes, prepper's et suvivalistes le savent et s'y préparent, mais ou en sommes nous ?
Leçon inaugurale de Jean-Marc Jancovici à Sciences Po
A l’occasion de la conférence «Post-Growth» qui se tiendra à Bruxelles à partir de mardi, un groupe d’universitaires de toute l’Europe appelle à revenir sur le dogme de la croissance, devenu incompatible avec la contrainte écologique et le bien-être des peuples.
Parce que la fin du monde méritait bien un documentaire de 42 minutes.
Le terme post-croissance désigne l’entrée dans une ère que nous ne parvenons pas encore à nommer, si ce n’est par référence à celle que nous quittons. Les symptômes qui signent la fin d’une époque sont clairs et sans appel : la poursuite de la croissance économique ne constitue plus un projet de société crédible. Toutefois, y renoncer pose aux économistes (théoriciens et praticiens) des défis majeurs qui exigent de reprendre à leur racine, sous un éclairage transdisciplinaire, les questions dont ils traitent couramment. ..