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focusbiodiversité poissons
Adopté il y a deux ans par les états membres des Nations Unies, le traité mondial de protection de la haute mer nécessitait la ratification de soixante pays pour enfin entrer en vigueur. C’est désormais chose faite avec la récente signature du Maroc. Que dit ce texte et quelles mesures seront possibles après son application en janvier 2026 ?
L’Organisation mondiale du commerce a reçu, lundi, les dernières acceptations d’Etats nécessaires à l’entrée en vigueur d’un texte limitant les subventions à la pêche pour préserver les populations de poissons.
Chaque année, des centaines de milliards de poissons sauvages et d’élevage sont tués dans le monde pour nourrir les populations. Pourtant, jusqu’à récemment, la question de la douleur qu’ils ressentent lors de leur abattage est restée largement sous-estimée ou méconnue. Une nouvelle étude publiée dans Scientific Reports éclaire cette réalité invisible et propose des pistes concrètes pour améliorer le bien-être des poissons, en particulier de la truite arc-en-ciel, l’une des espèces les plus couramment élevées.
Avez-vous déjà pensé à ce qui se passerait si toute la vie dans l’océan disparaissait ? Une étude récente explore ce scénario extrême pour comprendre comment la biologie océanique façonne le climat passé, présent et futur. L’océan joue un rôle crucial dans la régulation du climat terrestre. Il constitue un immense réservoir de carbone qui absorbe environ 25 % des émissions humaines, contribuant ainsi à maintenir un niveau relativement bas de CO₂ dans l’atmosphère. Mais que se passerait-il si toute la vie marine – du plus petit plancton à la plus grande baleine – disparaissait ? Une étude récente se penche sur ce scénario extrême afin de révéler le rôle essentiel que joue la biologie océanique dans l’atténuation du changement climatique.
La quantité ou la taille des maquereaux, sardines et harengs diminuent ces dernières années dans les mers d’Europe, constatent les chercheurs. En cause, les effets du réchauffement climatique combinés à la surpêche, qui viennent durablement affaiblir ces poissons très plébiscités par les consommateurs.
Merlan pris. Le taux de poissons issus de la pêche durable a légèrement augmenté en 2023, a annoncé l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer mercredi. Une apparente bonne nouvelle qui cache une surpêche toujours trop élevée.
Ces poissons d’eau douce ont rempli le port et les rivières voisines après que les niveaux d’eau ont été gonflés par les inondations de l’année dernière, suivies de mois de grave sécheresse.
Selon des travaux menés récemment au Canada, il est actuellement question d’une surestimation systématique de l’abondance d’une part non négligeable des espèces de poissons. Or, la dérive principale de cette surestimation n’est autre que la surpêche et le potentiel effondrement des pêcheries aux quatre coins du monde.
Saumon, hareng, cabillaud… Les ressources halieutiques de la Baltique sont si faibles que les petits pêcheurs quittent la profession. Une conséquence de la surpèche mais aussi d’une eutrophisation de cette mer semi-fermée en raison des rejets d’eaux usées et des pratiques agricoles intensives.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.
‘Catastrophic’ global decline due to dams, mining, diverting water and pollution threatens humans and ecosystems, study warns
Numéro 3 du syndicat de la pêche française, Bernard Pérez est jugé pour la vente de plusieurs tonnes de poissons dont la commercialisation est interdite. Le tribunal judiciaire de Narbonne rendra sa décision le 20 juin. Narbonne (Aude), reportage « Je n’étais pas là » ; « Je ne savais pas » ; « Je n’étais pas au courant ». Pendant près de quatre heures, sous les néons blafards du tribunal judiciaire de Narbonne (Aude), le numéro trois du syndicat de la pêche française, Bernard Pérez, a nié, inlassablement. Nié (...)
Comment évaluer l’efficacité des aires marines protégées ? Souvent décriées, ces zones dans laquelle les activités humaines sont encadrées pour protéger la biodiversité suscitent des controverses sur lesquelles se penchent des chercheurs dans un article publié ce jeudi 29 février dans la revue Science. L’écologue Tom Letessier a mobilisé plus d’une centaine de caméras et les a disposées dans 17 000 endroits différents dans le monde entier, recueillant ainsi 20 000 heures de vidéo sur lesquelles il a pu identifier 823 849 poissons.
A l’issue d’intenses négociations, les Etats de l’UE ont décidé des quotas de pêche à partir de l’année prochaine. Le lieu jaune était notamment au cœur des discussions.
Des guppys d’Amérique du Sud en France, des carpes asiatiques aux États-Unis... En 70 ans, l’humain a bouleversé la répartition géographique des poissons d’eau douce. C’est « complètement inédit », selon des chercheurs.
Le réchauffement climatique a de graves conséquences sur l'ensemble de la planète et les poissons subissent eux aussi des chamboulements dus à l'augmentation des températures.
Depuis plusieurs années, de nouvelles espèces non indigènes colonisent les eaux de l’est de la Méditerranée. Cette invasion modifie profondément l’écosystème de la zone, au grand dam des pêcheurs libanais et syriens, explique le site “Daraj”.
Des truites, des anguilles et autres petits poissons flottant, morts, sur plus de deux kilomètres d’un ruisseau breton. Tel est le résultat d’une pollution à la soude d’origine industrielle à Plougasnou (Finistère).
Disponibilité des ressources alimentaires, morts en masse et désertion des colonies figurent parmi les bouleversements des écosystèmes causés par les canicules et la surchauffe des eaux.
La vague de chaleur océanique qui touche l’Europe du Nord affecte particulièrement le large de l’archipel, avec des conséquences potentielles sur le secteur de la pêche.
L'histoire d'une course technologique fatale contre le thon et la vie marine
Le cours d’eau, célèbre pour ses truites et ses ombres, subit une eutrophisation croissante et ne parvient pas à enrayer la mortalité de poissons. De plus en plus, la justice se saisit des cas de pollution.
Forêts, océans et zones humides sont de formidables puits de carbone qui aident à limiter le dérèglement climatique. Mais selon une étude, neuf types d'espèces animales pourraient également jouer un rôle-clé pour rester sous l'objectif de 1,5 degré de réchauffement.
La Méditerranée sera-t-elle bientôt une mer morte ? La dernière édition du rapport sur « la situation des pêches en Méditerranée et en mer Noire », publiée ce mercredi 7 décembre, dresse un tableau bien sombre : près des trois-quarts – 73 % – des poissons et crustacés sont encore surexploités. Cette pression, « quoique moins forte que dans le passé », précise le rapport, « reste le double de ce qui est considéré comme durable ».
Le deuxième plus long fleuve polonais, marquant la frontière avec l’Allemagne, connaît une vague de pollution depuis fin juillet. Plus de 100 tonnes de poissons ont déjà été retrouvés morts sans qu’aucune cause précise n’ait pu être déterminée à ce jour.
Les pompiers polonais ont déclaré mardi avoir repêché 100 tonnes de poissons morts dans le fleuve qui traverse l’Allemagne et la Pologne, renforçant les craintes d’une catastrophe écologique.
Depuis plusieurs jours, des tonnes de poissons morts sont repêchées à la surface du fleuve Oder, à la frontière polono-allemande. Les analyses effectuées jusqu'ici n'ont pas permis d'établir la cause de la pollution.
Des milliers de poissons flottent sans vie sur la rivière Oder, qui coule en Allemagne et en Pologne, laissant craindre un "désastre" pour l'environnement tandis que la population locale est appelée à rester éloignée de ses eaux.
Mammifères, poissons... En Amazonie guyanaise, même quand la déforestation liée à la recherche d’or est faible, les espèces disparaissent, ont prouvé des chercheurs grâce à l’ADN environnemental.
Dans les rivières, qui dit moins d’eau, dit eau plus chaude. Dans le Gard, pour aider les truites fario ou les écrevisses à pattes blanches, des pêcheurs les déplacent.
